"La presse de ce jour indique que la commune de Saint-Louis connait un nouvel épisode avec le possible règlement d'office du budget. Nous en prenons acte car nous n'avons eu de cesse de dénoncer les dérives budgétaires de la commune de Saint-Louis depuis 2009, en souhaitant des actions énergiques pour un retour à l'équilibre".
"Mais c'est hélas, à ce stade, une très mauvaise nouvelle car cela implique des conséquences néfastes pour les citoyens: qu'il s'agisse de l'augmentation des impôts locaux ou de la suppression d'une partie du budget du personnel entrainant le non renouvellement des contrats en cours.
Nous souhaitons que le Préfet prenne conscience que la pression sur les contribuables a atteint des limites inacceptables. En conséquence, nous ne pouvons que nous opposer à toute augmentation des impôts.
Nous préconisons plutôt une réduction des dépenses par:
- la suppression des travaux en régie ;
- la diminution forte des subventions aux associations ;
- la suppression du parc automobile et du garage municipal ;
- la vente de tous les biens du domaine privé de la ville ;
- la diminution de moitié, voire le non versement cette année, des indemnités des élus ;
- la suppression de tous les avantages financiers ou en nature des hauts cadres.
Depuis 2011, nous réclamons une nouvelle majorité municipale qui mette en œuvre une autre politique qui prenne en compte toutes les préconisations de la Chambre Régionale des Comptes.
Nous renouvelons donc notre souhait d'une démission collective des élus et une élection municipale anticipée. C'est au peuple qu'il appartient désormais de définir les orientations et les sacrifices qu'il sera prêt à accepter, au delà des services de l'Etat".
"Mais c'est hélas, à ce stade, une très mauvaise nouvelle car cela implique des conséquences néfastes pour les citoyens: qu'il s'agisse de l'augmentation des impôts locaux ou de la suppression d'une partie du budget du personnel entrainant le non renouvellement des contrats en cours.
Nous souhaitons que le Préfet prenne conscience que la pression sur les contribuables a atteint des limites inacceptables. En conséquence, nous ne pouvons que nous opposer à toute augmentation des impôts.
Nous préconisons plutôt une réduction des dépenses par:
- la suppression des travaux en régie ;
- la diminution forte des subventions aux associations ;
- la suppression du parc automobile et du garage municipal ;
- la vente de tous les biens du domaine privé de la ville ;
- la diminution de moitié, voire le non versement cette année, des indemnités des élus ;
- la suppression de tous les avantages financiers ou en nature des hauts cadres.
Depuis 2011, nous réclamons une nouvelle majorité municipale qui mette en œuvre une autre politique qui prenne en compte toutes les préconisations de la Chambre Régionale des Comptes.
Nous renouvelons donc notre souhait d'une démission collective des élus et une élection municipale anticipée. C'est au peuple qu'il appartient désormais de définir les orientations et les sacrifices qu'il sera prêt à accepter, au delà des services de l'Etat".
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