A la lecture de la presse de ce jour, dimanche 15 septembre, il est confirmé qu’un journaliste du journal "Le Quotidien" a été frappé par des manifestants alors qu’il tentait de protéger une de ses consœurs du Journal de l’Ile de La Réunion.
C’est choquant et extrêmement grave d’autant plus que les journalistes étaient invités à couvrir la conférence de presse qui était donnée par les manifestants eux-mêmes sur la place de la Préfecture. Cette manière de procéder ressemble étrangement à un "guet-apens".
A titre personnel je tiens donc à exprimer ma totale et entière désapprobation quant à ces brutalités qui, pour le moins que l’on puisse dire, n’honorent nullement le ou les auteurs et mettent à mal un des piliers de notre démocratie qu’est le devoir et le droit à l’information.
C’est pourquoi en tant que communiste réunionnais, j’apporte en toute connaissance de cause ma solidarité à M. Edouard Marchal, à son journal "Le Quotidien" et à sa consœur du "JIR".
C’est choquant et extrêmement grave d’autant plus que les journalistes étaient invités à couvrir la conférence de presse qui était donnée par les manifestants eux-mêmes sur la place de la Préfecture. Cette manière de procéder ressemble étrangement à un "guet-apens".
A titre personnel je tiens donc à exprimer ma totale et entière désapprobation quant à ces brutalités qui, pour le moins que l’on puisse dire, n’honorent nullement le ou les auteurs et mettent à mal un des piliers de notre démocratie qu’est le devoir et le droit à l’information.
C’est pourquoi en tant que communiste réunionnais, j’apporte en toute connaissance de cause ma solidarité à M. Edouard Marchal, à son journal "Le Quotidien" et à sa consœur du "JIR".