"La fidélité à ces combats communs et l’adhésion à un projet pour construire l’avenir sont les valeurs fondant mon engagement politique.
Aussi, je suis profondément choquée par le scénario qui s’est dessiné dans la deuxième circonscription.
Comment accepter qu’une députée sortante, élue à plusieurs reprises grâce au soutien sans faille des militants et des dirigeants du Port et de La Possession, en arrive aujourd’hui à combattre sans pudeur ceux là même qui lui ont tant apporté ? Pourquoi a t elle choisi la voie de l’affrontement alors que celle de la sagesse lui permettait de livrer une bataille électorale qui l’aurait grandie ? Comment peut elle à ce point fouler aux pieds les valeurs qui ont fondé son engagement ?
Nous ne pouvons tolérer cette volonté de détruire cet héritage, alors que notre responsabilité est de le faire prospérer, pour être encore plus fort face aux défis qui nous attendent et par respect pour celles et ceux qui ont lutté pour faire de La Réunion celle qu’elle est aujourd’hui.
Nous ne pouvons accepter cette volonté de division, l’invective et la menace, dont le seul objectif est de préserver les acquis personnels d’une Députée sortante, qui ces dernières années, à maintes reprises, a agi pour faire perdre son propre camp.
En tant que femme engagée, je ne peux non plus adhérer à l’utilisation des principes de parité et de valorisation de la femme quand il s’agit de porter atteinte aux valeurs même qui fondent la loyauté en politique. Personne ne peut réécrire l’histoire. Pas même Mme Bello qui a été élue première femme Députée de La Réunion en 1997 par la volonté de l’organisation politique à laquelle elle appartenait ; c’est aussi le parti communiste réunionnais qui a initié et inspiré le combat de l’Union des Femmes de La Réunion (UFR).
Ce mouvement perdrait de sa légitimité s’il devait être réduit aujourd’hui à ne servir les intérêts que d’une seule personne. Le combat de Mme Bello dans la deuxième circonscription n’est pas celui de la parité. Ce n’est que la lutte acharnée d’une personne qui veut s’approprier un territoire électoral pour s’accrocher à un mandat. C’est un combat personnel dirigé contre une organisation politique.
A la Possession, les soutiens qui se sont exprimés en faveur de Mme Bello laissent aussi penser qu’ils ne visent que l’objectif de règlement de comptes. L’ex-première adjointe, historiquement opposée à Mme Bello, la rejoint aujourd’hui dans le camp de la division. La population de la Possession connaît les divergences qui nous opposent aujourd’hui à celle qui fut la première adjointe. Ces divergences se situent au niveau de l’éthique qui doit animer une élue de la République. Ce ralliement n’honore pas Mme Bello.
Alors que la situation de notre île d’une gravité sans précédent doit avant tout nous inspirer unité et action pour offrir une perspective concrète et des conditions de vie meilleures pour le plus grand nombre, il est de notre devoir de mettre en commun toutes nos forces en mobilisant les femmes et les hommes de bonne volonté pour livrer un seul combat : celui du développement de notre pays. Pour relever ce défi, il faut rassembler et non diviser.
C’est pourquoi, j’appelle au rassemblement le plus large possible autour de la candidature de Jean-Yves Langenier, et de sa suppléante Therèse Rica, dans la deuxième circonscription."
Aussi, je suis profondément choquée par le scénario qui s’est dessiné dans la deuxième circonscription.
Comment accepter qu’une députée sortante, élue à plusieurs reprises grâce au soutien sans faille des militants et des dirigeants du Port et de La Possession, en arrive aujourd’hui à combattre sans pudeur ceux là même qui lui ont tant apporté ? Pourquoi a t elle choisi la voie de l’affrontement alors que celle de la sagesse lui permettait de livrer une bataille électorale qui l’aurait grandie ? Comment peut elle à ce point fouler aux pieds les valeurs qui ont fondé son engagement ?
Nous ne pouvons tolérer cette volonté de détruire cet héritage, alors que notre responsabilité est de le faire prospérer, pour être encore plus fort face aux défis qui nous attendent et par respect pour celles et ceux qui ont lutté pour faire de La Réunion celle qu’elle est aujourd’hui.
Nous ne pouvons accepter cette volonté de division, l’invective et la menace, dont le seul objectif est de préserver les acquis personnels d’une Députée sortante, qui ces dernières années, à maintes reprises, a agi pour faire perdre son propre camp.
En tant que femme engagée, je ne peux non plus adhérer à l’utilisation des principes de parité et de valorisation de la femme quand il s’agit de porter atteinte aux valeurs même qui fondent la loyauté en politique. Personne ne peut réécrire l’histoire. Pas même Mme Bello qui a été élue première femme Députée de La Réunion en 1997 par la volonté de l’organisation politique à laquelle elle appartenait ; c’est aussi le parti communiste réunionnais qui a initié et inspiré le combat de l’Union des Femmes de La Réunion (UFR).
Ce mouvement perdrait de sa légitimité s’il devait être réduit aujourd’hui à ne servir les intérêts que d’une seule personne. Le combat de Mme Bello dans la deuxième circonscription n’est pas celui de la parité. Ce n’est que la lutte acharnée d’une personne qui veut s’approprier un territoire électoral pour s’accrocher à un mandat. C’est un combat personnel dirigé contre une organisation politique.
A la Possession, les soutiens qui se sont exprimés en faveur de Mme Bello laissent aussi penser qu’ils ne visent que l’objectif de règlement de comptes. L’ex-première adjointe, historiquement opposée à Mme Bello, la rejoint aujourd’hui dans le camp de la division. La population de la Possession connaît les divergences qui nous opposent aujourd’hui à celle qui fut la première adjointe. Ces divergences se situent au niveau de l’éthique qui doit animer une élue de la République. Ce ralliement n’honore pas Mme Bello.
Alors que la situation de notre île d’une gravité sans précédent doit avant tout nous inspirer unité et action pour offrir une perspective concrète et des conditions de vie meilleures pour le plus grand nombre, il est de notre devoir de mettre en commun toutes nos forces en mobilisant les femmes et les hommes de bonne volonté pour livrer un seul combat : celui du développement de notre pays. Pour relever ce défi, il faut rassembler et non diviser.
C’est pourquoi, j’appelle au rassemblement le plus large possible autour de la candidature de Jean-Yves Langenier, et de sa suppléante Therèse Rica, dans la deuxième circonscription."