Vous voyez Maurice Gironcel dans les bras d'Orphé ? Le maire de Sainte-Suzanne n'est pas homme à se laisser endormir. Qu'il y ait ou non un accord officiel de désistement républicain Maurice Gironcel y va pour gagner… Monique Orphé et Jean-Louis Lagourgue aussi. L'équation pour Monique Orphé et Maurice Gironcel est simple : comment battre le candidat de Droite sans avoir faire le jeu du ou de la concurrent(e) de Gauche ?
Paul Vergès a dit sur son blog : "Le désistement ne se discute pas, c'est automatique". Ça ne se discute pas, mais ça se dispute. Comme au marché forain. Au Chaudron. Ces échanges vifs révèlent bien les antagonismes qui existent ces deux partis frères. Maurice Gironcel a dit le fond de sa pensée, et a aussi montré que les blessures sont vivaces : perte de la Région Réunion par l'Alliance en 2010, échec de l'accord tripartite signé en 2011 au Conseil général, et le choix implicite du PS dionysien de soutenir Daniel Alamélou, lors de la Municipale anticipée de Sainte-Suzanne.
Il faut ajouter à cette liste, les relations privilégiées entre Jean-Louis Lagourgue et Maurice Gironcel à la Cinor. Certains socialistes regrettent que "le communiste ait plus de proximité avec le maire de Sainte-Marie, plutôt qu'avec la mairie de Saint-Denis. Ceci étant, il n'y a rien de surprenant à cette situation, c'est historique, la famille Lagourgue et la famille Vergès ont toujours été proches".
C'est une réalité. Mais reconnaissons tout de même une grande qualité à Jean-Louis Lagourgue : sa capacité à rassembler… les élus ou anciens élus de Sainte-Suzanne. Yolande Pausé, ex-maire de Sainte-Suzanne, soutient le premier vice-président du Conseil régional. Antonio Grondin, conseiller municipal d'opposition, a aussi fait le choix de Lagourgue. Le chef d'entreprise a même la permanence électorale du candidat de Droite, dans l'ancien local de Daniel Alamélou. Attention pas d'amalgame !
Paul Vergès a raison : "Le désistement ne se discute pas, c'est automatique".
Paul Vergès a dit sur son blog : "Le désistement ne se discute pas, c'est automatique". Ça ne se discute pas, mais ça se dispute. Comme au marché forain. Au Chaudron. Ces échanges vifs révèlent bien les antagonismes qui existent ces deux partis frères. Maurice Gironcel a dit le fond de sa pensée, et a aussi montré que les blessures sont vivaces : perte de la Région Réunion par l'Alliance en 2010, échec de l'accord tripartite signé en 2011 au Conseil général, et le choix implicite du PS dionysien de soutenir Daniel Alamélou, lors de la Municipale anticipée de Sainte-Suzanne.
Il faut ajouter à cette liste, les relations privilégiées entre Jean-Louis Lagourgue et Maurice Gironcel à la Cinor. Certains socialistes regrettent que "le communiste ait plus de proximité avec le maire de Sainte-Marie, plutôt qu'avec la mairie de Saint-Denis. Ceci étant, il n'y a rien de surprenant à cette situation, c'est historique, la famille Lagourgue et la famille Vergès ont toujours été proches".
C'est une réalité. Mais reconnaissons tout de même une grande qualité à Jean-Louis Lagourgue : sa capacité à rassembler… les élus ou anciens élus de Sainte-Suzanne. Yolande Pausé, ex-maire de Sainte-Suzanne, soutient le premier vice-président du Conseil régional. Antonio Grondin, conseiller municipal d'opposition, a aussi fait le choix de Lagourgue. Le chef d'entreprise a même la permanence électorale du candidat de Droite, dans l'ancien local de Daniel Alamélou. Attention pas d'amalgame !
Paul Vergès a raison : "Le désistement ne se discute pas, c'est automatique".