Communiqué de Thierry ROBERT
En ce qui concerne l'accusation de harcèlement, les choses sont claires : la justice les a déjà balayé d'un revers de main. Par un jugement de décembre 2015, le Conseil Prud'hommal a considéré que les accusations de harcèlement étaient parfaitement infondées. Ces accusations mensongères et calomnieuses avaient pour but l'obtention d'indemnités indues.
Cet homme et cette femme, tous deux anciens employés voulaient, suite à la déclaration publique de mon patrimoine en 2013, et à peine après 1 an de collaboration, obtenir une augmentation exorbitante que j'ai refusée. De là, ces deux ex-employés opportunistes ont tenté conjointement de tirer profit de leur position et de mon engagement public par une tentative de chantage pour m'extorquer une indemnité faramineuse (plus de 150 000€ chacun).
Par ailleurs, j'ai porté plainte auprès du procureur de la République de Paris, dès 2013, au lendemain même de la tentative d'extorsion. Plainte qui a conduit à l'ouverture d'une information judiciaire à l'encontre de ces deux personnes.
L'article de Monsieur Dupuy, aux ordres d'un élu bien mal loti quant à la légitimité de son élection devant le Conseil d’État et les enquêtes en cours par le parquet financier de Paris, qui tente de faire écho à une actualité nationale qui ne me concerne pas, a tout du pétard mouillé.
La seule lecture de l'ensemble du dossier prud'hommal et pas seulement d'un courrier mal inspiré suffit à s'en convaincre.
Je prends dès ce jour les dispositions utiles afin que cette énième calomnie dont je fais l'objet et, qui n'a d'autre intérêt que de me nuire publiquement au profit d'adversaires politiques en difficulté, ne reste pas lettre morte et que le soldat Dupuy en réponde.