Champion Olympique des poids lourds de boxe amateur aux jeux de 1960 à Rome, Mohamed ALI est dans l’histoire olympisme avec le Cubain Théophile Stevenson, décédé le 11 juin 2012 ; les deux plus grand poids lourd de l’histoire des jeux olympique.
Le parcours d’un boxeur professionnel d’excellence, un « magicien » du ring pour l’ensemble des observateurs de la boxe, trois fois champion du monde ; évoluant dans la catégorie « des maitres », celle des poids lourds. ALI imposait à ses adversaires sa vitesse de réactions, un schéma technico-tactique sur le ring qui était le résultat d’une capacité extraordinaire à la lecture du face à face. Selon les situations et placements sur le ring, cette légende du ring possédait une fluidité corporelle majestueuse pour 100 kilos de muscles. Le ring était son espace artistique, imposant sa puissance et sa vitesse d’exécution au centre du ring, il avait ce don de l’esquive à proximité des cordes.
ALI faisait du ring son terrain de jeux.
Il devient Champion du Monde des poids lourds en 1964, son existence d’homme engagé pour les droits civiques et contre le racisme aux Etats Unies l’emmène à côtoyer des personnages emblématiques tels que Malcom X et Martin Luther King. Mohamed ALI refusa en 1967 d’aller faire la guerre au Vietnam, et déclara aux medias « je n’ai rien contre les Viêt- Cong, aucun vietnamien ne m’a appelé nègre ». Une désobéissance du boxeur qui lui coûtera sa couronne de Champion du Monde des poids lourds, ALI sera déchut de son titre. Sept ans plus tard en 1974, la planète du sport assiste au combat légendaire entre Mohamed ALI et Georges FOREMAN à Kinshasa, un combat victorieux pour ALI, ce duel historique restera un événement sportif exceptionnel ; le combat du siècle. Mohamed ALI incarna pour plusieurs générations de boxeur, la pensée universelle du ring, le réconciliateur de la boxe avec la sensibilité et l’intelligence du combattant, le marqueur d’un « maitre à boxer » ou l’élégance du noble art prenais asseoir dans le « jardin fleuri » de la beauté universelle.
Le parcours d’un boxeur professionnel d’excellence, un « magicien » du ring pour l’ensemble des observateurs de la boxe, trois fois champion du monde ; évoluant dans la catégorie « des maitres », celle des poids lourds. ALI imposait à ses adversaires sa vitesse de réactions, un schéma technico-tactique sur le ring qui était le résultat d’une capacité extraordinaire à la lecture du face à face. Selon les situations et placements sur le ring, cette légende du ring possédait une fluidité corporelle majestueuse pour 100 kilos de muscles. Le ring était son espace artistique, imposant sa puissance et sa vitesse d’exécution au centre du ring, il avait ce don de l’esquive à proximité des cordes.
ALI faisait du ring son terrain de jeux.
Il devient Champion du Monde des poids lourds en 1964, son existence d’homme engagé pour les droits civiques et contre le racisme aux Etats Unies l’emmène à côtoyer des personnages emblématiques tels que Malcom X et Martin Luther King. Mohamed ALI refusa en 1967 d’aller faire la guerre au Vietnam, et déclara aux medias « je n’ai rien contre les Viêt- Cong, aucun vietnamien ne m’a appelé nègre ». Une désobéissance du boxeur qui lui coûtera sa couronne de Champion du Monde des poids lourds, ALI sera déchut de son titre. Sept ans plus tard en 1974, la planète du sport assiste au combat légendaire entre Mohamed ALI et Georges FOREMAN à Kinshasa, un combat victorieux pour ALI, ce duel historique restera un événement sportif exceptionnel ; le combat du siècle. Mohamed ALI incarna pour plusieurs générations de boxeur, la pensée universelle du ring, le réconciliateur de la boxe avec la sensibilité et l’intelligence du combattant, le marqueur d’un « maitre à boxer » ou l’élégance du noble art prenais asseoir dans le « jardin fleuri » de la beauté universelle.