Cette fois-ci, et c'est une première dans l'histoire politique de Sainte-Suzanne, Maurice Gironcel part sans le soutien de l'appareil municipal. Ce fait place l'ex-maire dans une position inédite. Cette situation, nouvelle pour l'ex-édile communiste, accroit le suspense, quant au résultat final. Plusieurs éléments ajoutent à l'incertitude du scrutin.
Il y a en premier la division dans le camp communiste. Une rupture de la majorité municipale avec perte et fracas. Le dialogue demandé par Elie Hoarau, secrétaire général du PCR, n'a pas eu lieu. Il n'y a pas eu - ne serait-ce - l'amorce d'une rencontre entre Daniel Alamélou et Maurice Gironcel. Pour discuter avec son prédécesseur, la maire Yolande Pausé attendait au préalable, des excuses publiques. Elle les attend toujours.
Un ticket Pausé - Alamélou avait été également envisagé, mais non validé par les intéressés, et ce pour divergence d'opinion. A l'arrivée, ce sont trois membres du Comité central du PCR qui s'affrontent sur le terrain depuis quelques semaines. La bataille est âpre car la campagne est courte (premier tour des élections, le 29 janvier).
A cela s'ajoute le contexte : fêtes traditionnelles de fin et début d'année (y compris les différentes cérémonies "malbar"), et les vacances scolaires. La population de Sainte-Suzanne a la tête ailleurs. La mobilisation n'est donc pas simple. C'est qui donne toute son ampleur au bénéfice de l'appareil municipal. Yolande Pausé, maire, et Daniel Alamélou, premier adjoint, partent ainsi avec un avantage certain.
Ce n'est plus le cas pour Maurice Gironcel qui a déjà laissé une partie de son réseau à Daniel Alamélou. Le dernier élément qui pèsera sans doute peu dans l'isoloir, c'est le programme des trois candidats communistes. Ils s'inscrivent dans la suite du projet sur lequel ils ont été élus lors des Municipales de 2008. Leur leitmotiv est la continuité du travail commencé...
Il y a en premier la division dans le camp communiste. Une rupture de la majorité municipale avec perte et fracas. Le dialogue demandé par Elie Hoarau, secrétaire général du PCR, n'a pas eu lieu. Il n'y a pas eu - ne serait-ce - l'amorce d'une rencontre entre Daniel Alamélou et Maurice Gironcel. Pour discuter avec son prédécesseur, la maire Yolande Pausé attendait au préalable, des excuses publiques. Elle les attend toujours.
Un ticket Pausé - Alamélou avait été également envisagé, mais non validé par les intéressés, et ce pour divergence d'opinion. A l'arrivée, ce sont trois membres du Comité central du PCR qui s'affrontent sur le terrain depuis quelques semaines. La bataille est âpre car la campagne est courte (premier tour des élections, le 29 janvier).
A cela s'ajoute le contexte : fêtes traditionnelles de fin et début d'année (y compris les différentes cérémonies "malbar"), et les vacances scolaires. La population de Sainte-Suzanne a la tête ailleurs. La mobilisation n'est donc pas simple. C'est qui donne toute son ampleur au bénéfice de l'appareil municipal. Yolande Pausé, maire, et Daniel Alamélou, premier adjoint, partent ainsi avec un avantage certain.
Ce n'est plus le cas pour Maurice Gironcel qui a déjà laissé une partie de son réseau à Daniel Alamélou. Le dernier élément qui pèsera sans doute peu dans l'isoloir, c'est le programme des trois candidats communistes. Ils s'inscrivent dans la suite du projet sur lequel ils ont été élus lors des Municipales de 2008. Leur leitmotiv est la continuité du travail commencé...