Ce directeur se prend pour un adroit personnage, il l'a démontré en changeant allègrement de bord aux élections municipales de Saint-Joseph.
Déjà,il n'était pas très présent à l'hôpital,il vient de décrocher un mandat dans cette ville du Sud en se faisant élire au côté du maire actuel alors même qu'il s'était présenté comme adversaire aux élections précédentes.
Que ne ferait il pas pas conserver le Pouvoir......Ce même directeur qui a recruté en septembre dernier un cadre de santé supérieur pour le placer en tête du projet PSO (Pôle Sanitaire Ouest),sa qualité principale : colistier de l'ancien maire de Saint-Paul.
Le principe de neutralité du service public interdit de faire de sa fonction l'instrument d'une propagande quelconque .Or il semble que le Directeur a introduit la politique politicienne au sein de son établissement. Cette attitude constituerait de fait un manquement à l'obligation de réserve de tout fonctionnaire. Si tout s'avérait vérifié, ce serait d'autant plus grave lorsque le fonctionnaire est titulaire d'une haute fonction administrative ,comme un Directeur d'hôpital.
Faudra t-il attendre une nouvelle affaire comme celle de l'ancien Directeur du GHER pour que les autorités prennent les décisions qui s'imposent ?
Depuis plusieurs mois les menaces à peine voilées et les pressions psychologiques seraient exercées par le TRIO de la gouvernance envers le personnel ne cesseraient d'augmenter.
Déjà un audit récent(fin décembre 2013) sur les RPS(risques psycho- sociaux)démontrerait qu'un agent sur trois est en souffrance. On pourrait penser que les patients en pâtissent indirectement . Un représentant des usagers peut-il cautionner de telles choses...
Une véritable bombe à retardement a été armée à Gabriel Martin. Qui sait quand et comment elle explosera?
UN AGENT INQUIET ET EN COLERE
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