"Si cette inauguration avait effectivement un «parfum de campagne électorale», j’étais pour ma part présent pour sentir le parfum de la campagne réunionnaise. En effet, je tiens à souligner que j’ai participé à cette inauguration en tant que conseiller général, vice-président de la commission agricole, afin d’y représenter la Présidente du Conseil général, Nassimah Dindar.
J’ai toujours été et je resterai un défenseur de notre agriculture et des mesures mises en œuvre par la collectivité départementale. Je me suis rendu à cet événement, non comme un élu qui se verrait bien député, mais comme un élu de la ruralité qui participe chaque année à ce rendez-vous important de la vie agricole réunionnaise.
Pour être tout à fait franc et transparent, il faut avouer que cette candidature aux législatives je l’avais effectivement envisagée comme un challenge possible. Mais je ne l’ai jamais annoncée officiellement car cette décision devait d’abord être débattue avec celles et ceux qui me font confiance.
Cette réflexion je l’ai eue avec mes proches, avec des personnes de mon village, avec mes militants et aussi avec des anciens de la politique. Ma conclusion est qu’il est trop tôt pour briguer un poste de parlementaire étant donné le travail qu’il me reste à faire localement pour que les choses changent vraiment pour nos concitoyens, en particulier ceux de la Plaine des Palmistes, et pour que les élus comprennent tous qu’il faut faire la politique autrement. Notre monde a changé et nos compatriotes attendent de nous une autre manière de faire de la politique.
Je n’irai donc pas briguer un tel mandat national même si j’aurais aimé faire valoir mes idées pour le développement de la Réunion dans cette bataille. Cela aurait pu être un moment d’engagement fort devant les électeurs et plus particulièrement devant ceux de la Plaine des Palmistes.
C’est d’ailleurs pour eux que je travaille en priorité car je connais bien leurs attentes. Ils m’ont fait confiance et ils comptent sur moi pour être un soutien de poids pour faire avancer les dossiers importants pour le canton village tel que le collège. Les choses n’étant pas évidentes en raison du contexte palmiplainois, il faut beaucoup d’énergie et de temps pour pouvoir avancer.
Et si je ne suis pas candidat à cette élection législative dans la cinquième circonscription, je m’engage devant les Palmiplainois à faire entendre leur voix auprès des députés qui seront élus à l’issue du prochain scrutin".
J’ai toujours été et je resterai un défenseur de notre agriculture et des mesures mises en œuvre par la collectivité départementale. Je me suis rendu à cet événement, non comme un élu qui se verrait bien député, mais comme un élu de la ruralité qui participe chaque année à ce rendez-vous important de la vie agricole réunionnaise.
Pour être tout à fait franc et transparent, il faut avouer que cette candidature aux législatives je l’avais effectivement envisagée comme un challenge possible. Mais je ne l’ai jamais annoncée officiellement car cette décision devait d’abord être débattue avec celles et ceux qui me font confiance.
Cette réflexion je l’ai eue avec mes proches, avec des personnes de mon village, avec mes militants et aussi avec des anciens de la politique. Ma conclusion est qu’il est trop tôt pour briguer un poste de parlementaire étant donné le travail qu’il me reste à faire localement pour que les choses changent vraiment pour nos concitoyens, en particulier ceux de la Plaine des Palmistes, et pour que les élus comprennent tous qu’il faut faire la politique autrement. Notre monde a changé et nos compatriotes attendent de nous une autre manière de faire de la politique.
Je n’irai donc pas briguer un tel mandat national même si j’aurais aimé faire valoir mes idées pour le développement de la Réunion dans cette bataille. Cela aurait pu être un moment d’engagement fort devant les électeurs et plus particulièrement devant ceux de la Plaine des Palmistes.
C’est d’ailleurs pour eux que je travaille en priorité car je connais bien leurs attentes. Ils m’ont fait confiance et ils comptent sur moi pour être un soutien de poids pour faire avancer les dossiers importants pour le canton village tel que le collège. Les choses n’étant pas évidentes en raison du contexte palmiplainois, il faut beaucoup d’énergie et de temps pour pouvoir avancer.
Et si je ne suis pas candidat à cette élection législative dans la cinquième circonscription, je m’engage devant les Palmiplainois à faire entendre leur voix auprès des députés qui seront élus à l’issue du prochain scrutin".
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