De notre sentinelle Jean François
Tous les avantages du département français mais sans renoncer à leurs particularités, avantages et autres communautarismes :
Nous n’avions en effet pas encore tout vu puisque, en février dernier, les députés ont voté le principe de jours fériés musulmans dans les départements d’Outre-mer, jours fériés venant remplacer des jours fériés chrétiens…
http://resistancerepublicaine.eu/2015/jours-feries-musulmans-les-deputes-ont-fait-exploser-la-republique-une-et-indivisible/
A présent, c’est l’étape supplémentaire, les députés s’apprêtent à voter (et ils vont le voter, avec les dhimmis et collabos anti-France qui sont majoritaires dans l’hémicycle…) la reconnaissance des cadis comme magistrats bénéficiant d’une délégation de service public… Ils obtiendront le droit de gérer les litiges au-delà de 300 euros ( limite actuelle fixée dans les années soixante). La loi sera donc la charia, pour tous, pas seulement pour les musulmans, cerise sur le gâteau.
A Mayotte, département français donc partie intégrante de la République, une manœuvre se met en place pour que l’argent public finance la justice islamiste de l’île. Tout cela en contradiction totale avec la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l’Etat. La manipulation devrait trouver son aboutissement le 15 juillet lors du vote à l’Assemblée de la loi sur « La modernisation du droit d’outre-mer ».
Magistrats. Ce tour de passe-passe vise à intégrer comme fonctionnaires, et ès qualité, les cadis, ces juges de paix islamiques qui existent à Mayotte depuis la nuit de temps. Lors de l’adhésion de Mayotte à la France, et plus encore lors de la départementalisation de cette terre si éloignée de la métropole, on avait glissé les cadis sous le tapis. Ces juges religieux avaient bénéficié du statut de « médiateurs sociaux », donc salariés de la collectivité territoriale. Cette fois, le lobby musulman a fait monter les enchères en obtenant, le 2 juillet, un vote du Conseil général sur le nouveau statut des cadis, et demandé qu’ils soient reconnus comme des magistrats bénéficiant d’une Délégation de Service Public, « afin de mieux bénéficier de leurs compétences »…
Par magie, ce souhait va se retrouver dans le paquet proposé dans quelques jours au vote des députés réunis au Palais Bourbon. Ainsi, rejoignant ses amis du Qatar et de l’Arabie Saoudite, la France aura à son tour sa justice islamique.
http://mondafrique.com/lire/decryptages/2015/07/08/le-departement-de-mayotte-bientot-dote-de-juges-islamiques
Pour en savoir plus sur les cadis et ce qui se trame, lire un rapport sur le site du Sénat ; extraits ci-dessous:
Les cadis ont trois types d’activités : – l’activité judiciaire, qui se réduit au fur et à mesure que l’application du droit commun progresse. Cette activité est rémunérée par le conseil général ; – l’activité notariale : les actes de procuration, les donations, les partages, les actes de vente, les certificats d’hérédité, la liquidation des successions. Cette activité est rémunérée de manière spécifique au moyen d’un barème propre, en fonction de la nature des actes ; – l’activité sociale et administrative (médiation, autorité morale et religieuse). Il appartient ainsi au grand cadi de fixer la date de début du Ramadan.
La justice cadiale comprend 17 tribunaux cadiaux (comprenant un cadi et un secrétaire greffier) et un grand cadi. Les décisions des 17 cadis (compétents en matière d’état des personnes et de litiges patrimoniaux inférieurs à 300 euros) peuvent être déférées en appel au grand cadi. Les décisions du grand cadi rendues en premier ressort peuvent être soumises en appel au tribunal supérieur d’appel de droit commun (lorsque les litiges excèdent 300 euros). Celles qui ont été rendues en dernier ressort peuvent faire l’objet d’un recours en annulation, porté devant le même tribunal constitué en chambre d’annulation musulmane. Siègent alors le président du Tribunal supérieur d’appel ainsi que deux assesseurs cadis sans voix délibérative.
Les cadis et les secrétaires-greffiers sont des fonctionnaires de la collectivité départementale de Mayotte, dont le statut a été défini en 198620(*). Les cadis sont recrutés sur concours et investis par le préfet, après avis du procureur de la République près le Tribunal supérieur d’appel et d’une commission présidée par le président du Tribunal supérieur d’appel et composée de quatre personnalités religieuses désignées par le préfet et par le Grand cadi. Toutefois, aucun concours n’ayant été organisé pendant plusieurs années, les plus jeunes cadis ont un statut de contractuel.
Lire l'article complet sur RIPOSTE LAÏQUE.
Nous n’avions en effet pas encore tout vu puisque, en février dernier, les députés ont voté le principe de jours fériés musulmans dans les départements d’Outre-mer, jours fériés venant remplacer des jours fériés chrétiens…
http://resistancerepublicaine.eu/2015/jours-feries-musulmans-les-deputes-ont-fait-exploser-la-republique-une-et-indivisible/
A présent, c’est l’étape supplémentaire, les députés s’apprêtent à voter (et ils vont le voter, avec les dhimmis et collabos anti-France qui sont majoritaires dans l’hémicycle…) la reconnaissance des cadis comme magistrats bénéficiant d’une délégation de service public… Ils obtiendront le droit de gérer les litiges au-delà de 300 euros ( limite actuelle fixée dans les années soixante). La loi sera donc la charia, pour tous, pas seulement pour les musulmans, cerise sur le gâteau.
A Mayotte, département français donc partie intégrante de la République, une manœuvre se met en place pour que l’argent public finance la justice islamiste de l’île. Tout cela en contradiction totale avec la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l’Etat. La manipulation devrait trouver son aboutissement le 15 juillet lors du vote à l’Assemblée de la loi sur « La modernisation du droit d’outre-mer ».
Magistrats. Ce tour de passe-passe vise à intégrer comme fonctionnaires, et ès qualité, les cadis, ces juges de paix islamiques qui existent à Mayotte depuis la nuit de temps. Lors de l’adhésion de Mayotte à la France, et plus encore lors de la départementalisation de cette terre si éloignée de la métropole, on avait glissé les cadis sous le tapis. Ces juges religieux avaient bénéficié du statut de « médiateurs sociaux », donc salariés de la collectivité territoriale. Cette fois, le lobby musulman a fait monter les enchères en obtenant, le 2 juillet, un vote du Conseil général sur le nouveau statut des cadis, et demandé qu’ils soient reconnus comme des magistrats bénéficiant d’une Délégation de Service Public, « afin de mieux bénéficier de leurs compétences »…
Par magie, ce souhait va se retrouver dans le paquet proposé dans quelques jours au vote des députés réunis au Palais Bourbon. Ainsi, rejoignant ses amis du Qatar et de l’Arabie Saoudite, la France aura à son tour sa justice islamique.
http://mondafrique.com/lire/decryptages/2015/07/08/le-departement-de-mayotte-bientot-dote-de-juges-islamiques
Pour en savoir plus sur les cadis et ce qui se trame, lire un rapport sur le site du Sénat ; extraits ci-dessous:
Les cadis ont trois types d’activités : – l’activité judiciaire, qui se réduit au fur et à mesure que l’application du droit commun progresse. Cette activité est rémunérée par le conseil général ; – l’activité notariale : les actes de procuration, les donations, les partages, les actes de vente, les certificats d’hérédité, la liquidation des successions. Cette activité est rémunérée de manière spécifique au moyen d’un barème propre, en fonction de la nature des actes ; – l’activité sociale et administrative (médiation, autorité morale et religieuse). Il appartient ainsi au grand cadi de fixer la date de début du Ramadan.
La justice cadiale comprend 17 tribunaux cadiaux (comprenant un cadi et un secrétaire greffier) et un grand cadi. Les décisions des 17 cadis (compétents en matière d’état des personnes et de litiges patrimoniaux inférieurs à 300 euros) peuvent être déférées en appel au grand cadi. Les décisions du grand cadi rendues en premier ressort peuvent être soumises en appel au tribunal supérieur d’appel de droit commun (lorsque les litiges excèdent 300 euros). Celles qui ont été rendues en dernier ressort peuvent faire l’objet d’un recours en annulation, porté devant le même tribunal constitué en chambre d’annulation musulmane. Siègent alors le président du Tribunal supérieur d’appel ainsi que deux assesseurs cadis sans voix délibérative.
Les cadis et les secrétaires-greffiers sont des fonctionnaires de la collectivité départementale de Mayotte, dont le statut a été défini en 198620(*). Les cadis sont recrutés sur concours et investis par le préfet, après avis du procureur de la République près le Tribunal supérieur d’appel et d’une commission présidée par le président du Tribunal supérieur d’appel et composée de quatre personnalités religieuses désignées par le préfet et par le Grand cadi. Toutefois, aucun concours n’ayant été organisé pendant plusieurs années, les plus jeunes cadis ont un statut de contractuel.
Lire l'article complet sur RIPOSTE LAÏQUE.