Anne-Marie Payet a du mérite. Sa place, elle l'a gagnée grâce à son abnégation, son travail et son courage. Aujourd'hui cette place, elle le mérite. Pleinement. Professionnellement. Car, la politique "c'est un métier. Et je l'ai appris. C'est vrai, ça été dur au départ". L'épisode local où elle devait laisser sa place, a perduré en métropole. Dans l'hémicycle du palais de Luxembourg.
"Ça fait parti de l'apprentissage". Anne-Marie Payet a surtout osé. L'audace, c'est ce qui ressort avant tout de son bilan. Elle y a ajouté la "ténacité et courage", dit Jean-Paul Virapoullé. "Et aussi, une grosse pincée d'émotion. Ça c'est moi. Quand on veut faire partager son ambition, ses projets, il faut y mettre du cœur, mettre de soi. Beaucoup de soi. Ala tribune du Sénat. Jean-Paul lui, c'est un orateur hors-pair et reconnu par tous", sourit la Cilaosienne.
"Qui aurait pu imaginer que ce petit bout de femme aurait accomplit un tel travail et accumulé autant de succès", lâche admiratif Jean-Paul Virapoullé. Pas JPV en tout cas. "C'est vrai, pas moi. Au début". Et aujourd'hui ? "Chapeau bas. Sa lutte contre les addictions et toujours pour la santé, est un exemple de travail parlementaire".
Le combat d'Anne-Marie Payet pour la santé et la vie : c'est la médiatisation du syndrome d'alcoolisation foetal (égalité des chances), règlementer la vente du tabac, sa position ferme contre les cellules souches, et en train la proportionnalité des soins dans l'accompagnement des personnes en fin de vie (respect et dignité humaine).
"Ses résultats sont considérables. Son bilan plaide en sa faveur. Ce n'est pas pour rien qu'elle est l'un des quatorze secrétaires du Sénat, désignée à l'unanimité par son groupe. "C'est sans doute inédit, il y a deux secrétaires du sénat sur notre liste", dit avec une réelle fierté Jean-Paul Virapoullé. "Notre liste, c'est expérience, compétences et complémentarité". Anne-Marie Payet acquiesce.
La sénatrice sortante demeure toutefois lucide. Cette deuxième place est "aléatoire". Mais qui sait en politique, il n'y pas de logique… "Les Sénatoriales, ce sont des élections trans-courants, toutes les surprises sont possibles", répète souvent Jean-Paul Virapoullé. "Et je sais de quoi, je parle".
"Ça fait parti de l'apprentissage". Anne-Marie Payet a surtout osé. L'audace, c'est ce qui ressort avant tout de son bilan. Elle y a ajouté la "ténacité et courage", dit Jean-Paul Virapoullé. "Et aussi, une grosse pincée d'émotion. Ça c'est moi. Quand on veut faire partager son ambition, ses projets, il faut y mettre du cœur, mettre de soi. Beaucoup de soi. Ala tribune du Sénat. Jean-Paul lui, c'est un orateur hors-pair et reconnu par tous", sourit la Cilaosienne.
"Qui aurait pu imaginer que ce petit bout de femme aurait accomplit un tel travail et accumulé autant de succès", lâche admiratif Jean-Paul Virapoullé. Pas JPV en tout cas. "C'est vrai, pas moi. Au début". Et aujourd'hui ? "Chapeau bas. Sa lutte contre les addictions et toujours pour la santé, est un exemple de travail parlementaire".
Le combat d'Anne-Marie Payet pour la santé et la vie : c'est la médiatisation du syndrome d'alcoolisation foetal (égalité des chances), règlementer la vente du tabac, sa position ferme contre les cellules souches, et en train la proportionnalité des soins dans l'accompagnement des personnes en fin de vie (respect et dignité humaine).
"Ses résultats sont considérables. Son bilan plaide en sa faveur. Ce n'est pas pour rien qu'elle est l'un des quatorze secrétaires du Sénat, désignée à l'unanimité par son groupe. "C'est sans doute inédit, il y a deux secrétaires du sénat sur notre liste", dit avec une réelle fierté Jean-Paul Virapoullé. "Notre liste, c'est expérience, compétences et complémentarité". Anne-Marie Payet acquiesce.
La sénatrice sortante demeure toutefois lucide. Cette deuxième place est "aléatoire". Mais qui sait en politique, il n'y pas de logique… "Les Sénatoriales, ce sont des élections trans-courants, toutes les surprises sont possibles", répète souvent Jean-Paul Virapoullé. "Et je sais de quoi, je parle".
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