Après le précédent de la centrale EDF, l’opinion réunionnaise a été surprise d’apprendre la présence de 150 travailleurs du Portugal sur un chantier de poses de panneaux photovoltaïques à La Réunion. Une telle situation ne peut que provoquer l’incompréhension des Réunionnais dans une île marquée par un chômage massif et où la question de l’emploi nécessite une mobilisation sans faille de tous les acteurs.
Force est de constater qu’en dépit des déclarations convergentes des responsables politiques en faveur de la priorité à l’emploi des Réunionnais, les règles juridiques et certaines logiques économiques actuellement en vigueur conduisent à une réalité inverse à celle qui est souhaitée.
De nombreux emplois sont créés dans l’île, tant dans le secteur public que privé, mais échappent aux Réunionnais. Cela est d’autant plus choquant dans le cas de la filière photovoltaïque pour laquelle les compétences existent localement, qui a perdu à La Réunion, en un peu plus d’un an, 500 emplois. Les Réunionnais ont ainsi le sentiment d’être méprisés.
Dans ce cas d’espèce, le PCR demande aux autorités que toute la lumière soit faite sur les conditions de ces recrutements.
Sur un plan général, il apparaît évident que sans une volonté politique forte et sans mesures spécifiques, les déclarations d’intention ne suffisent pas pour garantir dans les faits l’application du principe de priorité d’accès à l’emploi aux Réunionnais.
C’est pourquoi le Parti Communiste Réunionnais réitère les propositions qu’il a formulées dans le « Pacte pour un développement durable, solidaire et responsable "il s’agit par exemple, d’exiger de tout employeur qu’il s’adresse au pôle emploi pour tout recrutement, et qu’une attestation d’absence de compétences existant localement lui soit délivrée par pôle emploi préalablement à toute embauche extérieur.
Il s’agit aussi de lier toutes aides aux entreprises à l’embauche locale. Il s’agit également de convention à conclure entre employeurs, organismes de formations et Pôle Emploi…
La volonté politique de favoriser l’accès prioritaire des Réunionnais à l’emploi exige une action coordonnée et constante de tous les acteurs et l’adoption de mesures adaptées aux spécificités de notre situation.
Force est de constater qu’en dépit des déclarations convergentes des responsables politiques en faveur de la priorité à l’emploi des Réunionnais, les règles juridiques et certaines logiques économiques actuellement en vigueur conduisent à une réalité inverse à celle qui est souhaitée.
De nombreux emplois sont créés dans l’île, tant dans le secteur public que privé, mais échappent aux Réunionnais. Cela est d’autant plus choquant dans le cas de la filière photovoltaïque pour laquelle les compétences existent localement, qui a perdu à La Réunion, en un peu plus d’un an, 500 emplois. Les Réunionnais ont ainsi le sentiment d’être méprisés.
Dans ce cas d’espèce, le PCR demande aux autorités que toute la lumière soit faite sur les conditions de ces recrutements.
Sur un plan général, il apparaît évident que sans une volonté politique forte et sans mesures spécifiques, les déclarations d’intention ne suffisent pas pour garantir dans les faits l’application du principe de priorité d’accès à l’emploi aux Réunionnais.
C’est pourquoi le Parti Communiste Réunionnais réitère les propositions qu’il a formulées dans le « Pacte pour un développement durable, solidaire et responsable "il s’agit par exemple, d’exiger de tout employeur qu’il s’adresse au pôle emploi pour tout recrutement, et qu’une attestation d’absence de compétences existant localement lui soit délivrée par pôle emploi préalablement à toute embauche extérieur.
Il s’agit aussi de lier toutes aides aux entreprises à l’embauche locale. Il s’agit également de convention à conclure entre employeurs, organismes de formations et Pôle Emploi…
La volonté politique de favoriser l’accès prioritaire des Réunionnais à l’emploi exige une action coordonnée et constante de tous les acteurs et l’adoption de mesures adaptées aux spécificités de notre situation.