Didier Robert et Michel Fontaine étaient bien sûr présents à cette réunion programmée depuis la semaine dernière. Les deux leaders naturels de la Droite, n'ont pas encore de position arrêtée sur la nécessité de revenir ou non dans la majorité du Conseil général. Une certitude. "Nous répondrons favorablement à une rencontre avec la présidente du Département". En un mot, qu'est-ce qu'il y aura dans le panier de la mariée. "Ce ne sera pas un mariage blanc".
Si la question n'est pas de savoir qui, parmi les potentiels premiers vice-présidents, de Cyrille Hamilcaro ou Cyrille Melchior, portera dans ses bras, Nassimah Dindar pour franchir la porte de l'hémicycle, la répartition des prérogatives impose des négociations pointues avec les 11 élus des Modérés et les 3 du PCR. Mais pas questions non plus à l'actuelle présidente de donner les clés du palais de La Source à sa future ex-opposition.
Ce n'est pas non plus, le vœu de la plupart des élus de Droite présents hier soir à Saint-Leu. Leur priorité, c'est la refondation ou la reconstruction de la Droite dans la perspective des Municipales 2014, des Cantonales et des Régionales 2015 et au delà. Cyrille Halmicaro comme à son habitude a mis les pieds dans le plat. Lui qui ne cesse de réclamer une analyse des élections de 2012, un état des lieux de la Droite, et la définition des objectifs à venir, ne comprend pas la Droite soit aussi discrète. Pour ne pas dire inexistante.
Michel Fontaine, président de l'UMP local, demeure pragmatique. Lui aussi espère une clarification. Cet homme de l'ombre de par sa grande discrétion, qu'un certain nombre d'élus et de militants veulent voir officiellement adoubé comme chef de file de la Droite, milite pour des relations claires et précises entre partenaire de son camp politique. "Mon adversaire, c'est le PS et le PCR".
Didier Robert lui, voit dans le retour de la Droite, dans la majorité départementale, un point de départ pour une reconquête de la Droite,et reprendre sa place d'après 2010. Mais qu'en pensent réellement plusieurs ténors de la Droite ? Certains n'hésitent plus à dire en coulisses, que le président de la Région "n'a pas tenu son rôle de leader de la Droite. C'est dans les moments les plus difficiles que la présence du chef est indispensable. C'est lui qui tient le gouvernail. Didier Robert n'a pas eu cette attitude".
Hier soir à l'Etang-Salé, la Droite a commencé son acte de contrition. Mais, personne n'a encore dit "Oui, j'ai vraiment péché". Cette période de carême qui commence sera-elle propice au mea culpa ? Si ça peut éviter à la Droite, la répétition du calvaire et du chemin de croix de 2012…
Si la question n'est pas de savoir qui, parmi les potentiels premiers vice-présidents, de Cyrille Hamilcaro ou Cyrille Melchior, portera dans ses bras, Nassimah Dindar pour franchir la porte de l'hémicycle, la répartition des prérogatives impose des négociations pointues avec les 11 élus des Modérés et les 3 du PCR. Mais pas questions non plus à l'actuelle présidente de donner les clés du palais de La Source à sa future ex-opposition.
Ce n'est pas non plus, le vœu de la plupart des élus de Droite présents hier soir à Saint-Leu. Leur priorité, c'est la refondation ou la reconstruction de la Droite dans la perspective des Municipales 2014, des Cantonales et des Régionales 2015 et au delà. Cyrille Halmicaro comme à son habitude a mis les pieds dans le plat. Lui qui ne cesse de réclamer une analyse des élections de 2012, un état des lieux de la Droite, et la définition des objectifs à venir, ne comprend pas la Droite soit aussi discrète. Pour ne pas dire inexistante.
Michel Fontaine, président de l'UMP local, demeure pragmatique. Lui aussi espère une clarification. Cet homme de l'ombre de par sa grande discrétion, qu'un certain nombre d'élus et de militants veulent voir officiellement adoubé comme chef de file de la Droite, milite pour des relations claires et précises entre partenaire de son camp politique. "Mon adversaire, c'est le PS et le PCR".
Didier Robert lui, voit dans le retour de la Droite, dans la majorité départementale, un point de départ pour une reconquête de la Droite,et reprendre sa place d'après 2010. Mais qu'en pensent réellement plusieurs ténors de la Droite ? Certains n'hésitent plus à dire en coulisses, que le président de la Région "n'a pas tenu son rôle de leader de la Droite. C'est dans les moments les plus difficiles que la présence du chef est indispensable. C'est lui qui tient le gouvernail. Didier Robert n'a pas eu cette attitude".
Hier soir à l'Etang-Salé, la Droite a commencé son acte de contrition. Mais, personne n'a encore dit "Oui, j'ai vraiment péché". Cette période de carême qui commence sera-elle propice au mea culpa ? Si ça peut éviter à la Droite, la répétition du calvaire et du chemin de croix de 2012…