La majorité départementale construit son projet pour La Réunion autour de trois volets stratégiques 2011 - 2014 : le plan départemental pour la famille réunionnaise, l'insertion des Réunionnais et l'ambition de construire La Réunion de demain. Les orientations budgétaires pour 2012 sont dès lors la poursuite de la politique entamée cette année.
Développement et consolidation. Le Conseil général "veut une concrétisation plus rapide de ces décisions". Pour ce faire, le Département veut agir sur deux fronts. Le premier reste politique : définition, décision et vote, le second, prendre une part active à la mise en œuvre de ces mêmes mesures. Et cela dans plusieurs domaines : construction de casernes de pompiers ou amélioration de l'habitat.
Pour ce faire, la majorité départementale a proposé hier la création d'une SPLAR (Société publique locale avenir Réunion). Le fond et la forme ont à l'origine d'un débat houleux. "Seules quatre communes seront représentées, dont Saint-Leu qui a déjà sa caserne", a déploré Stéphane Fouassin pour l'opposition.
Pierre Vergès, quatrième vice-président, a été plus offensif aussi bien dans l'hémicycle que sur son blog. "Mais puisque cette SPLAR a « vocation à s’ouvrir » à toutes les communes (24), sans compter les EPCI (au nombre de 5), comment va-t-on gérer la représentation des 11 postes au CA (en préservant les 7 du département) ?"
Nassimah Dindar a alors choisi de mettre fin au débat devenu houleux et "a redonné la parole à Ibrahim Dindar, avant de la refuser à Cyrille Hamilcaro (de l’opposition) et à moi (de la majorité)", a écrit Pierre Vergès sur son blog. L'opposition a alors quitté l'hémicycle alors que le quatrième vice-président n'a pas "participé au vote".
Trois conseillers généraux socialistes du Sud, eux, ont choisi de s'abstenir sur cette question.
Développement et consolidation. Le Conseil général "veut une concrétisation plus rapide de ces décisions". Pour ce faire, le Département veut agir sur deux fronts. Le premier reste politique : définition, décision et vote, le second, prendre une part active à la mise en œuvre de ces mêmes mesures. Et cela dans plusieurs domaines : construction de casernes de pompiers ou amélioration de l'habitat.
Pour ce faire, la majorité départementale a proposé hier la création d'une SPLAR (Société publique locale avenir Réunion). Le fond et la forme ont à l'origine d'un débat houleux. "Seules quatre communes seront représentées, dont Saint-Leu qui a déjà sa caserne", a déploré Stéphane Fouassin pour l'opposition.
Pierre Vergès, quatrième vice-président, a été plus offensif aussi bien dans l'hémicycle que sur son blog. "Mais puisque cette SPLAR a « vocation à s’ouvrir » à toutes les communes (24), sans compter les EPCI (au nombre de 5), comment va-t-on gérer la représentation des 11 postes au CA (en préservant les 7 du département) ?"
Nassimah Dindar a alors choisi de mettre fin au débat devenu houleux et "a redonné la parole à Ibrahim Dindar, avant de la refuser à Cyrille Hamilcaro (de l’opposition) et à moi (de la majorité)", a écrit Pierre Vergès sur son blog. L'opposition a alors quitté l'hémicycle alors que le quatrième vice-président n'a pas "participé au vote".
Trois conseillers généraux socialistes du Sud, eux, ont choisi de s'abstenir sur cette question.