Chacun dans son éducation, ses préjugés, ses valeurs et sa vision de l'avenir et celui des enfants, aura raison dans certains contextes. Et tort dans d'autres. C'est vrai, les paroles de la chanson d'Orelsan "Sale pute", sont tout simplement abjectes. Il n'a aucune excuse. Surtout pas celui de la jeunesse. Surtout lorsqu'on est aussi un exemple pour cette jeunesse à laquelle appartient cet adolescent en devenir.
La célébrité aussi a un prix. Les producteurs d'Orelsan le savent. Les organisateurs du Sakifo aussi. Jérôme Galabert a voulu imposer sa liberté d'esprit et d'expression. C'est tout à son honneur. Didier Robert et la Commission permanente du Conseil régional ont pris la décision qui s'impose : veiller à la bonne utilisation de l'argent public et ne pas promouvoir ceux qui "font l'apologie de la violence et de la haine". C'est tout à leur honneur.
Pourtant, ce rejet de la subvention de 150.000 euros au Sakifo, laisse un réel sentiment de malaise. Les inconditionnels d'Orelsan n'ont pas fini de déplorer le vote du Conseil régional. Les ennemis de la censure et les défenseurs de la liberté d'expression, ont ici matière à discussion et à critique. Cette position de la Région Réunion n'est pas sans conséquence. "Orelsan aura-t-il l'opportunité de se produire dans une salle subventionnée par la Région Réunion ?"
Le débat est désormais ouvert. Chacun a droit de s'exprimer. Sans injure. Ni dénigrement. Dans le respect de chacun. Et avec lucidité et vigilance. Et responsabilité. En ce qui me concerne, ma position est la suivante : entre éthique, morale, censure et liberté d'expression, Didier Robert a pris la décision qui s'impose…
La célébrité aussi a un prix. Les producteurs d'Orelsan le savent. Les organisateurs du Sakifo aussi. Jérôme Galabert a voulu imposer sa liberté d'esprit et d'expression. C'est tout à son honneur. Didier Robert et la Commission permanente du Conseil régional ont pris la décision qui s'impose : veiller à la bonne utilisation de l'argent public et ne pas promouvoir ceux qui "font l'apologie de la violence et de la haine". C'est tout à leur honneur.
Pourtant, ce rejet de la subvention de 150.000 euros au Sakifo, laisse un réel sentiment de malaise. Les inconditionnels d'Orelsan n'ont pas fini de déplorer le vote du Conseil régional. Les ennemis de la censure et les défenseurs de la liberté d'expression, ont ici matière à discussion et à critique. Cette position de la Région Réunion n'est pas sans conséquence. "Orelsan aura-t-il l'opportunité de se produire dans une salle subventionnée par la Région Réunion ?"
Le débat est désormais ouvert. Chacun a droit de s'exprimer. Sans injure. Ni dénigrement. Dans le respect de chacun. Et avec lucidité et vigilance. Et responsabilité. En ce qui me concerne, ma position est la suivante : entre éthique, morale, censure et liberté d'expression, Didier Robert a pris la décision qui s'impose…