Comme dans l'hexagone, à notre grand regret, le Mouvement des Indignés n'a
pas fait tâche à la Réunion...
La faute à quoi ?
A qui ? Pourquoi ?
En voici quelques explications : L'indifférence, la passivité, la résignation, la dérobade de certaines organisations qui se reconnaîtront, et les manquements de nos élus locaux, à l'exception du Maire de Saint Denis, et conseiller général du chaudron (Gilbert Annette ), sont en première ligne dans notre auto-critique. Nous n'avons pas, il faut le souligner, bénéficier d'une médiatisation à lahauteur des enjeux, ni de la mise à disposition des bus comme initialement envisagée.
Il ne fait pas l'ombre d'un doute que " la faible médiatisation " que nous évoquons, " à elle seule, n'explique pas le désintérêt des réunionnais à cette journée mondiale des indignés " !
Les maires de la réunion n'ont apporté aucun concours à la réussite de cette journée : qui peut soutenir qu'ils n'avaient aucun intérêt à le faire au regard des difficultés rencontrées respectivement, par leurs communes ?
Oui, " les Réunionnais sont indignés, mais aussi résignés quelque part car trop de questions restent sans réponses " ; d' où une des raisons de ce rassemblement du 15 octobre, et la nécessité de poursuivre la lutte à travers d' autres formes d'action comme l'opération escargot qui sera organisée dans les prochains jours pour mieux informer, sensibiliser, interpeller et mobiliser sans doute !
Le bouche à oreille n'ayant pas fait son œuvre par ce que nous disposions de très peu de jours pour informer et sensibiliser le plus grand nombre, nous ne sommes pas surpris par cette faible mobilisation.
Désormais, il en sera autrement, rassurez-vous !
Cette faible mobilisation ne nous étonne pas du tout ... Des réunions informelles vont être faites dans les quartiers, dans chaque commune, ce qui na pas été le cas avant le 15 octobre pour la journée mondiale des indignés : nous reconnaissons nos faiblesses ... mais aussi notre manque de moyens !
L'avantage ? C'est que nous de baisserons pas les bras en raison de la gravité de la situation et du rôle qui est le notre.
Notre volonté et notre détermination sortent plutôt grandies par cette faible mobilisation et pas les commentaires qui en découlent... C'est compréhensible !
Gageons quelques choses seront complètement différentes le 29 octobre prochain ...
Ajoutons à ce qui vient d'être dit que :
Le manque de moyens de communication et de relais sociaux et le peu d'intérêt que nous ont accordé les télévisions et les radios, notamment Télé et Tadio Première (s), pour informer et sensibiliser le grand public avant cette journée internationale, ont aussi, il faut le souligner et le dénoncer, concouru à limiter la participation, en partie.
En partie seulement car, le Tournal de l'Ile, le Quotidien et Témoignages, pour la presse écrite, ont tout de même, annoncé cette journée mondiale des indignées au moins, par deux de leurs éditions, avant l'assemblée populaire ! Zinfos 974 et Inforéunion.net pour la presse en ligne, avaient également publié nos courriers quelques jours avant...
Sans aucun doute, ce manque de moyens de diffusion, (radios-télévisions) pouvant permettre une bonne communication, nous a été particulièrement préjudiciable.
Par contre :
Antenne réunion et Radio Freedom n'ont diffusé l'information que quelques heures avant...
Les grands absents
Les élus locaux, notamment le Président de la région, Didier Robert, et les maires ont manqué lamentablement à leur rôle en raison de la situation particulière de la réunion en matière économique et d’emplois... (Mis à part le Maire de Saint-Denis).
De là, à dire que le mouvement des Indignés intéresse peu les médias locaux, il y a un pas que nous hésitons à franchir.
Cependant, nous nous posons des questions sur le traitement de l'information, et le respect de l'éthique et des principes du journalisme, en particulier concernant Antenne Réunion-télé, Radio Première, Télé Première, Radio- Festival et Radio-Freedom !
Oui, nous nous posons des questions, tout en respectant les choix rédactionnels de chaque média, même si l'information est souvent très sélective à notre goût et parfois, à la tête du client, notamment sur les télévisions et radios publiques.
Nous avons également, notre part de responsabilité dans cette faible mobilisation et nous faisons notre auto-critique rassurez-vous !
Sur 7 associations et 2 syndicats, si chaque organisation avait au plus, mobilisé une vingtaine d'indignés, l'espace retenu n'aurait pas été assez grand...
A ceci, on peut ajouter que le matin du 15 octobre, sur la même place, l'intersyndicale des médicaux-sociaux avait rassemblé une centaine de manifestants.
Y-a-t- il eu confusion ?
Y-a-t-il eu une volonté de nuire ?
Toujours est-il que la participation escomptée ne s'est pas vérifiée !
Nous le déplorons et le regrettons !
Du coup, la crise, le chômage, la vie chère, la pauvreté, la corruption sont passés aux oubliettes.
De quoi nous plaignons-nous ?
Les partis politiques :
Le PCR et le Front de Gauche étaient représentés : et les autres ?
Hélas, le cynisme et les mensonges de beaucoup de nos élus, ont encore de beaux jours devant nous !
C'est à croire que ce n'est pas une journée internationale, aux enjeux aussi importants pour la réunion, pour la France, pour le monde qui était célébrée.
Des enjeux qui dépassent très largement, nos débats de boutiquiers, nos querelles de chefs, nos revendications partisanes, nos palabres de circonstances ...etc.
Et c'est peu dire !
Elles sont là, les explications de cette faible participation.
La journée internationale des indignés et ses enjeux en sont, malheureusement, tributaires.
On n'a pu penser que la situation particulière et la conjoncture différente allaient servir la participation, hélas, NON !
Les dégradations et les foyers de mécontentements ont provoqué l'effet inverse, d'autant qu'il n'y a pas, devant nous, une échéance électorale qui aurait pu capter une part de mécontentement.
Est-ce donc par ce que les motivations des Indignés n'ont pas un débouché politique immédiat pour la plupart des élus locaux ?
Par ce que les emplois-verts de Didier Robert, les agents communaux en emploi-aidés de l'association des maires, ou bien les parents d'élèves de st-leu, avec Thierry Robert, n'ont pas fait le déplacement ?
Est-ce par ce que les maires n'ont pas mis de bus à disposition pour transporter ceux qui n'ont pas les moyens de se déplacer comme ils le font pour le 3ème âge ?
La veille, il y avait plus de 5000 personnes au Jardin de l'Etat : qui a affrété les bus ? Qui a financé le buffet ? Pris en charge les animations et tout le reste ?
Pourquoi ce qui est possible pour les personnes âgées, et nous le comprenons, ne l'est malheureusement pas, pour les chômeurs et pour les plus pauvres d'entre nous à l'occasion de la journée mondiale des indignés ?
Pourquoi ?
Pourquoi nos élus, dans leur grande majorité, ne se considèrent-ils pas avant tout comme des citoyens ?
Pourquoi ne partagent ils pas leur indignation avec nous ?
Sont-ils complices de la dictature de la finance ? Complices du chômage ? Complices de la crise ? Complices de la corruption ?
Où étaient-ils ? Pourquoi n'ont-ils pas appeler à la mobilisation du plus grand nombre à l'occasion de cette journée mondiale des indignés ?
En quoi cela leur aurait fait du tort ?
Nous avons le droit de le savoir !
A moins de nous assurer que les questions soulevées publiquement lors de la dernière rentrée scolaire, sont toutes réglées, que chaque commune peut satisfaire ses besoins, par exemple !
A moins de nous confirmer que c'était, encore une fois, de la diversion, ou bien une la manipulation circonstancielle pour cacher les manquements dont ils sont coupables ?
Un grand cinéma !
Ce qui est paradoxal, c'est que Didier Robert, l'Association des maires et Thierry Robert venaient de nous faire un " Grand cinéma " devant la Préfecture à propos de l'emploi, notamment, les emplois aidés, en mettant en avant, leur âme contestataire et leur détermination à lutter contre le chômage : trouvez l'erreur !
Les jeunes et les quartiers populaires
Regardons maintenant, du côté des jeunes et des quartiers populaires ; le message a-t-il été reçu ?
A-t-on compris les enjeux de cette journée internationale ?
Les nombreux mouvements de protestation et d'émeutes qui concernaient la vie chère, l'emploi des jeunes, les revenus et les salaires n'ont pas suffi à faire tache.
La révolte tunisienne n'a pas servi d'exemple, les mouvements en espagne, au portugal en grèce non plus...
Étudiants et jeunes des quartiers populaires ne sont pas là ek ça : Quelle tristesse !
Ils ne veulent pas se confondre avec d'autres organisations ?
Attention de ne pas prendre le train en gare !
La tension comme la désillusion sont permanentes ; le réveil sera redoutable pour nous tous, attention...
Demain, il sera peut-être trop tard; ce sera sans doute très compliqué !
Une défaite comme celle de ce 15 octobre 2012, se digère avec le temps, mais le désarroi étant planétaire, et les réponses ne venant pas, nous avons posé une première pierre !
Nous ne voulons pas une explosion sociale à La Réunion même si les mots et les idées de la révolte circulent...
C'est ça notre particularité, nous sommes un mouvement non violent !
Nous ne baisserons pas les bras NON PLUS : cette mobilisation là, celle de l'exigence d'une réelle démocratie, celle d'une prise en compte de la réalité de la situation et de la parole citoyenne, ne passe pas par les partis politiques, ni par la course au pouvoir !
Une autre conception de la politique se cherche.
Une conception en phase avec l'époque, le contexte et les enjeux...
Peuple de La Réunion, lève-toi maintenant
demain, il sera trop tard!
A qui ? Pourquoi ?
En voici quelques explications : L'indifférence, la passivité, la résignation, la dérobade de certaines organisations qui se reconnaîtront, et les manquements de nos élus locaux, à l'exception du Maire de Saint Denis, et conseiller général du chaudron (Gilbert Annette ), sont en première ligne dans notre auto-critique. Nous n'avons pas, il faut le souligner, bénéficier d'une médiatisation à lahauteur des enjeux, ni de la mise à disposition des bus comme initialement envisagée.
Il ne fait pas l'ombre d'un doute que " la faible médiatisation " que nous évoquons, " à elle seule, n'explique pas le désintérêt des réunionnais à cette journée mondiale des indignés " !
Les maires de la réunion n'ont apporté aucun concours à la réussite de cette journée : qui peut soutenir qu'ils n'avaient aucun intérêt à le faire au regard des difficultés rencontrées respectivement, par leurs communes ?
Oui, " les Réunionnais sont indignés, mais aussi résignés quelque part car trop de questions restent sans réponses " ; d' où une des raisons de ce rassemblement du 15 octobre, et la nécessité de poursuivre la lutte à travers d' autres formes d'action comme l'opération escargot qui sera organisée dans les prochains jours pour mieux informer, sensibiliser, interpeller et mobiliser sans doute !
Le bouche à oreille n'ayant pas fait son œuvre par ce que nous disposions de très peu de jours pour informer et sensibiliser le plus grand nombre, nous ne sommes pas surpris par cette faible mobilisation.
Désormais, il en sera autrement, rassurez-vous !
Cette faible mobilisation ne nous étonne pas du tout ... Des réunions informelles vont être faites dans les quartiers, dans chaque commune, ce qui na pas été le cas avant le 15 octobre pour la journée mondiale des indignés : nous reconnaissons nos faiblesses ... mais aussi notre manque de moyens !
L'avantage ? C'est que nous de baisserons pas les bras en raison de la gravité de la situation et du rôle qui est le notre.
Notre volonté et notre détermination sortent plutôt grandies par cette faible mobilisation et pas les commentaires qui en découlent... C'est compréhensible !
Gageons quelques choses seront complètement différentes le 29 octobre prochain ...
Ajoutons à ce qui vient d'être dit que :
Le manque de moyens de communication et de relais sociaux et le peu d'intérêt que nous ont accordé les télévisions et les radios, notamment Télé et Tadio Première (s), pour informer et sensibiliser le grand public avant cette journée internationale, ont aussi, il faut le souligner et le dénoncer, concouru à limiter la participation, en partie.
En partie seulement car, le Tournal de l'Ile, le Quotidien et Témoignages, pour la presse écrite, ont tout de même, annoncé cette journée mondiale des indignées au moins, par deux de leurs éditions, avant l'assemblée populaire ! Zinfos 974 et Inforéunion.net pour la presse en ligne, avaient également publié nos courriers quelques jours avant...
Sans aucun doute, ce manque de moyens de diffusion, (radios-télévisions) pouvant permettre une bonne communication, nous a été particulièrement préjudiciable.
Par contre :
Antenne réunion et Radio Freedom n'ont diffusé l'information que quelques heures avant...
Les grands absents
Les élus locaux, notamment le Président de la région, Didier Robert, et les maires ont manqué lamentablement à leur rôle en raison de la situation particulière de la réunion en matière économique et d’emplois... (Mis à part le Maire de Saint-Denis).
De là, à dire que le mouvement des Indignés intéresse peu les médias locaux, il y a un pas que nous hésitons à franchir.
Cependant, nous nous posons des questions sur le traitement de l'information, et le respect de l'éthique et des principes du journalisme, en particulier concernant Antenne Réunion-télé, Radio Première, Télé Première, Radio- Festival et Radio-Freedom !
Oui, nous nous posons des questions, tout en respectant les choix rédactionnels de chaque média, même si l'information est souvent très sélective à notre goût et parfois, à la tête du client, notamment sur les télévisions et radios publiques.
Nous avons également, notre part de responsabilité dans cette faible mobilisation et nous faisons notre auto-critique rassurez-vous !
Sur 7 associations et 2 syndicats, si chaque organisation avait au plus, mobilisé une vingtaine d'indignés, l'espace retenu n'aurait pas été assez grand...
A ceci, on peut ajouter que le matin du 15 octobre, sur la même place, l'intersyndicale des médicaux-sociaux avait rassemblé une centaine de manifestants.
Y-a-t- il eu confusion ?
Y-a-t-il eu une volonté de nuire ?
Toujours est-il que la participation escomptée ne s'est pas vérifiée !
Nous le déplorons et le regrettons !
Du coup, la crise, le chômage, la vie chère, la pauvreté, la corruption sont passés aux oubliettes.
De quoi nous plaignons-nous ?
Les partis politiques :
Le PCR et le Front de Gauche étaient représentés : et les autres ?
Hélas, le cynisme et les mensonges de beaucoup de nos élus, ont encore de beaux jours devant nous !
C'est à croire que ce n'est pas une journée internationale, aux enjeux aussi importants pour la réunion, pour la France, pour le monde qui était célébrée.
Des enjeux qui dépassent très largement, nos débats de boutiquiers, nos querelles de chefs, nos revendications partisanes, nos palabres de circonstances ...etc.
Et c'est peu dire !
Elles sont là, les explications de cette faible participation.
La journée internationale des indignés et ses enjeux en sont, malheureusement, tributaires.
On n'a pu penser que la situation particulière et la conjoncture différente allaient servir la participation, hélas, NON !
Les dégradations et les foyers de mécontentements ont provoqué l'effet inverse, d'autant qu'il n'y a pas, devant nous, une échéance électorale qui aurait pu capter une part de mécontentement.
Est-ce donc par ce que les motivations des Indignés n'ont pas un débouché politique immédiat pour la plupart des élus locaux ?
Par ce que les emplois-verts de Didier Robert, les agents communaux en emploi-aidés de l'association des maires, ou bien les parents d'élèves de st-leu, avec Thierry Robert, n'ont pas fait le déplacement ?
Est-ce par ce que les maires n'ont pas mis de bus à disposition pour transporter ceux qui n'ont pas les moyens de se déplacer comme ils le font pour le 3ème âge ?
La veille, il y avait plus de 5000 personnes au Jardin de l'Etat : qui a affrété les bus ? Qui a financé le buffet ? Pris en charge les animations et tout le reste ?
Pourquoi ce qui est possible pour les personnes âgées, et nous le comprenons, ne l'est malheureusement pas, pour les chômeurs et pour les plus pauvres d'entre nous à l'occasion de la journée mondiale des indignés ?
Pourquoi ?
Pourquoi nos élus, dans leur grande majorité, ne se considèrent-ils pas avant tout comme des citoyens ?
Pourquoi ne partagent ils pas leur indignation avec nous ?
Sont-ils complices de la dictature de la finance ? Complices du chômage ? Complices de la crise ? Complices de la corruption ?
Où étaient-ils ? Pourquoi n'ont-ils pas appeler à la mobilisation du plus grand nombre à l'occasion de cette journée mondiale des indignés ?
En quoi cela leur aurait fait du tort ?
Nous avons le droit de le savoir !
A moins de nous assurer que les questions soulevées publiquement lors de la dernière rentrée scolaire, sont toutes réglées, que chaque commune peut satisfaire ses besoins, par exemple !
A moins de nous confirmer que c'était, encore une fois, de la diversion, ou bien une la manipulation circonstancielle pour cacher les manquements dont ils sont coupables ?
Un grand cinéma !
Ce qui est paradoxal, c'est que Didier Robert, l'Association des maires et Thierry Robert venaient de nous faire un " Grand cinéma " devant la Préfecture à propos de l'emploi, notamment, les emplois aidés, en mettant en avant, leur âme contestataire et leur détermination à lutter contre le chômage : trouvez l'erreur !
Les jeunes et les quartiers populaires
Regardons maintenant, du côté des jeunes et des quartiers populaires ; le message a-t-il été reçu ?
A-t-on compris les enjeux de cette journée internationale ?
Les nombreux mouvements de protestation et d'émeutes qui concernaient la vie chère, l'emploi des jeunes, les revenus et les salaires n'ont pas suffi à faire tache.
La révolte tunisienne n'a pas servi d'exemple, les mouvements en espagne, au portugal en grèce non plus...
Étudiants et jeunes des quartiers populaires ne sont pas là ek ça : Quelle tristesse !
Ils ne veulent pas se confondre avec d'autres organisations ?
Attention de ne pas prendre le train en gare !
La tension comme la désillusion sont permanentes ; le réveil sera redoutable pour nous tous, attention...
Demain, il sera peut-être trop tard; ce sera sans doute très compliqué !
Une défaite comme celle de ce 15 octobre 2012, se digère avec le temps, mais le désarroi étant planétaire, et les réponses ne venant pas, nous avons posé une première pierre !
Nous ne voulons pas une explosion sociale à La Réunion même si les mots et les idées de la révolte circulent...
C'est ça notre particularité, nous sommes un mouvement non violent !
Nous ne baisserons pas les bras NON PLUS : cette mobilisation là, celle de l'exigence d'une réelle démocratie, celle d'une prise en compte de la réalité de la situation et de la parole citoyenne, ne passe pas par les partis politiques, ni par la course au pouvoir !
Une autre conception de la politique se cherche.
Une conception en phase avec l'époque, le contexte et les enjeux...
Peuple de La Réunion, lève-toi maintenant
demain, il sera trop tard!
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