La majorité "composite" du Conseil général commence à subir les effets collatéraux des résultats des Sénatoriales. "Il sera difficile de dire le contraire", sourit Paul Vergès. Il est vrai que pour le parti communiste réunionnais, le partenariat Alliance/"Modéré" n'a pas fonctionné. "Tout le monde n'a pas respecté son engagement".
Y-aura-t-il des engagements pour les Législatives ? Nassimah Dindar, si elle est candidate sur le premier canton de Saint-Denis, aura-t-elle le soutien du PCR et de l'Alliance, comme cela pouvait être envisagé ? Il est trop tôt pour répondre. "Il est évident que cette échéance électorale de juin 2012, influera aussi sur l'évolution des rapports au sein de la majorité départementale", indique le patron du PCR.
Comment ? "Il est évident que le contexte a évolué ces derniers temps. Car, Nassimah Dindar qui s'était toujours placée comme l'élément rassembleur de trois camps politiques, se comporte désormais en chef d'un seul groupe. Nassimah Dindar est descendue de son piédestal", explique sans animosité aucune le sénateur de La Réunion. Fini le temps des accolades et des bisous ? Peut-être pas.
En effet, Nassimah Dindar et Paul Vergès ne se sont pas encore rencontrés depuis la publication par le Journal de l'île de leur désaccord, par courriers interposés, de l'embauche de l'ex-attaché parlementaire de Jean-Paul Virapoullé, Jean-Michel Groven. "Je n'ai pas eu ce plaisir", avoue avec un rire contenu le parlementaire.
Que peut-il se passer ? L'hypothèse la plus probable, c'est une rencontre entre la présidente du Conseil général et le responsable de l'Alliance. Et c'est sans doute Nassimah Dindar qui sollicitera l'échange. Toutefois, cela ne devrait aucunement changer l'organigramme du cabinet et de la direction de la communication.
Y-aura-t-il des engagements pour les Législatives ? Nassimah Dindar, si elle est candidate sur le premier canton de Saint-Denis, aura-t-elle le soutien du PCR et de l'Alliance, comme cela pouvait être envisagé ? Il est trop tôt pour répondre. "Il est évident que cette échéance électorale de juin 2012, influera aussi sur l'évolution des rapports au sein de la majorité départementale", indique le patron du PCR.
Comment ? "Il est évident que le contexte a évolué ces derniers temps. Car, Nassimah Dindar qui s'était toujours placée comme l'élément rassembleur de trois camps politiques, se comporte désormais en chef d'un seul groupe. Nassimah Dindar est descendue de son piédestal", explique sans animosité aucune le sénateur de La Réunion. Fini le temps des accolades et des bisous ? Peut-être pas.
En effet, Nassimah Dindar et Paul Vergès ne se sont pas encore rencontrés depuis la publication par le Journal de l'île de leur désaccord, par courriers interposés, de l'embauche de l'ex-attaché parlementaire de Jean-Paul Virapoullé, Jean-Michel Groven. "Je n'ai pas eu ce plaisir", avoue avec un rire contenu le parlementaire.
Que peut-il se passer ? L'hypothèse la plus probable, c'est une rencontre entre la présidente du Conseil général et le responsable de l'Alliance. Et c'est sans doute Nassimah Dindar qui sollicitera l'échange. Toutefois, cela ne devrait aucunement changer l'organigramme du cabinet et de la direction de la communication.