"Je rappelle que jʼavais choisi la circonscription la plus difficile. Je le savais dès le début du combat que jʼai commencé à livrer pour mon parti. Je ne suis pas venu pour obtenir une place mais bien pour ancrer nos idées et nos revendications pour St-Denis. Sur ce plan je considère que nous avons gagné en adhésion.
En effet, nous avions face à nous des candidats aux affaires depuis plusieurs années et bénéficiant du soutien de la machine municipale ou du conseil général.
De plus, pendant toutes ces années, nous avons un peu livré à eux-mêmes nos militants et sympathisants sur la capitale.
Je regrette que notre message, pourtant porteur dʼespoir en matière économique, avec notamment pour priorité l'emploi et le logement, nʼait pas été suffisamment entendu par les électeurs de la première circonscription.
Dʼune manière générale, dans les sept circonscriptions, on note que les électeurs semblent avoir porté leur choix plus sur la popularité que sur les programmes et les idées, avec une prime au parti du président de la République.
Jʼen prends acte, mais je ne crois pas que cela suffise pour résoudre les problèmes des jeunes demandeurs dʼemploi, diplômés ou non, les difficultés des 26 000 seniors complètement oubliés, le manque de logement, la situation des classes moyennes, pour ne citer que ceux-là.
Naturellement, comme convenu, après avoir consulté mes militants, je soutiendrai pour le second tour la candidate de la majorité présidentielle, Erika Bareigts. Une rencontre entre nos partis respectifs permettra dès demain de fixer le cadre de ce rassemblement pour ce second tour.
Cet engagement clair et précis, je l'avais exprimé avant le premier tour des législatives, car il faut prolonger le changement voulu par la population lors des élections présidentielles.
Avec mes camarades, je resterai vigilant sur les engagements de la candidate ou du candidat qui sera élu(e) dimanche prochain. Que lʼélu(e) de dimanche prochain nʼoublie pas quʼelle ou il nʼa pas droit à lʼétat de grâce.
Lʼurgence et lʼattente des Réunionnais imposent des mesures donnant un résultat dʼampleur et cela sans délai. Parce que le changement cʼest maintenant, selon la proclamation du président de la République.
Avec mon équipe, avec respect et détermination nous continuerons la reconstruction de notre mouvement sur Saint-Denis et ce, afin de préparer les combats qui nous attendent dans les prochaines années. Nous serons donc présents quotidiennement aux côtés de la population. Cela va dans le sens de mon engagement politique".
En effet, nous avions face à nous des candidats aux affaires depuis plusieurs années et bénéficiant du soutien de la machine municipale ou du conseil général.
De plus, pendant toutes ces années, nous avons un peu livré à eux-mêmes nos militants et sympathisants sur la capitale.
Je regrette que notre message, pourtant porteur dʼespoir en matière économique, avec notamment pour priorité l'emploi et le logement, nʼait pas été suffisamment entendu par les électeurs de la première circonscription.
Dʼune manière générale, dans les sept circonscriptions, on note que les électeurs semblent avoir porté leur choix plus sur la popularité que sur les programmes et les idées, avec une prime au parti du président de la République.
Jʼen prends acte, mais je ne crois pas que cela suffise pour résoudre les problèmes des jeunes demandeurs dʼemploi, diplômés ou non, les difficultés des 26 000 seniors complètement oubliés, le manque de logement, la situation des classes moyennes, pour ne citer que ceux-là.
Naturellement, comme convenu, après avoir consulté mes militants, je soutiendrai pour le second tour la candidate de la majorité présidentielle, Erika Bareigts. Une rencontre entre nos partis respectifs permettra dès demain de fixer le cadre de ce rassemblement pour ce second tour.
Cet engagement clair et précis, je l'avais exprimé avant le premier tour des législatives, car il faut prolonger le changement voulu par la population lors des élections présidentielles.
Avec mes camarades, je resterai vigilant sur les engagements de la candidate ou du candidat qui sera élu(e) dimanche prochain. Que lʼélu(e) de dimanche prochain nʼoublie pas quʼelle ou il nʼa pas droit à lʼétat de grâce.
Lʼurgence et lʼattente des Réunionnais imposent des mesures donnant un résultat dʼampleur et cela sans délai. Parce que le changement cʼest maintenant, selon la proclamation du président de la République.
Avec mon équipe, avec respect et détermination nous continuerons la reconstruction de notre mouvement sur Saint-Denis et ce, afin de préparer les combats qui nous attendent dans les prochaines années. Nous serons donc présents quotidiennement aux côtés de la population. Cela va dans le sens de mon engagement politique".