Lors d'une Commission Administrative Paritaire (CAP) à laquelle assistaient les syndicats, des directeurs de service, notamment de la Direction des Ressources Humaines, ainsi que des élus de la Ville, un agent communal a tenu à prendre la parole pour exprimer son mécontentement sur la titularisation.
Pour information, dès 2008, le Maire et l'équipe municipale, se sont engagés à mettre en place un plan de titularisation. Ce dernier est né d'une volonté d'harmoniser un système totalement flou depuis longtemps et surtout de se baser sur des critères administratifs précis (ancienneté, valeur professionnelle, implication dans l'entreprise municipale...).
Ce plan a été fastidieux à mettre en place mais cette année les premières titularisations ont été annoncées: 52 agents ont été nommés suite à la réussite d'un concours et 32 l'ont été sur choix de l'autorité. Ces titularisations interviennent à la suite d'une concertation entre les directeurs de service, les directeurs généraux et le Maire. Il s'agit d'un système où c'est l'administration qui "porte" les titularisations et non plus de la seule autorité du Maire comme c'était le cas avant 2008.
Jusqu'en 2014 et en fonction bien sûr du contexte de crise budgétaire, ce seront donc au minimum une trentaine d'agents qui obtiendront ainsi leur titularisation.
C'est dans ce contexte que l'incident de ce matin a eu lieu. Lors de la CAP, l'agent communal s'est donc levé et a sorti de son sac un canif. Il souhaitait par ce geste attirer l'attention. Il a ainsi dénoncé les titularisations tout en reconnaissant que ce plan était une bonne chose pour les agents communaux de même que le versement d'un treizième mois (pour l'ensemble du personnel non-titulaire), autre engagement tenu par le Maire dès 2008.
Cependant, la situation a pris une tout autre tournure lorsque l'agent a passé le couteau sur son avant-bras. Choqué et blessé, l'agent a de lui même quitté la salle de réunion puis a été emmené à l'hôpital pour des soins. Il s'agit donc plus d'un accident que d'une réelle volonté de se blesser.
La ville de Saint-Denis regrette bien évidement qu'un tel incident ait pu se produire et tient à apporter son soutien à l'agent communal en question.
Malgré la violence de son intervention, l'agent n'a, à aucun moment, été agressif envers les personnes présentes.
Pour information, dès 2008, le Maire et l'équipe municipale, se sont engagés à mettre en place un plan de titularisation. Ce dernier est né d'une volonté d'harmoniser un système totalement flou depuis longtemps et surtout de se baser sur des critères administratifs précis (ancienneté, valeur professionnelle, implication dans l'entreprise municipale...).
Ce plan a été fastidieux à mettre en place mais cette année les premières titularisations ont été annoncées: 52 agents ont été nommés suite à la réussite d'un concours et 32 l'ont été sur choix de l'autorité. Ces titularisations interviennent à la suite d'une concertation entre les directeurs de service, les directeurs généraux et le Maire. Il s'agit d'un système où c'est l'administration qui "porte" les titularisations et non plus de la seule autorité du Maire comme c'était le cas avant 2008.
Jusqu'en 2014 et en fonction bien sûr du contexte de crise budgétaire, ce seront donc au minimum une trentaine d'agents qui obtiendront ainsi leur titularisation.
C'est dans ce contexte que l'incident de ce matin a eu lieu. Lors de la CAP, l'agent communal s'est donc levé et a sorti de son sac un canif. Il souhaitait par ce geste attirer l'attention. Il a ainsi dénoncé les titularisations tout en reconnaissant que ce plan était une bonne chose pour les agents communaux de même que le versement d'un treizième mois (pour l'ensemble du personnel non-titulaire), autre engagement tenu par le Maire dès 2008.
Cependant, la situation a pris une tout autre tournure lorsque l'agent a passé le couteau sur son avant-bras. Choqué et blessé, l'agent a de lui même quitté la salle de réunion puis a été emmené à l'hôpital pour des soins. Il s'agit donc plus d'un accident que d'une réelle volonté de se blesser.
La ville de Saint-Denis regrette bien évidement qu'un tel incident ait pu se produire et tient à apporter son soutien à l'agent communal en question.
Malgré la violence de son intervention, l'agent n'a, à aucun moment, été agressif envers les personnes présentes.