D'abord attentive et à l'écoute des mots du député René-Paul Victoria et des "deux mots", prononcés par Didier Robert, président de la Région Réunion, et de La Réunion en confiance, Nathalie Kosciuko-Morizet a d'abord évoqué la campagne présidentielle à venir puis a répondu aux questions des militants UMP présents. Souriante et décontractée, la ministre de l'Ecologie a d'abord parlé : bilan.
"Nous avons été présent tout au long de ce mandat. Nous pouvons être fiers de dire que nous avons tenu nos engagements, et ce en dépit de la crise. Si vous prenez la liste de ce nous avions à faire, nous avons coché toutes les cases. Notre équipe conduite par le président de la République, Nicolas Sarkozy, est au rendez-vous", a dit Nathalie Kosciuko-Morizet.
La polytechnicienne (promotion 1992) s'est dit ravie de présenter ce bilan au cours de la campagne présidentielle qui s'annonce. "Nous avons des éléments pour aller à la rencontre de la population. Ce ne sera pas facile dans ce climat de crise qui perdure, mais c'est ça qui est exaltant : convaincre les Français", a expliqué la maire de Longjumeau (Essonne).
"Je ne crois pas aux tracts, mais sa distribution permet la mobilisation de tous. Je ne crois pas aux affiches, il en faut pour ne pas laisser place libre aux concurrents. Je ne crois pas non plus aux sondages parce qu'ils changent. Je crois aux militants. Un militant c'est quelqu'un de bien. C'est quelqu'un qui va donner envie à un électeur qui hésite à voter".
Nathalie Kosciuko-Morizet a définitivement conquis son auditoire lorsqu'elle a dit : "Je ne comprends pas ses ministres qui n'aiment pas le terrain. Il y en a pas beaucoup, mais il y en a", a-t-elle précisé. "Le terrain, c'est l'essence même de notre fonction et de notre travail". Elle anticipait ainsi une doléance de Dominique Fournel, conseiller régional. "Pourquoi, les ministres ne viennent pas pour ce genre de réunions politiques". "Je leur porterai le message", a répliqué NKM.
Et à la question : "Nicolas Sarkozy doit-il s'engager au plus tôt dans la campagne des Présidentielles". Nathalie Kosciuko-Morizet a répondu : "Nicolas Sarkozy s'occupe de la zone euro, pas de la campagne présidentielle. Mais ça ne va pas tarder. Et ce sera une campagne passionnante". Cela le sera au moins pour Nathalie Koscuko-Morizet, ministre de l'Ecologie.
"Nous avons été présent tout au long de ce mandat. Nous pouvons être fiers de dire que nous avons tenu nos engagements, et ce en dépit de la crise. Si vous prenez la liste de ce nous avions à faire, nous avons coché toutes les cases. Notre équipe conduite par le président de la République, Nicolas Sarkozy, est au rendez-vous", a dit Nathalie Kosciuko-Morizet.
La polytechnicienne (promotion 1992) s'est dit ravie de présenter ce bilan au cours de la campagne présidentielle qui s'annonce. "Nous avons des éléments pour aller à la rencontre de la population. Ce ne sera pas facile dans ce climat de crise qui perdure, mais c'est ça qui est exaltant : convaincre les Français", a expliqué la maire de Longjumeau (Essonne).
"Je ne crois pas aux tracts, mais sa distribution permet la mobilisation de tous. Je ne crois pas aux affiches, il en faut pour ne pas laisser place libre aux concurrents. Je ne crois pas non plus aux sondages parce qu'ils changent. Je crois aux militants. Un militant c'est quelqu'un de bien. C'est quelqu'un qui va donner envie à un électeur qui hésite à voter".
Nathalie Kosciuko-Morizet a définitivement conquis son auditoire lorsqu'elle a dit : "Je ne comprends pas ses ministres qui n'aiment pas le terrain. Il y en a pas beaucoup, mais il y en a", a-t-elle précisé. "Le terrain, c'est l'essence même de notre fonction et de notre travail". Elle anticipait ainsi une doléance de Dominique Fournel, conseiller régional. "Pourquoi, les ministres ne viennent pas pour ce genre de réunions politiques". "Je leur porterai le message", a répliqué NKM.
Et à la question : "Nicolas Sarkozy doit-il s'engager au plus tôt dans la campagne des Présidentielles". Nathalie Kosciuko-Morizet a répondu : "Nicolas Sarkozy s'occupe de la zone euro, pas de la campagne présidentielle. Mais ça ne va pas tarder. Et ce sera une campagne passionnante". Cela le sera au moins pour Nathalie Koscuko-Morizet, ministre de l'Ecologie.