
Daniel Alamélou n'a pas réagi à chaud lorsqu'il a appris son éviction du groupe Alliance/PCR du Conseil général. "Je prépare le conseil municipal de ce soir" (ndlr : hier). Le conseiller général de Sainte-Suzanne avait cru avoir convaincu ses collègues lundi soir, du bien-fondé de sa démarche.
Suite aux divers événements des Municipales de Sainte-Suzanne, le PCR aurait sans doute apaisé la situation, s'il n'y avait pas eu le recours en annulation de l'élection de la liste de Maurice Gironcel, déposé vendredi dernier par Daniel Alamélou.
Ce recours a été la goutte de trop pour le PCR. "Si c'est le cas, le PCR aurait dû l'exclure du parti, mais pas du groupe Alliance/PCR du Conseil général. Le PCR n'a pas à interférer dans un groupe où tous les membres n'ont pas leur carte du parti".
"Cette ingérence va affaiblir notre groupe. C'est notre crédibilité qui est en jeu". Pas seulement. C'est surtout la cohésion du groupe qui a volé en éclats. Et sans surprise, l'Alliance/PCR est scindée en deux.
D'un côté, il y a les conseillers généraux de Saint-Paul (3) : Jean-Claude Mélin, Pascaline Chéreau-Nemazine et Gérald Incana, et de Saint-André (3) : Eric Fruteau, Robert Nativel et Michèle Caniguy. A cette liste s'ajoute Daniel Alamélou. Roland Ramakistin, maire de Trois-Bassins, a également son avis sur la question, mais elle n'est pas officielle. On dira qu'il est neutre.
L'autre groupe du Alliance/PCR, celui qui applique la ligne du parti, est composé de Henry Hippolyte, Pierre Vergès et Roland Robert. Un rapport de force de 3 contre 7. Le groupe de 7 va-t-il créer son propre groupe, indépendant de celui de l'Alliance/PCR ? Un tel scénario remettrait en cause la crédibilité et la légitimité du PCR au sein de la majorité départementale…
Suite aux divers événements des Municipales de Sainte-Suzanne, le PCR aurait sans doute apaisé la situation, s'il n'y avait pas eu le recours en annulation de l'élection de la liste de Maurice Gironcel, déposé vendredi dernier par Daniel Alamélou.
Ce recours a été la goutte de trop pour le PCR. "Si c'est le cas, le PCR aurait dû l'exclure du parti, mais pas du groupe Alliance/PCR du Conseil général. Le PCR n'a pas à interférer dans un groupe où tous les membres n'ont pas leur carte du parti".
"Cette ingérence va affaiblir notre groupe. C'est notre crédibilité qui est en jeu". Pas seulement. C'est surtout la cohésion du groupe qui a volé en éclats. Et sans surprise, l'Alliance/PCR est scindée en deux.
D'un côté, il y a les conseillers généraux de Saint-Paul (3) : Jean-Claude Mélin, Pascaline Chéreau-Nemazine et Gérald Incana, et de Saint-André (3) : Eric Fruteau, Robert Nativel et Michèle Caniguy. A cette liste s'ajoute Daniel Alamélou. Roland Ramakistin, maire de Trois-Bassins, a également son avis sur la question, mais elle n'est pas officielle. On dira qu'il est neutre.
L'autre groupe du Alliance/PCR, celui qui applique la ligne du parti, est composé de Henry Hippolyte, Pierre Vergès et Roland Robert. Un rapport de force de 3 contre 7. Le groupe de 7 va-t-il créer son propre groupe, indépendant de celui de l'Alliance/PCR ? Un tel scénario remettrait en cause la crédibilité et la légitimité du PCR au sein de la majorité départementale…