Il faut de l'ambition pour La Réunion :
Daborinn : Une très forte envie de construire ensemble pour que notre île vive, et que nous puissions y rester si nous le souhaitons. C’est le difficile art du compromis pour rechercher tout le positif possible et jusqu’à aujourd’hui : jamais vu ici.
Et aussi : une méthodologie de travail, des études et des conclusions d’administratifs conjuguées et volontairement organisées avec celle des acteurs de terrain, le relevés des ressources diverses et la possibilité recherchée de leur mise en commun, pour aboutir à la mise en œuvre dans une cohérence totale, c’est ainsi le mode de fonctionnement d’un élu écologiste contrairement à ceux qui confondent des projets ponctuels avec des aspects écologiques qui font fi de l'humain et de son environnement avec un projet politique écologique qui porte et met en exergue les valeurs écologiques à savoir l'épanouissement de chacun et la sauvegarde des richesses naturelles de chaque région et donc de la planète.
C’est pour cela que, avant de légiférer, il faut évaluer l'impact écologique et économique des lois que l'on met en place. Leurs conséquences doivent être connues d'avance. Pour tout ceci, il faut des élus disponibles qui ne cumulent pas : des élus qui arrêtent de s’enrichir personnellement notamment avec le cumul de leurs mandats. Il nous faut veiller à l’existence et à la mise en œuvre réelle de lois pertinentes qui s’accordent avec les spécificités régionales.
J’ai proposé la création de 40 000 emplois et on peut les faire si nos finances nationales et locales sont bien gérées : fiscalité, transactions financières, diminution des dépenses publiques : tout doit contribuer à financer des emplois avec une vraie décentralisation capable de créer le développement local.
Donc de l’ambition pour l’emploi local : ce n’est pas de l’utopie et nous pouvons les décliner dans :
- Les énergies renouvelables : marines, éoliennes, volcanique, photovoltaïques, biomasse, etc.
- Les métiers de l’environnement et garder aussi ici nos jeunes avec bac + 5
- L’Économie Sociale et Solidaire : (l’exemple malheureux du naufrage de l’ARAST prouve combien les emplois de proximité de service aux personnes âgées, malades, handicapées…sont à privilégier fortement et durablement ici pour aujourd’hui et en prévision de demain) et rappelons le : l’ÉSS se rattache à toute initiative généreuse conciliant emploi, activité rentable économique, lien social, information et formation de tous, solidarité, générosité, protection et sauvegarde de nos atouts… Il convient donc sécuriser, promouvoir le tissu associatif , les coopératives et leurs bénévoles
- Le développement économique de nos territoires ruraux avec le soutien privilégié à tous les producteurs et notamment les producteurs bio, en lien avec le développement d’un éco-tourisme de terroir ouvert complètement sur les quartiers et la population, véritables outils d’éducation populaire
- La valorisation de tout notre patrimoine et la mise en avant de notre patrimoine vivant.
Il nous faut soutenir ensemble tous les secteurs d’emploi aussi bien publics que privés. Créativité, autonomie, démocratie horizontale, sobriété… La question aujourd’hui est de savoir : qui veut véritablement et que veut-on pour La Réunion ?
De l’ambition car je considère que cette île a des richesses humaines, culturelles, historiques, géographiques, énergétiques, patrimoniales, etc. et qu’elle doit être ménagée… aimée.
Et pour finir : "Point n'est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer", Guillaume de Nassau
Daborinn : Une très forte envie de construire ensemble pour que notre île vive, et que nous puissions y rester si nous le souhaitons. C’est le difficile art du compromis pour rechercher tout le positif possible et jusqu’à aujourd’hui : jamais vu ici.
Et aussi : une méthodologie de travail, des études et des conclusions d’administratifs conjuguées et volontairement organisées avec celle des acteurs de terrain, le relevés des ressources diverses et la possibilité recherchée de leur mise en commun, pour aboutir à la mise en œuvre dans une cohérence totale, c’est ainsi le mode de fonctionnement d’un élu écologiste contrairement à ceux qui confondent des projets ponctuels avec des aspects écologiques qui font fi de l'humain et de son environnement avec un projet politique écologique qui porte et met en exergue les valeurs écologiques à savoir l'épanouissement de chacun et la sauvegarde des richesses naturelles de chaque région et donc de la planète.
C’est pour cela que, avant de légiférer, il faut évaluer l'impact écologique et économique des lois que l'on met en place. Leurs conséquences doivent être connues d'avance. Pour tout ceci, il faut des élus disponibles qui ne cumulent pas : des élus qui arrêtent de s’enrichir personnellement notamment avec le cumul de leurs mandats. Il nous faut veiller à l’existence et à la mise en œuvre réelle de lois pertinentes qui s’accordent avec les spécificités régionales.
J’ai proposé la création de 40 000 emplois et on peut les faire si nos finances nationales et locales sont bien gérées : fiscalité, transactions financières, diminution des dépenses publiques : tout doit contribuer à financer des emplois avec une vraie décentralisation capable de créer le développement local.
Donc de l’ambition pour l’emploi local : ce n’est pas de l’utopie et nous pouvons les décliner dans :
- Les énergies renouvelables : marines, éoliennes, volcanique, photovoltaïques, biomasse, etc.
- Les métiers de l’environnement et garder aussi ici nos jeunes avec bac + 5
- L’Économie Sociale et Solidaire : (l’exemple malheureux du naufrage de l’ARAST prouve combien les emplois de proximité de service aux personnes âgées, malades, handicapées…sont à privilégier fortement et durablement ici pour aujourd’hui et en prévision de demain) et rappelons le : l’ÉSS se rattache à toute initiative généreuse conciliant emploi, activité rentable économique, lien social, information et formation de tous, solidarité, générosité, protection et sauvegarde de nos atouts… Il convient donc sécuriser, promouvoir le tissu associatif , les coopératives et leurs bénévoles
- Le développement économique de nos territoires ruraux avec le soutien privilégié à tous les producteurs et notamment les producteurs bio, en lien avec le développement d’un éco-tourisme de terroir ouvert complètement sur les quartiers et la population, véritables outils d’éducation populaire
- La valorisation de tout notre patrimoine et la mise en avant de notre patrimoine vivant.
Il nous faut soutenir ensemble tous les secteurs d’emploi aussi bien publics que privés. Créativité, autonomie, démocratie horizontale, sobriété… La question aujourd’hui est de savoir : qui veut véritablement et que veut-on pour La Réunion ?
De l’ambition car je considère que cette île a des richesses humaines, culturelles, historiques, géographiques, énergétiques, patrimoniales, etc. et qu’elle doit être ménagée… aimée.
Et pour finir : "Point n'est besoin d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer", Guillaume de Nassau
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