Olivier Rivière a déjà vécu deux fêtes du Vacoas. Pour le plus jeune maire de La Réunion, le développement économique et touristique de Saint-Philippe, passe par "la formation des artisans, la valorisation des produits locaux et la labellisation de cet artisanat, une protection contre l'importation ininterrompue des produits malgaches ou d'ailleurs".
"Il ne s'agit pas ici de stigmatiser une origine, mais de proposer un cadre dynamique et compétitif à ce qui se fait dans notre commune. Le tressage de Vacoas est l'une des cartes postales de Saint-Philippe. C'est un savoir qui se transmet au sein de la famille ou dans les associations".
"C'est un vrai savoir-faire que nous devons valoriser. Cette valorisation passe aussi par la vente des produits réalisés à partir des vacoas de Saint-Philippe. Leur qualité et leur authenticité ont également un coût souvent supérieur aux produits importés, le plus souvent de Madagascar".
"Aussi cette année, nous avons décidés d'interdire les produits importés sur le site de la fête des Vacoas". La municipalité a même décidé à terme, d'apposer un label sur les produits "made in Saint-Philippe".
"Il ne s'agit pas ici de stigmatiser une origine, mais de proposer un cadre dynamique et compétitif à ce qui se fait dans notre commune. Le tressage de Vacoas est l'une des cartes postales de Saint-Philippe. C'est un savoir qui se transmet au sein de la famille ou dans les associations".
"C'est un vrai savoir-faire que nous devons valoriser. Cette valorisation passe aussi par la vente des produits réalisés à partir des vacoas de Saint-Philippe. Leur qualité et leur authenticité ont également un coût souvent supérieur aux produits importés, le plus souvent de Madagascar".
"Aussi cette année, nous avons décidés d'interdire les produits importés sur le site de la fête des Vacoas". La municipalité a même décidé à terme, d'apposer un label sur les produits "made in Saint-Philippe".
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