Thierry Robert et la Droite, c'était une belle histoire d'amour. Ça se passait d'un côté de Saint-Leu. L'entente parfaite entre le jeune qui monte et son prédécesseur, Jean-Luc Poudroux, ex-président du Conseil général et ex-maire de Saint-Leu. Sans prendre la poudr(oux) d'escampette, Thierry Robert a tracé son sillon. Mais, l'intéressé connaît bien le palais de La Source, avant l'Arast.
Ses interventions en réponse à l'opposition depuis 2008, au sein de l'hémicycle, retient souvent l'attention. Bien préparées, bien amenées, elles ont souvent l'effet attendu : surprendre. Hier à l'instar de ses collègues présents à la table de la conférence de presse, comme Ibrahim et Nassimah Dindar, il a insisté sur un fait : "Les élus de la majorité sont insultés et rabaissés. On veut faire passé la majorité pour anti-sociale. Mais qui se demande qui sont réellement ces manifestants et ces grévistes de la faim. Et pourquoi ils ont là ?"
"Il y a surtout une exploitation de la misère et de la détresse humaine, et ce pour une récupération politique. Ça aussi c'est condamnable. Ce dossier a été politisé et ce sont les ex-salariés qui se retrouvent au milieu de ce jeu malsain. Il faut que chacun assume ses responsabilités". Et c'est là que nous avons demandé : "Pourquoi l'opposition n'endosse aucune responsabilité".
La réponse était réfléchie. Le ton posé. "Parce que ce sont des faux-culs". La réplique a surpris certains conseillers généraux. Pendant quelques secondes, ils étaient à l'arrêt. La presse sur le cul. Le vrai. Puis, Ibrahim Dindar a repris le fil de la discussion. "Thierry a raison".
Ses interventions en réponse à l'opposition depuis 2008, au sein de l'hémicycle, retient souvent l'attention. Bien préparées, bien amenées, elles ont souvent l'effet attendu : surprendre. Hier à l'instar de ses collègues présents à la table de la conférence de presse, comme Ibrahim et Nassimah Dindar, il a insisté sur un fait : "Les élus de la majorité sont insultés et rabaissés. On veut faire passé la majorité pour anti-sociale. Mais qui se demande qui sont réellement ces manifestants et ces grévistes de la faim. Et pourquoi ils ont là ?"
"Il y a surtout une exploitation de la misère et de la détresse humaine, et ce pour une récupération politique. Ça aussi c'est condamnable. Ce dossier a été politisé et ce sont les ex-salariés qui se retrouvent au milieu de ce jeu malsain. Il faut que chacun assume ses responsabilités". Et c'est là que nous avons demandé : "Pourquoi l'opposition n'endosse aucune responsabilité".
La réponse était réfléchie. Le ton posé. "Parce que ce sont des faux-culs". La réplique a surpris certains conseillers généraux. Pendant quelques secondes, ils étaient à l'arrêt. La presse sur le cul. Le vrai. Puis, Ibrahim Dindar a repris le fil de la discussion. "Thierry a raison".