Pas un seul courtisan pour lui demander de méditer cette réplique d'Audiard (créolisée) dans "Un taxi pour Tobrouck". (1)
Personne au cabinet pour lui réciter "Perrette et le pot au lait" de La Fontaine.
Nul partisan pour lui rappeler que "i mange pas boudin dans le ventre cochon".
Pendant que dans les salons, Huguette Bello rabaissait son adversaire plus bas que terre, sous les applaudissements des sondeurs et les acclamations d'une clique de journalistes bien-pensants, la "brute" usait ses chaussures et son énergie dans un porte-à-porte harassant.
Tandis que, dans une République qui peine à se féminiser valablement, Huguette Bello brillait comme un soleil dans les cocktails, au triple titre de féministe, d'ex colonisée et d'élue écorchée vive, Sini usait ses fonds de culotte chez les électeurs.
Au moment où Huguette Bello, communiste pour toujours, citait Aragon, oubliant qu'il vénérait Staline deuxième plus grand meurtrier de l'Histoire (le plus grand de tous étant Mao), Sini égrenait son programme pour St Paul.
Alors que Bello, portant tailleur Chanel, grands chapeaux et foulards griffés en guise de compétence et de représentativité, se pavanait au milieu de ses courtisans serviles, Sini en casquette arpentait les chemins de cannes de l'immensité saint-pauloise.
Devinez qui de la prétention ou de l'humilité l'emporta ?
Huguette Bello hurle à qui veut l'entendre que les Saint Paulois ne la méritent pas…
C’est fort de cette certitude qu'ils l'ont congédiée, la rendant ainsi disponible à tout ce que la République compte de vermoulu et de fétide.
En attendant, comme précisé dans Tataladit… Saint Paul respire !
Personne au cabinet pour lui réciter "Perrette et le pot au lait" de La Fontaine.
Nul partisan pour lui rappeler que "i mange pas boudin dans le ventre cochon".
Pendant que dans les salons, Huguette Bello rabaissait son adversaire plus bas que terre, sous les applaudissements des sondeurs et les acclamations d'une clique de journalistes bien-pensants, la "brute" usait ses chaussures et son énergie dans un porte-à-porte harassant.
Tandis que, dans une République qui peine à se féminiser valablement, Huguette Bello brillait comme un soleil dans les cocktails, au triple titre de féministe, d'ex colonisée et d'élue écorchée vive, Sini usait ses fonds de culotte chez les électeurs.
Au moment où Huguette Bello, communiste pour toujours, citait Aragon, oubliant qu'il vénérait Staline deuxième plus grand meurtrier de l'Histoire (le plus grand de tous étant Mao), Sini égrenait son programme pour St Paul.
Alors que Bello, portant tailleur Chanel, grands chapeaux et foulards griffés en guise de compétence et de représentativité, se pavanait au milieu de ses courtisans serviles, Sini en casquette arpentait les chemins de cannes de l'immensité saint-pauloise.
Devinez qui de la prétention ou de l'humilité l'emporta ?
Huguette Bello hurle à qui veut l'entendre que les Saint Paulois ne la méritent pas…
C’est fort de cette certitude qu'ils l'ont congédiée, la rendant ainsi disponible à tout ce que la République compte de vermoulu et de fétide.
En attendant, comme précisé dans Tataladit… Saint Paul respire !
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