"Madame la présidente, Nous prenons connaissance par l'intermédiaire de différents services, d'une directive impliquant pour nos administratifs de porter directement à l'examen du cabinet, l'ensemble des demandes relatives à la commune de Saint-Louis, que ce soit en matière d'aide sociale et financière, d'emploi ou encore d'amélioration de l'habitat.
Sachant que le cabinet émet avant tout un regard politique sur un dossier, nul besoin est de vous préciser la stupéfaction avec laquelle nous accueillons cette information.
Une telle procédure aurait effectivement pour effet de pénaliser la population saint-louisienne qui, comme vous le savez, est déjà lourdement asphyxiée.
Aussi, en notre qualité de conseillers généraux des cantons de Saint-Louis 1 et de La Rivière Saint-Louis, nous tenons à ce qu'un éclairage nous soit rapidement apporté quant à la position de la Direction générale des services et de la présidence, sur cette affaire.
Ne pouvant imaginer qu'une orientation aussi discriminante puisse avoir été communiquée aux services avec votre approbation, nous souhaitons qu'un contrôle interne puisse être diligenté dans les meilleurs délais pour que toute la lumière soit faite sur le ou les auteurs de cette requête.
Les intérêts partisans, les calculs politiciens ne peuvent triompher sur les droits de nos concitoyens.
Comptant sur votre implication personnelle, nous vous prions d'agréer, Madame la présidente, l'expression de nos considérations les meilleures".
Sachant que le cabinet émet avant tout un regard politique sur un dossier, nul besoin est de vous préciser la stupéfaction avec laquelle nous accueillons cette information.
Une telle procédure aurait effectivement pour effet de pénaliser la population saint-louisienne qui, comme vous le savez, est déjà lourdement asphyxiée.
Aussi, en notre qualité de conseillers généraux des cantons de Saint-Louis 1 et de La Rivière Saint-Louis, nous tenons à ce qu'un éclairage nous soit rapidement apporté quant à la position de la Direction générale des services et de la présidence, sur cette affaire.
Ne pouvant imaginer qu'une orientation aussi discriminante puisse avoir été communiquée aux services avec votre approbation, nous souhaitons qu'un contrôle interne puisse être diligenté dans les meilleurs délais pour que toute la lumière soit faite sur le ou les auteurs de cette requête.
Les intérêts partisans, les calculs politiciens ne peuvent triompher sur les droits de nos concitoyens.
Comptant sur votre implication personnelle, nous vous prions d'agréer, Madame la présidente, l'expression de nos considérations les meilleures".
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