Ce n'était plus qu'un secret de polichinelle dans la plupart des circonscriptions, et ce même si la situation n'était pas aussi claire, et que l'envie de chacun de partir à la bataille des Législatives, n'était pas clairement définie de la part de tous. C'était le cas dans la première. Les proches de René-Paul Victoria n'ont pas caché leur irritation, car Didier Robert, président de La Réunion en confiance, tardait à annoncer son soutien au député sortant.
Dans la deuxième, le suspense perdure toujours entre Cyrille Melchior et Sandra Sinimalé. La Droite avait placé le conseiller général en tête de liste de candidats potentiels. L'élu était prêt à s'engager, mais à condition d'avoir les moyens de faire un campagne efficace et d'avoir des résultats qui n'occulteront en rien ses chances aux Municipales 2014 à Saint-Paul. Sandra Sinimalé est seconde sur cette liste. A-t-elle pour autant la dimension nécessaire pour affronter lé députée sortante Huguette Bello ?
Comme Cyrille Melchior, la Droite a une équation à résoudre : ne pas réduire ses opportunités dans la perspective des Municipales de 2014 sur Saint-Paul. Dans cette hypothèse, la solution qui s'impose, c'est la candidature de Cyrille Melchior. Et, elle est crédible avant tout pour Saint-Paul. Celle de Valérie Auber ne le serait, dans ce cas précis, que pour Le Port.
La situation est plus simple dans la troisième. Ce sera Nathalie Bassire soutenue par Didier Robert, président de La Réunion en confiance et patron de la Région Réunion. La candidature de la conseillère générale a été préférée à celle de Paulet Payet, maire du Tampon, et conseiller régional de Didier Robert. Les deux conseillers municipaux auront l'occasion de donner raison ou tort au conseil national de l'UMP lors de Municipales anticipées qui s'annoncent.
C'est également une femme qui représentera la Droite dans la quatrième circonscription. C'est la conseillère générale de Saint-Pierre, Béatrice Sigismeau qui a eu l'investiture alors que la presse a également avancé la candidature de David Lorion. "A aucun moment, David Lorion n'a souhaité être candidat. Nous lui avons demandé s'il voulait aller aux Législatives. Il nous a répondu qu'il a déjà pas mal de responsabilités, et qu'il a aussi une famille…"
Dans la cinquième circonscription, il n'y a pas eu de suspense. Stéphane Fouassin a été d'entrée le chouchou de la Droite. Paradoxe, l'UMP a investi le patron du Nouveau centre local. Il est vrai que Daniel Gonthier, maire et conseiller général UMP de Bras-Panon, a choisi de se consacrer entièrement de sa commune, et a rapidement apporté son soutien au maire de Salazie. En fait, le seul souci de Stéphane Fouassin, c'était la candidature ou non de Jean-Paul Virapoullé. Un souci vite envolé.
Dans la sixième circonscription, Jean-Louis Lagourgue a réfléchi jusqu'au bout. Le maire de Sainte-Marie a eu tout de suite le soutien de tout son camp politique. Le premier vice-président du Conseil régional a pris son temps pour réfléchir, car s'il est élu député par rapport à la socialiste Monique Orphé ou au communiste Maurice Gironcel, il lui faudra abandonner un mandat. Et ce sera sans doute son poste de premier vice-président de la Région Réunion.
Jean-Claude Lacouture, lui aussi, devra démissionner d'un de ses deux mandats s'il est élu député de la septième circonscription. Candidat par défaut après le retrait de Cyrille Hamilcaro, le maire de l'Etang-Salé croit en ses chances de réaliser un bon résultat sur ce territoire administratif. Le conseiller général aura tout de même face à lui Thierry Robert (Saint-Leu) et Claude ou Fabrice Hoarau (Saint-Louis). C'est sûr, ce ne sera pas simple.
Dans la deuxième, le suspense perdure toujours entre Cyrille Melchior et Sandra Sinimalé. La Droite avait placé le conseiller général en tête de liste de candidats potentiels. L'élu était prêt à s'engager, mais à condition d'avoir les moyens de faire un campagne efficace et d'avoir des résultats qui n'occulteront en rien ses chances aux Municipales 2014 à Saint-Paul. Sandra Sinimalé est seconde sur cette liste. A-t-elle pour autant la dimension nécessaire pour affronter lé députée sortante Huguette Bello ?
Comme Cyrille Melchior, la Droite a une équation à résoudre : ne pas réduire ses opportunités dans la perspective des Municipales de 2014 sur Saint-Paul. Dans cette hypothèse, la solution qui s'impose, c'est la candidature de Cyrille Melchior. Et, elle est crédible avant tout pour Saint-Paul. Celle de Valérie Auber ne le serait, dans ce cas précis, que pour Le Port.
La situation est plus simple dans la troisième. Ce sera Nathalie Bassire soutenue par Didier Robert, président de La Réunion en confiance et patron de la Région Réunion. La candidature de la conseillère générale a été préférée à celle de Paulet Payet, maire du Tampon, et conseiller régional de Didier Robert. Les deux conseillers municipaux auront l'occasion de donner raison ou tort au conseil national de l'UMP lors de Municipales anticipées qui s'annoncent.
C'est également une femme qui représentera la Droite dans la quatrième circonscription. C'est la conseillère générale de Saint-Pierre, Béatrice Sigismeau qui a eu l'investiture alors que la presse a également avancé la candidature de David Lorion. "A aucun moment, David Lorion n'a souhaité être candidat. Nous lui avons demandé s'il voulait aller aux Législatives. Il nous a répondu qu'il a déjà pas mal de responsabilités, et qu'il a aussi une famille…"
Dans la cinquième circonscription, il n'y a pas eu de suspense. Stéphane Fouassin a été d'entrée le chouchou de la Droite. Paradoxe, l'UMP a investi le patron du Nouveau centre local. Il est vrai que Daniel Gonthier, maire et conseiller général UMP de Bras-Panon, a choisi de se consacrer entièrement de sa commune, et a rapidement apporté son soutien au maire de Salazie. En fait, le seul souci de Stéphane Fouassin, c'était la candidature ou non de Jean-Paul Virapoullé. Un souci vite envolé.
Dans la sixième circonscription, Jean-Louis Lagourgue a réfléchi jusqu'au bout. Le maire de Sainte-Marie a eu tout de suite le soutien de tout son camp politique. Le premier vice-président du Conseil régional a pris son temps pour réfléchir, car s'il est élu député par rapport à la socialiste Monique Orphé ou au communiste Maurice Gironcel, il lui faudra abandonner un mandat. Et ce sera sans doute son poste de premier vice-président de la Région Réunion.
Jean-Claude Lacouture, lui aussi, devra démissionner d'un de ses deux mandats s'il est élu député de la septième circonscription. Candidat par défaut après le retrait de Cyrille Hamilcaro, le maire de l'Etang-Salé croit en ses chances de réaliser un bon résultat sur ce territoire administratif. Le conseiller général aura tout de même face à lui Thierry Robert (Saint-Leu) et Claude ou Fabrice Hoarau (Saint-Louis). C'est sûr, ce ne sera pas simple.
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