A croire que tout a été fait pour que son dernier souffle soit rendu sur ce coup de grâce que fut ce vandalisme. Ce qui interroge dans cette affaire c’est que les « vandales » se sont servis de la clé pour accéder aux locaux.
Il n’y a pas eu d’effraction constatée semble-t-il. Bizarre me direz-vous ! Plus bizarre encore est l’attitude de nos élus qui à aucun moment ne se sont souciés du sort des quelque dizaine d’employés jetés à la rue.
Nous avons lu le mot du maire dans le JIR . Il n’avait pas l’air de se soucier de ces travailleurs. Sa préoccupation première est de se retourner vers la SPL pour trouver des solutions. Solutions à quoi ?
Je rappelle aux lecteurs que cette SPL a été voté en conseil municipal par les élus de la majorité qui veulent mêler le destin des crèches de l’Entre-Deux à celles de son père spirituel du Tampon.
Ces élus n’ont pas compris qu’il y avait urgence en la matière car les enfants et parents se sont retrouvés du jour au lendemain sans solution aucune.
Nos élus pensent à la crèche du Bras Long dont les murs ne sont mêmes pas sortis de terre. C’est ce qu’on appelle « être à côté de la plaque ». Si nos élus avaient un semblant de capacité d’écoute et de propositions, les parents et employés garderaient un peu d’espoir.
Mais aujourd’hui même l’espoir semble s’enfuir et laisse place nette à de grandes inquiétudes.
Des élus de l’opposition à l’Entre-Deux
Il n’y a pas eu d’effraction constatée semble-t-il. Bizarre me direz-vous ! Plus bizarre encore est l’attitude de nos élus qui à aucun moment ne se sont souciés du sort des quelque dizaine d’employés jetés à la rue.
Nous avons lu le mot du maire dans le JIR . Il n’avait pas l’air de se soucier de ces travailleurs. Sa préoccupation première est de se retourner vers la SPL pour trouver des solutions. Solutions à quoi ?
Je rappelle aux lecteurs que cette SPL a été voté en conseil municipal par les élus de la majorité qui veulent mêler le destin des crèches de l’Entre-Deux à celles de son père spirituel du Tampon.
Ces élus n’ont pas compris qu’il y avait urgence en la matière car les enfants et parents se sont retrouvés du jour au lendemain sans solution aucune.
Nos élus pensent à la crèche du Bras Long dont les murs ne sont mêmes pas sortis de terre. C’est ce qu’on appelle « être à côté de la plaque ». Si nos élus avaient un semblant de capacité d’écoute et de propositions, les parents et employés garderaient un peu d’espoir.
Mais aujourd’hui même l’espoir semble s’enfuir et laisse place nette à de grandes inquiétudes.
Des élus de l’opposition à l’Entre-Deux