"Je ne comprends pas cette attitude. Je suis là aujourd'hui (ndlr : hier) pour souhaiter la bienvenue à mon successeur Gérard Perrault, au poste de conseiller régional. Par ma présence, je veux aussi dire quel plaisir j'ai eu de travailler pendant quinze ans au Conseil régional. Et, je n'ai pas trouvé dans les mots du président Robert à mon encontre, un hommage appuyé".
"Didier Robert a dit que j'ai été un homme rigoureux dans les débats. Il a évoqué mon respect des autres. Il a été reconnaissant de mon engagement. Je ne comprends pourquoi Camille Sudre a parlé de connivence. Encore une fois, il est à côté de la plaque. Il s'est adressé à l'hémicycle comme s'il ne fait pas partie de la classe politique. C'est du cynisme".
Michel Vergoz va plus loin : "Camille Sudre, c'est un monstre d'incohérence, d'absurdité et grotesque", a dit le sénateur avant de baisser le rideau. "C'était ma dernière séance". Nommé rapporteur pour avis à la Commission des affaires sociales, le parlementaire planche sur la Loi des finances 2012.
L'élu socialiste reste également vigilant sur l'actualité du PS. Il n'a pas apprécié le conflit Annette/Lebreton, ni la plaisanterie du premier secrétaire fédéral. "J'ai la conviction qu'avec ce genre d'humour, l'artiste ne remplit pas les salles". Qu'en pense Camille Sudre ?
"Didier Robert a dit que j'ai été un homme rigoureux dans les débats. Il a évoqué mon respect des autres. Il a été reconnaissant de mon engagement. Je ne comprends pourquoi Camille Sudre a parlé de connivence. Encore une fois, il est à côté de la plaque. Il s'est adressé à l'hémicycle comme s'il ne fait pas partie de la classe politique. C'est du cynisme".
Michel Vergoz va plus loin : "Camille Sudre, c'est un monstre d'incohérence, d'absurdité et grotesque", a dit le sénateur avant de baisser le rideau. "C'était ma dernière séance". Nommé rapporteur pour avis à la Commission des affaires sociales, le parlementaire planche sur la Loi des finances 2012.
L'élu socialiste reste également vigilant sur l'actualité du PS. Il n'a pas apprécié le conflit Annette/Lebreton, ni la plaisanterie du premier secrétaire fédéral. "J'ai la conviction qu'avec ce genre d'humour, l'artiste ne remplit pas les salles". Qu'en pense Camille Sudre ?