Maurice Gironcel a répété. Il a insisté. "A la fin de mon inéligibilité, nous remettons la balle du centre, et ce pour réparer cette injustice qui m'a été fait. C'est désormais la population qui va me rendre justice". L'ancien maire de Sainte-Suzanne s'exprimait hier soir devant une soixantaine de sympathisants. "C'était une réunion privée" chez un employé communal.
Le candidat communiste est revenu sur les différents éléments qui ont conduit à l'implosion de la majorité municipale qu'il a conduite de son élection en mars 2008, au début de son inéligibilité en février 2009. "Tous ont fait le serment de remettre la balle au centre, pour permettre mon retour. Aujourd'hui, il y a ceux qui racontent n'importe quoi. Ils ont trahi leur parole".
"La trahison, j'y étaisi confronté en 1989 lors que la préfecture n'a pas voulu enregistrer la candidature de feu Lucet Langenier. A l'époque, un administratif m'avait proposé de prendre sa place. Il n'était pas question pour moi de trahir mon camarade Lucet. Et malgré cela, sans avoir de bulletins de vote sur la table, nous avons gagné. Le 29 janvier 2012, la population de Sainte-Suzanne fera encore triompher la justice et la vérité".
"D'abord, celle délivrée par la section du PCR de Sainte-Suzanne. Celle délivrée par les adhérents à jour de leur cotisation. Ce n'est plus le cas de Daniel Alamélou et de Yolande Pausé. La section PCR de Sainte-Suzanne a choisi. Et ce n'est pas Daniel Alamélou. Aujourd'hui, il n'y a qu'un candidat communiste pour ces Municipales partielles, et c'est moi. Les autres se sont exclus d'eux-mêmes du parti".
"Ceux-là même qui ont tout fait pour me barrer la route, pour m'empêcher de revenir à la mairie. Si je n'étais plus à la mairie, je suis resté au contact de la population. Aussi, je ne m'attends à aucune surprise au soir du premier tour des ces Municipales partielles. Ce sera une simple confirmation…", a expliqué Maurice Gironcel hier à ses partisans.
Le candidat communiste est revenu sur les différents éléments qui ont conduit à l'implosion de la majorité municipale qu'il a conduite de son élection en mars 2008, au début de son inéligibilité en février 2009. "Tous ont fait le serment de remettre la balle au centre, pour permettre mon retour. Aujourd'hui, il y a ceux qui racontent n'importe quoi. Ils ont trahi leur parole".
"La trahison, j'y étaisi confronté en 1989 lors que la préfecture n'a pas voulu enregistrer la candidature de feu Lucet Langenier. A l'époque, un administratif m'avait proposé de prendre sa place. Il n'était pas question pour moi de trahir mon camarade Lucet. Et malgré cela, sans avoir de bulletins de vote sur la table, nous avons gagné. Le 29 janvier 2012, la population de Sainte-Suzanne fera encore triompher la justice et la vérité".
"D'abord, celle délivrée par la section du PCR de Sainte-Suzanne. Celle délivrée par les adhérents à jour de leur cotisation. Ce n'est plus le cas de Daniel Alamélou et de Yolande Pausé. La section PCR de Sainte-Suzanne a choisi. Et ce n'est pas Daniel Alamélou. Aujourd'hui, il n'y a qu'un candidat communiste pour ces Municipales partielles, et c'est moi. Les autres se sont exclus d'eux-mêmes du parti".
"Ceux-là même qui ont tout fait pour me barrer la route, pour m'empêcher de revenir à la mairie. Si je n'étais plus à la mairie, je suis resté au contact de la population. Aussi, je ne m'attends à aucune surprise au soir du premier tour des ces Municipales partielles. Ce sera une simple confirmation…", a expliqué Maurice Gironcel hier à ses partisans.