L'après 17 juin : renouvellement de la classe politique et refondation de la droite, est depuis longtemps un sujet de discussion, c'est aussi un thème de campagne ?
A deux semaines du premier tour, le principal élément de campagne, c'est : "quelles sont les réponses que je dois apporter à la population en souffrance". La pertinence de ces réponses repose effectivement sur plusieurs aspects politiques. Il y a d'abord la crédibilité de ma candidature au sein de ma famille politique et dans la circonscription. Cette première étape s'est bien passée.
C'est-à-dire ?
Mon objectif premier était d'être la candidate de l'union à Droite. C'est fait. Je mène cette campagne en collaboration avec tous les ténors de la Droite, de la circonscription. La solidarité de ma famille politique dans une telle campagne, est essentielle. Comment peut-on être crédible face à la population lorsque plusieurs candidats qui se réclament de la majorité présidentielle, sont concurrents au premier tour, et proposent l'union au second tour. Il y a une incohérence que nos concitoyens ne comprennent pas.
Qu'est-ce que les habitants de la deuxième circonscription, vous disent le plus souvent ?
Il y a une réelle attente d'un renouvellement de la classe politique et d'un vrai changement. Les difficultés et les souffrances ont continué à augmenter au sein de notre société. Ce sont toujours les plus modestes et les plus faibles qui sont touchés. L'espoir a depuis longtemps laissé la place au désespoir. Et à la fatalité. Beaucoup nous disent ne plus y croire. Certains n'ont plus de rêve. C'est terrible. Et c'est triste. Très triste.
Quelles sont leurs doléances ?
L'emploi, le logement et la cherté de la vie sont les principales inquiétudes. Face à cette réalité, j'ai un discours honnête et sincère. Un discours d'une mère de famille qui partage les mêmes craintes non plus de l'avenir, mais du lendemain. Que ce soit à La Possession, au Port ou à Saint-Paul, j'explique, à travers mon programme comment, nous pouvons apporter des solutions à la situation actuelle.
Si vous êtes élue, vous avez plus de chance d'être dans l'opposition, comment allez-vous défendre vos propositions de loi ?
Que je sois dans la majorité ou l'opposition de l'Assemblée nationale, ce n'est pas là le plus important. Quelle que soit ma position, l'essentiel c'est mon engagement et ma détermination à faire voter moins de charges sociales, réduire le coût de fret, et augmenter l'employabilité des dispositifs de formation pour les entreprises, faciliter l'accès au logement au plus grand nombre… et consolider ainsi le cercle familial. Et ses valeurs.
A deux semaines du premier tour, le principal élément de campagne, c'est : "quelles sont les réponses que je dois apporter à la population en souffrance". La pertinence de ces réponses repose effectivement sur plusieurs aspects politiques. Il y a d'abord la crédibilité de ma candidature au sein de ma famille politique et dans la circonscription. Cette première étape s'est bien passée.
C'est-à-dire ?
Mon objectif premier était d'être la candidate de l'union à Droite. C'est fait. Je mène cette campagne en collaboration avec tous les ténors de la Droite, de la circonscription. La solidarité de ma famille politique dans une telle campagne, est essentielle. Comment peut-on être crédible face à la population lorsque plusieurs candidats qui se réclament de la majorité présidentielle, sont concurrents au premier tour, et proposent l'union au second tour. Il y a une incohérence que nos concitoyens ne comprennent pas.
Qu'est-ce que les habitants de la deuxième circonscription, vous disent le plus souvent ?
Il y a une réelle attente d'un renouvellement de la classe politique et d'un vrai changement. Les difficultés et les souffrances ont continué à augmenter au sein de notre société. Ce sont toujours les plus modestes et les plus faibles qui sont touchés. L'espoir a depuis longtemps laissé la place au désespoir. Et à la fatalité. Beaucoup nous disent ne plus y croire. Certains n'ont plus de rêve. C'est terrible. Et c'est triste. Très triste.
Quelles sont leurs doléances ?
L'emploi, le logement et la cherté de la vie sont les principales inquiétudes. Face à cette réalité, j'ai un discours honnête et sincère. Un discours d'une mère de famille qui partage les mêmes craintes non plus de l'avenir, mais du lendemain. Que ce soit à La Possession, au Port ou à Saint-Paul, j'explique, à travers mon programme comment, nous pouvons apporter des solutions à la situation actuelle.
Si vous êtes élue, vous avez plus de chance d'être dans l'opposition, comment allez-vous défendre vos propositions de loi ?
Que je sois dans la majorité ou l'opposition de l'Assemblée nationale, ce n'est pas là le plus important. Quelle que soit ma position, l'essentiel c'est mon engagement et ma détermination à faire voter moins de charges sociales, réduire le coût de fret, et augmenter l'employabilité des dispositifs de formation pour les entreprises, faciliter l'accès au logement au plus grand nombre… et consolider ainsi le cercle familial. Et ses valeurs.