Sur quelle partie de l'île vous et votre famille, êtes en vacances ?
Nous étions en famille sur la côte et loin de la capitale
A quel moment avez-vous découvert les infos sur la mutinerie ?
Nous avons vu les infos grâce aux employés de l'hôtel, eux-mêmes inquiets.
Quelles ont été vos premières réactions ?
Il y a d'abord eu de la déception puis de la peur. De la déception, parce qu'encore une fois, cette belle île, était en proie à du désordre, dans ce conflit qui n'en finit pas.
Comment avez-vous vécu ces heures de ce conflit armé ?
Même si ce conflit n'a pas duré, les heures ont été pour nous interminables. Car, nous sommes en vacances à Madagascar avec nos enfants. C'était pour nous des heures d'angoisse, la peur de se retrouver impliquer et victimes de ces actes violents.
Avez-vous craint ne serait-ce un instant pour votre sécurité ?
Oui, bien sûr ! Nous avons eu peur. Très peur. Encore plus pour les enfants. Nous sommes dans un pays étranger et un pays du tiers monde, loin des lois françaises et européennes.
Comment ont réagi les Malgaches et les autres touristes autour de vous ?
Que ce soit la population malgache ou les touristes, tous en ont marre. Car c'est une situation pénalise lourdement l'activité touristique et les entreprises, par exemple dans l'hôtel où nous sommes, on emploie plus de 70 personnes. Toutes ces personnes ne vivent que des recettes du tourisme.
Avez-vous craint un moment donné de ne pas pouvoir rentrez à La Réunion, comme prévu ?
Oui bien sûr, sans aéroport en service pas de liaison avec La Réunion.
Allez-vous avancer votre retour chez vous ?
Oui si c'est nécessaire, pour protéger la vie de ma famille et la mienne.
Quelles ont été les réactions à l'annonce de la fin du conflit ?
Ouf ! Un grand soulagement qui ramène une certaine quiétude mais qui n'exclut pas la peur.
Et après la reprise des vols entre La Réunion et Madagascar ?
Un grand ouf ! Car cela est un bon indicateur de stabilité et de retour au calme.
Qu'est-ce que vous retenez de ce conflit politique malgache qui n'en finit pas ?
Ce conflit dure depuis trop longtemps à tel point que la population commence à se plaindre, des Malgaches victimes de cette pauvreté qui s'installe de plus en plus dans les foyers.
Nous étions en famille sur la côte et loin de la capitale
A quel moment avez-vous découvert les infos sur la mutinerie ?
Nous avons vu les infos grâce aux employés de l'hôtel, eux-mêmes inquiets.
Quelles ont été vos premières réactions ?
Il y a d'abord eu de la déception puis de la peur. De la déception, parce qu'encore une fois, cette belle île, était en proie à du désordre, dans ce conflit qui n'en finit pas.
Comment avez-vous vécu ces heures de ce conflit armé ?
Même si ce conflit n'a pas duré, les heures ont été pour nous interminables. Car, nous sommes en vacances à Madagascar avec nos enfants. C'était pour nous des heures d'angoisse, la peur de se retrouver impliquer et victimes de ces actes violents.
Avez-vous craint ne serait-ce un instant pour votre sécurité ?
Oui, bien sûr ! Nous avons eu peur. Très peur. Encore plus pour les enfants. Nous sommes dans un pays étranger et un pays du tiers monde, loin des lois françaises et européennes.
Comment ont réagi les Malgaches et les autres touristes autour de vous ?
Que ce soit la population malgache ou les touristes, tous en ont marre. Car c'est une situation pénalise lourdement l'activité touristique et les entreprises, par exemple dans l'hôtel où nous sommes, on emploie plus de 70 personnes. Toutes ces personnes ne vivent que des recettes du tourisme.
Avez-vous craint un moment donné de ne pas pouvoir rentrez à La Réunion, comme prévu ?
Oui bien sûr, sans aéroport en service pas de liaison avec La Réunion.
Allez-vous avancer votre retour chez vous ?
Oui si c'est nécessaire, pour protéger la vie de ma famille et la mienne.
Quelles ont été les réactions à l'annonce de la fin du conflit ?
Ouf ! Un grand soulagement qui ramène une certaine quiétude mais qui n'exclut pas la peur.
Et après la reprise des vols entre La Réunion et Madagascar ?
Un grand ouf ! Car cela est un bon indicateur de stabilité et de retour au calme.
Qu'est-ce que vous retenez de ce conflit politique malgache qui n'en finit pas ?
Ce conflit dure depuis trop longtemps à tel point que la population commence à se plaindre, des Malgaches victimes de cette pauvreté qui s'installe de plus en plus dans les foyers.
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