Thierry Robert, maire de St leu, de surcroit député et chef d'entreprise, a décidé, en conscience de mettre le feu aux poudres sous un air de revendicateur revanchard victimisé par le système. Un système qui selon lui s'est engagé à lui enlever ses libertés ainsi que sa dignité. Un système qui ne pense qu'à Thierry Robert, un système mafieux et machiavélique, une organisation crée dans le seul objectif de s'occuper d'un seul homme : lui.
Thierry Robert est un insurgé, avec un égo surdimensionné, non une victime comme on serait tenté de le croire. A lui seul il est bourreau, victime et sauveur : le fameux triangle dramatique appelé parfois triade infernale où il faut en toute logique être 3.C'est aussi ce qu'on appelle l'art de la manipulation !
Pas une seule fois il ne lui est venu à l'esprit que les organes de presse ne sont la pour prendre parti, mais pour informer. En l'espace d'un week end, toute l'île séquestrée à la maison a pu facilement être spectateur d'une comédie ubuesque sur fond de haine et de propos sibyllins.
Les Réunionnais que nous sommes ne méritent pas d'être condamnés à écouter de telles inepties alors qu'ils sont coincés dans l'incertitude de savoir comment ils vont pouvoir se rendre au travail, aller à l'université, au lycée, rendre visite à leurs proches au lendemain.
Au regard du contexte, il aurait pu s'abstenir pour prioriser une action à des fins utiles pour les citoyens qu'il veut soit disant aider et porter vers le haut. Nous ne faisons pas partie de ses priorités, preuve en est. Ce n'est que lundi après midi, après une seconde tentative à répéter au cas où on ne l'aurait pas compris que sa priorité c'est de casser un système qui contrôle ses gestions de fait ; que Monsieur Thierry Robert s'est intéressé à ce qui se passe réellement ici et maintenant.
Sa priorité ce n'est pas non plus de prouver son innocence en qualité de politicien et chef d'entreprise honnête, mais d'accuser tous ceux qui auraient osé prononcer son nom dans la presse ou sur le terrain politique.
Voilà où en est Thierry Robert ! Il s'insurge de ses propres maux qu'il a lui même créé depuis qu'il croit être le nombril du monde. Pour la morale, il faudra lui demander de nous expliquer comment il compte s'en sortir, si toutefois il le sait, parce que ici à La Réunion comme dit créole « cabris i manz pas salad !»
Thierry Robert est un insurgé, avec un égo surdimensionné, non une victime comme on serait tenté de le croire. A lui seul il est bourreau, victime et sauveur : le fameux triangle dramatique appelé parfois triade infernale où il faut en toute logique être 3.C'est aussi ce qu'on appelle l'art de la manipulation !
Pas une seule fois il ne lui est venu à l'esprit que les organes de presse ne sont la pour prendre parti, mais pour informer. En l'espace d'un week end, toute l'île séquestrée à la maison a pu facilement être spectateur d'une comédie ubuesque sur fond de haine et de propos sibyllins.
Les Réunionnais que nous sommes ne méritent pas d'être condamnés à écouter de telles inepties alors qu'ils sont coincés dans l'incertitude de savoir comment ils vont pouvoir se rendre au travail, aller à l'université, au lycée, rendre visite à leurs proches au lendemain.
Au regard du contexte, il aurait pu s'abstenir pour prioriser une action à des fins utiles pour les citoyens qu'il veut soit disant aider et porter vers le haut. Nous ne faisons pas partie de ses priorités, preuve en est. Ce n'est que lundi après midi, après une seconde tentative à répéter au cas où on ne l'aurait pas compris que sa priorité c'est de casser un système qui contrôle ses gestions de fait ; que Monsieur Thierry Robert s'est intéressé à ce qui se passe réellement ici et maintenant.
Sa priorité ce n'est pas non plus de prouver son innocence en qualité de politicien et chef d'entreprise honnête, mais d'accuser tous ceux qui auraient osé prononcer son nom dans la presse ou sur le terrain politique.
Voilà où en est Thierry Robert ! Il s'insurge de ses propres maux qu'il a lui même créé depuis qu'il croit être le nombril du monde. Pour la morale, il faudra lui demander de nous expliquer comment il compte s'en sortir, si toutefois il le sait, parce que ici à La Réunion comme dit créole « cabris i manz pas salad !»
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