La création d'une plateforme de protection civile et d'intervention rapide dans l'océan Indien, et sans doute basée à La Réunion, est l'un des projets qui a été défendu par David Lorion, vice-président de la Région Réunion. C'était la semaine dernière à Fort-de-France en Martinique, et ce lors de la XVIIe conférence des présidents des Régions ultrapériphériques.
Didier Robert, président du Conseil régional, qui avait choisi de rester "auprès des Hauts de l'île victimes d'incendies criminels", souhaite que "notre île devienne la plateforme de protection civile et d'intervention rapide, une plateforme mutualisée au bénéfice de l'ensemble de la zone". L'actualité justifie "la nécessité de se doter, en urgence, d'outils de réaction rapide", avait déclaré David Lorion, lors de son allocution en Martinique.
L'Europe réfléchit aussi à l'opportunité d'installer à La Réunion, une base arrière pour lutter contre la piraterie en mer de certains pays africains. Lors du passage de la mission Solbes dans l'île, cette hypothèse a été également évoquée. Si ce projet se concrétise, l'argent sera pris dans le 1,9 milliard d'€ probable de l'Europe. "Il est évident que l'Union européenne souhaite plus de cohérence dans l'utilisation des fonds structurels". Là, c'est un euphémisme !
Car avec la réalisation d'une vraie et forte coopération territoriale européenne, l'UE possède des opportunités pour contourner certains éléments du cycle de Doha, se doter de nouveaux outils renforcer sa présence dans ses différents espaces de sa zone économique exclusive. Et le groupe Cairns est moins pressant pour une application stricto sensu du cycle de Doha, la renégociation de la Politique agricole commune de l'UE, aura une incidence sur le prix du sucre à La Réunion...
Didier Robert, président du Conseil régional, qui avait choisi de rester "auprès des Hauts de l'île victimes d'incendies criminels", souhaite que "notre île devienne la plateforme de protection civile et d'intervention rapide, une plateforme mutualisée au bénéfice de l'ensemble de la zone". L'actualité justifie "la nécessité de se doter, en urgence, d'outils de réaction rapide", avait déclaré David Lorion, lors de son allocution en Martinique.
L'Europe réfléchit aussi à l'opportunité d'installer à La Réunion, une base arrière pour lutter contre la piraterie en mer de certains pays africains. Lors du passage de la mission Solbes dans l'île, cette hypothèse a été également évoquée. Si ce projet se concrétise, l'argent sera pris dans le 1,9 milliard d'€ probable de l'Europe. "Il est évident que l'Union européenne souhaite plus de cohérence dans l'utilisation des fonds structurels". Là, c'est un euphémisme !
Car avec la réalisation d'une vraie et forte coopération territoriale européenne, l'UE possède des opportunités pour contourner certains éléments du cycle de Doha, se doter de nouveaux outils renforcer sa présence dans ses différents espaces de sa zone économique exclusive. Et le groupe Cairns est moins pressant pour une application stricto sensu du cycle de Doha, la renégociation de la Politique agricole commune de l'UE, aura une incidence sur le prix du sucre à La Réunion...