Nassimah Dindar, Thierry Robert, Michel Dennemont, Jacqueline Silotia, Joseph Sinimalé, Bachil Valy, Ibrahim Dindar, Jeannick Atchapa… ont dessiné hier à l'Iloha à Saint-Leu, les contours d'un grand Centre : l'Union des Centres de La Réunion. Cette fédération regroupe pour l'heure deux parties : le Modem et la Droite sociale "qui n'a rien à voir avec la Droite sociale de Laurent Wauquiez, un courant de l'UMP", a précisé Ibrahim Dindar. "Toute la famille centriste y est la bienvenue", a dit Nassimah Dindar.
"A la condition qu'elle ne soit pas aux ordres de l'UMP et d'un parti national", a complété Thierry Robert. Le Nouveau centre de Stéphane Fouassin "qui n'a pas été consulté" ne reconnaît pour l'heure aucune légitimité à cette fédération. Michel Lagourgue du Modem, au départ d'accord sur ce projet, n'a pas participé à la conférence de presse hier après-midi. "L'Union des Centres doit être une démarche collégiale".
"Nous insistons sur cette collégialité", a indiqué Nassimah Dindar. "L'UDC n'a pas un patron, même si nous avons mis quatre noms sur l'acte de naissance, et ce pour nécessité administrative et juridique" : Nassimah Dindar, Thierry Robert, Bachil Valy et Patrick Erudel. "L'UDC propose désormais un espace de discussion, de réflexion et d'échange. Et qu'importe l'étiquette politique, car nous voulons faire la politique autrement".
"Nous voulons en finir avec le système des partis. Nous voulons également un projet de développement qui répond aux besoins de La Réunion. Cela signifie que les décisions soient prises à La Réunion, et non plus à Paris. Nous devons pouvoir adapter certaines mesures prises au Parlement ou au gouvernement, aux spécificités réunionnaises. Ce sont les objectifs premiers de l'Union des Centres", a expliqué Nassimah Dindar.
"A la condition qu'elle ne soit pas aux ordres de l'UMP et d'un parti national", a complété Thierry Robert. Le Nouveau centre de Stéphane Fouassin "qui n'a pas été consulté" ne reconnaît pour l'heure aucune légitimité à cette fédération. Michel Lagourgue du Modem, au départ d'accord sur ce projet, n'a pas participé à la conférence de presse hier après-midi. "L'Union des Centres doit être une démarche collégiale".
"Nous insistons sur cette collégialité", a indiqué Nassimah Dindar. "L'UDC n'a pas un patron, même si nous avons mis quatre noms sur l'acte de naissance, et ce pour nécessité administrative et juridique" : Nassimah Dindar, Thierry Robert, Bachil Valy et Patrick Erudel. "L'UDC propose désormais un espace de discussion, de réflexion et d'échange. Et qu'importe l'étiquette politique, car nous voulons faire la politique autrement".
"Nous voulons en finir avec le système des partis. Nous voulons également un projet de développement qui répond aux besoins de La Réunion. Cela signifie que les décisions soient prises à La Réunion, et non plus à Paris. Nous devons pouvoir adapter certaines mesures prises au Parlement ou au gouvernement, aux spécificités réunionnaises. Ce sont les objectifs premiers de l'Union des Centres", a expliqué Nassimah Dindar.