Il y avait du monde dans l'hémicycle du Conseil général, hier matin. la Chambre de commerce et d’industrie de La Réunion (CCIR), le Syndicat réunionnais des tabacs presses (SRTP), le Syndicat réunionnais des exploitants de stations services (SRESS), la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution (FCD), le Syndicat réunionnais des commerces alimentaires de proximité (SYRCAP), et le Conseil général.
Bachil Valy, vice-président du Département, a écouté et entendu "les inquiétudes des vendeurs de tabac. Nous continuons à recevoir beaucoup de courriers. Aujourd'hui (ndlr : hier), il y avait également de la détresse dans les voix".
"Car, l'instauration d'une licence tabac, met en péril un grand nombre de commerces. Supprimer la vente de tabac à certains débits, c'est leur priver de 40 à 60 % de leur chiffre d'affaire", explique l'élu du Conseil général.
Les politiques ont donc entendu les commerçants. "Il y a aujourd'hui une forte mobilisation des vendeurs de tabac. Cette mobilisation concerne aujourd'hui l'ensemble de l'Outre-mer. Les acteurs de ce secteur d'activité, espèrent qu'ensemble, ils pourront faire entendre leur voix jusqu'à Paris", poursuit le conseiller général de l'Entre-Deux.
Les commerçants conservent aussi pour l'heure l'avantage sur le terrain juridique et règlementaire. "Cette loi n'est pas encore applicable à La Réunion. Le Conseil général n'a pas encore donné son avis sur le projet de décret. Nous ne l'avons toujours pas reçu".
L'autre point qui favorise le statu quo, c'est la période transitoire avant l'entrée en vigueur de ce texte de loi, c'est la période transitoire. Celle-ci court jusqu'à la fin de l'année", précise Bachil Valy.
Les commerçants ont donc un délai pour mobiliser tout l'Outre-mer, chercher et trouver des appuis, et faire du lobbying auprès du gouvernement pour parvenir à leur objectif : faire annuler l'instauration et la délivrance d'une licence tabac.
Bachil Valy, vice-président du Département, a écouté et entendu "les inquiétudes des vendeurs de tabac. Nous continuons à recevoir beaucoup de courriers. Aujourd'hui (ndlr : hier), il y avait également de la détresse dans les voix".
"Car, l'instauration d'une licence tabac, met en péril un grand nombre de commerces. Supprimer la vente de tabac à certains débits, c'est leur priver de 40 à 60 % de leur chiffre d'affaire", explique l'élu du Conseil général.
Les politiques ont donc entendu les commerçants. "Il y a aujourd'hui une forte mobilisation des vendeurs de tabac. Cette mobilisation concerne aujourd'hui l'ensemble de l'Outre-mer. Les acteurs de ce secteur d'activité, espèrent qu'ensemble, ils pourront faire entendre leur voix jusqu'à Paris", poursuit le conseiller général de l'Entre-Deux.
Les commerçants conservent aussi pour l'heure l'avantage sur le terrain juridique et règlementaire. "Cette loi n'est pas encore applicable à La Réunion. Le Conseil général n'a pas encore donné son avis sur le projet de décret. Nous ne l'avons toujours pas reçu".
L'autre point qui favorise le statu quo, c'est la période transitoire avant l'entrée en vigueur de ce texte de loi, c'est la période transitoire. Celle-ci court jusqu'à la fin de l'année", précise Bachil Valy.
Les commerçants ont donc un délai pour mobiliser tout l'Outre-mer, chercher et trouver des appuis, et faire du lobbying auprès du gouvernement pour parvenir à leur objectif : faire annuler l'instauration et la délivrance d'une licence tabac.