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Daniel Faivre dénonce le violences faites aux hommes


Édito
Mardi 6 Décembre 2011

L'internaute s'appuie sur des articles de presse paru dimanche dernier dans la revue Marianne. Daniel Faivre dresse un tableau particulier des violences faites aux hommes. Là-aussi, les agressions caractérisées s'enchaînent dans un silence assourdissant. Pire, la justice a du mal à croire qu'une femme peut être capable d'actes violents…


"L'égalité, c'est donner le droit", dit Daniel Faivre. L'internaute fait un réquisitoire sans concession sur les violences faites aux hommes : "Aux femmes d'insulter, parfois de frapper. De menacer avec un couteau, une casserole d'eau ou d'huile bouillante. De se comporter comme des tigresse, des guêpes".

"Et si l'homme demande le divorce ont monte les enfants contre lui. On vide son compte. On lui saisi tous ses biens. Tous, huissiers et avocats sont contre lui. Tous des chacals qui en ont fait leur fond de commerce. Des hommes souffrent et ont peur. Des femmes qui disent : mon homme, il est à moi. La femme est possessive. La violence est des deux côtés. Nous disons stop, ça doit cesser".

Combien y-a-t-il aujourd'hui d'hommes dans les structures d'accueils ou chez un parent, suite aux violences faites aux hommes ? Pour répondre à cette interrogation : combien de conjoints masculins ont le courage de dénoncer leur souffrance. Comme pour les violences faites aux femmes, la loi du silence est terrible.

"L'homme battu a un fort sentiment de honte, de déchéance sociale, de perte de sa dignité et de son honneur. Comment un policier peut-il croire qu'un homme ait été frapper par sa femme ? Comment la justice peut-elle avoir la conviction qu'un mari ou un père puisse recevoir des coups de sa femme, sans riposter", explique un autre internaute.

"L'homme a souvent trop peur d'une justice qui dans son inconscient, a pris fait et cause pour la femme. A La Réunion, l'homme est coupable… dès sa naissance".

Jismy Ramoudou


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