"Nassimah Dindar est entrée en politique en adhérant à un parti de centre-droit, à l’UDF. Quand le RPR a obligé l’UDF et Démocratie Libérale à se saborder pour créer l’UMP, Nassimah Dindar a adhéré à l’UMP. Vite remarquée par Nicolas Sarkozy, elle a eu des responsabilités au niveau national qui ont suscité de vives jalousies dans son camp à La Réunion.
C’est ainsi, alors qu’elle n’avait pas démérité à la présidence du Conseil Général entre 2004 et 2008 que ses «petits copains» de l’UMP n’ont pas trouvé mieux que de la faire chuter de sa fonction de présidente. Nous connaissons tous la suite, la gauche, le PS, l’Alliance, et bien évidemment les centristes lui ont proposé la présidence du conseil général de 2008 à 2011. Et c’est de la même manière qu’elle a été brillamment réélue à la tête de la collectivité départementale en mars 2011, et ce jusqu’en mars 2014.
Etre à la tête d’une majorité plurielle qui reconnaît vos qualités politiques et qui vous demande de continuer une politique sociale n’est à mon sens pas critiquable. Pour autant, elle n’a jamais pris sa carte dans un parti de gauche et n’a jamais fait acte d’allégeance.
Et c’est tout naturellement qu’elle a retrouvé sa famille d’origine, le Centre, avec François Bayrou. Un retour aux sources. Rien de plus ! Rien de moins ! Et c’est bien parce que Nassimah Dindar a toujours respecté ses engagements et ses valeurs que je la soutiens totalement !"
C’est ainsi, alors qu’elle n’avait pas démérité à la présidence du Conseil Général entre 2004 et 2008 que ses «petits copains» de l’UMP n’ont pas trouvé mieux que de la faire chuter de sa fonction de présidente. Nous connaissons tous la suite, la gauche, le PS, l’Alliance, et bien évidemment les centristes lui ont proposé la présidence du conseil général de 2008 à 2011. Et c’est de la même manière qu’elle a été brillamment réélue à la tête de la collectivité départementale en mars 2011, et ce jusqu’en mars 2014.
Etre à la tête d’une majorité plurielle qui reconnaît vos qualités politiques et qui vous demande de continuer une politique sociale n’est à mon sens pas critiquable. Pour autant, elle n’a jamais pris sa carte dans un parti de gauche et n’a jamais fait acte d’allégeance.
Et c’est tout naturellement qu’elle a retrouvé sa famille d’origine, le Centre, avec François Bayrou. Un retour aux sources. Rien de plus ! Rien de moins ! Et c’est bien parce que Nassimah Dindar a toujours respecté ses engagements et ses valeurs que je la soutiens totalement !"