Cette coalition est légitimée à la fois par les propositions écologiques du candidat Sarkozy et par le bilan de sa présidence en matière de développement durable et de politique environnementale.
Nous pouvons faire confiance à Nicolas Sarkozy qui a eu la courage politique de lancer le Grenelle de l'Environnement. Avec Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet au ministère de l'Ecologie et du Développement Durable, il a su impulser et contractualiser des politiques vertes. Cela a permis des avancées concrètes : la valorisation des déchets, l’augmentation de la production d'énergies renouvelables, l’amélioration de l'efficacité énergétique des bâtiments, la protection des espaces naturels et l’instauration d’une fiscalité écologique. Nous plaidons pour un partenariat à moyen et long terme, contractualisé par des accords qui seront fonction du gouvernement que Nicolas Sarkozy formera.
Par ailleurs, les accords de coalition – comme l’exemple allemand le prouve – font que les écologistes ne sont pas obligés de s'associer uniquement avec la gauche. Il est possible et préférable de s'entendre avec la droite républicaine et le centre sur une base claire et un programme à haute teneur écologique qui s’appuie sur des projets précis. On peut penser à des actions de protection de la biodiversité ou encore le soutien à la reconversion écologique de l'économie.
Les écologistes savent qu'ils peuvent travailler en bonne intelligence et dans un cadre collectif respectueux des convictions de chacun sous la présidence de Nicolas Sarkozy pour une économie verte dans le contexte du développement durable et l'éradication de la pauvreté. Dans la perspective de la conférence internationale Rio+20, des mesures fortes doivent être prises :
- Négocier pour la création d’une Organisation Mondiale de l’Environnement, afin de mobiliser la communauté internationale autour des enjeux du développement durable,
- Tenir l’objectif de 23 % de notre consommation finale en énergies renouvelables en 2020,
- Eviter toute augmentation de la facture d’électricité des ménages et émettre moins de gaz à effet de serre,
- Développer toutes les filières industrielles en lien avec le développement durable.
Plutôt que d'être les supplétifs des socialistes qui restent de vrais productivistes, mobilisons nous pour la réélection de Nicolas Sarkozy, le candidat de la promotion du développement durable.
Nous pouvons faire confiance à Nicolas Sarkozy qui a eu la courage politique de lancer le Grenelle de l'Environnement. Avec Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet au ministère de l'Ecologie et du Développement Durable, il a su impulser et contractualiser des politiques vertes. Cela a permis des avancées concrètes : la valorisation des déchets, l’augmentation de la production d'énergies renouvelables, l’amélioration de l'efficacité énergétique des bâtiments, la protection des espaces naturels et l’instauration d’une fiscalité écologique. Nous plaidons pour un partenariat à moyen et long terme, contractualisé par des accords qui seront fonction du gouvernement que Nicolas Sarkozy formera.
Par ailleurs, les accords de coalition – comme l’exemple allemand le prouve – font que les écologistes ne sont pas obligés de s'associer uniquement avec la gauche. Il est possible et préférable de s'entendre avec la droite républicaine et le centre sur une base claire et un programme à haute teneur écologique qui s’appuie sur des projets précis. On peut penser à des actions de protection de la biodiversité ou encore le soutien à la reconversion écologique de l'économie.
Les écologistes savent qu'ils peuvent travailler en bonne intelligence et dans un cadre collectif respectueux des convictions de chacun sous la présidence de Nicolas Sarkozy pour une économie verte dans le contexte du développement durable et l'éradication de la pauvreté. Dans la perspective de la conférence internationale Rio+20, des mesures fortes doivent être prises :
- Négocier pour la création d’une Organisation Mondiale de l’Environnement, afin de mobiliser la communauté internationale autour des enjeux du développement durable,
- Tenir l’objectif de 23 % de notre consommation finale en énergies renouvelables en 2020,
- Eviter toute augmentation de la facture d’électricité des ménages et émettre moins de gaz à effet de serre,
- Développer toutes les filières industrielles en lien avec le développement durable.
Plutôt que d'être les supplétifs des socialistes qui restent de vrais productivistes, mobilisons nous pour la réélection de Nicolas Sarkozy, le candidat de la promotion du développement durable.
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