
Le personnel de l’association pour le développement du Tévelave (ADT), oeuvrant dans le domaine de l'environnement au Tévelave et sur les hauteurs des Avirons, n’a pas encore été payé pour le mois de mars. Aujourd’hui, il a entamé un mouvement de grève.
Je soutiens leur démarche qui est totalement légitime. En effet, ce retard de versement engendre une souffrance pour les 32 salariés et leur famille. Sans ressource, ils n’ont parfois plus la possibilité de se nourrir correctement et ils s’exposent à des charges impayées. Cette situation est dramatique pour ces personnes qui vivent déjà avec des revenus très faibles.
Ce problème actuel intervient au moment du renouvellement des contrats puisque les dossiers administratifs ont pris du retard. De ce fait, dans le déroulement de la procédure, le versement par l’agence de services et de paiement (ASP) (ex-CNASEA) a été différé.
Ce genre de situation résulte d'une légèreté des collectivités territoriales dans leur relation avec les associations. Le tissu associatif est encore trop utilisé à effectuer certaines tâches, souvent ingrates. Les collectivités locales sont trop préoccupées par les résultats à très court terme et les retombées politiques immédiates, mais elles sont peu vigilantes sur la capacité financière des associations souvent fragiles.
Je souhaite qu'une solution soit trouvée le plus rapidement possible pour régler le paiement des salariés de l'ADT. Aussi, j’invite les collectivités locales concernées (mairie des Avirons et conseil général), à redéfinir avec l’ADT les garanties financières nécessaires lors du renouvellement de contrats aidés à l'avenir.
Je soutiens leur démarche qui est totalement légitime. En effet, ce retard de versement engendre une souffrance pour les 32 salariés et leur famille. Sans ressource, ils n’ont parfois plus la possibilité de se nourrir correctement et ils s’exposent à des charges impayées. Cette situation est dramatique pour ces personnes qui vivent déjà avec des revenus très faibles.
Ce problème actuel intervient au moment du renouvellement des contrats puisque les dossiers administratifs ont pris du retard. De ce fait, dans le déroulement de la procédure, le versement par l’agence de services et de paiement (ASP) (ex-CNASEA) a été différé.
Ce genre de situation résulte d'une légèreté des collectivités territoriales dans leur relation avec les associations. Le tissu associatif est encore trop utilisé à effectuer certaines tâches, souvent ingrates. Les collectivités locales sont trop préoccupées par les résultats à très court terme et les retombées politiques immédiates, mais elles sont peu vigilantes sur la capacité financière des associations souvent fragiles.
Je souhaite qu'une solution soit trouvée le plus rapidement possible pour régler le paiement des salariés de l'ADT. Aussi, j’invite les collectivités locales concernées (mairie des Avirons et conseil général), à redéfinir avec l’ADT les garanties financières nécessaires lors du renouvellement de contrats aidés à l'avenir.