Le PDBS - Parti Du Bon Sens - s'oppose fermement à ce projet et avance froidement des arguments de poids :
- 1. Seule la côte réunionnaise est concernée par les fortes chaleurs. Sont à l'abri de la fournaise, imaginée par la FSU, les établissements scolaires du Tampon, de la Plaine des Cafres, de Salazie, de Cilaos, de la Montagne, de Dos d'Âne, de la Saline-les-Hauts, de Saint-Gilles-les-Hauts, de la Petite France, de Tan-Rouge, du Bernica, de Guillaume, de Bras-Canot, de Trois-Bassins, de la Chaloupe-Saint-Leu. Et la liste ne semble pas exhaustive ! Bref ! plus d'un établissement sur deux connaît un climat presque paradisiaque, bien adapté au calendrier scolaire actuel.
- 2. Sur la côte, pour atténuer la chaleur, il faut climatiser les écoles primaires et, d'urgence, les classes de CP et de Maternelles. La climatisation peut fonctionner de 10 heures à 15 heures.
- 3. Sur la côte, il faut aménager les fameuses dalles de béton qui servent de toit de façon qu'elles ne soient plus en contact avec les rayons du soleil. Claude Hoarau, Huguette Bello, Langenier ont du pain sur la planche. Ce n'est pas la peine de vociférer contre cette chaleur tropicale quand on l'entretient soi-même. On a, dans cette situation, une autre version du pyromane incendiaire. Que chaque parent recense les fameux toits en béton et on se rendra compte qu'ils font de la résistance, et bien longtemps après l'ère de Debré.
- 4. Des professeurs signalent que les élèves sont inattentifs et même indisciplinés à cause de la chaleur. Soit ! Mais le PDBS, dubitatif, se demande si c'est bien à cause de la chaleur ou si la qualité du cours laisse quelque peu à désirer. La parole est aux élèves sur ce point.
- 5. Les frais de climatisation ne devrait pas excéder ceux du chauffage des locaux métropolitains : les fortes chaleurs ne couvrent que trois mois de l'actuel calendrier, et le froid, dans l'autre hémisphère, sévit de novembre à mars et même avril en montagne. Que les maires, sous nos cocotiers, ne crient pas à l'assassin !
Le PDBS prie le recteur de ne pas se mettre en ébullition sur ce sujet, comme le fait la bouillante FSU. Adopter le calendrier climatique, ce serait envoyer tous les élèves cuire au soleil, à la plage, pour y rencontrer leurs professeurs, se livrant tous aux douceurs du farniente.
- 1. Seule la côte réunionnaise est concernée par les fortes chaleurs. Sont à l'abri de la fournaise, imaginée par la FSU, les établissements scolaires du Tampon, de la Plaine des Cafres, de Salazie, de Cilaos, de la Montagne, de Dos d'Âne, de la Saline-les-Hauts, de Saint-Gilles-les-Hauts, de la Petite France, de Tan-Rouge, du Bernica, de Guillaume, de Bras-Canot, de Trois-Bassins, de la Chaloupe-Saint-Leu. Et la liste ne semble pas exhaustive ! Bref ! plus d'un établissement sur deux connaît un climat presque paradisiaque, bien adapté au calendrier scolaire actuel.
- 2. Sur la côte, pour atténuer la chaleur, il faut climatiser les écoles primaires et, d'urgence, les classes de CP et de Maternelles. La climatisation peut fonctionner de 10 heures à 15 heures.
- 3. Sur la côte, il faut aménager les fameuses dalles de béton qui servent de toit de façon qu'elles ne soient plus en contact avec les rayons du soleil. Claude Hoarau, Huguette Bello, Langenier ont du pain sur la planche. Ce n'est pas la peine de vociférer contre cette chaleur tropicale quand on l'entretient soi-même. On a, dans cette situation, une autre version du pyromane incendiaire. Que chaque parent recense les fameux toits en béton et on se rendra compte qu'ils font de la résistance, et bien longtemps après l'ère de Debré.
- 4. Des professeurs signalent que les élèves sont inattentifs et même indisciplinés à cause de la chaleur. Soit ! Mais le PDBS, dubitatif, se demande si c'est bien à cause de la chaleur ou si la qualité du cours laisse quelque peu à désirer. La parole est aux élèves sur ce point.
- 5. Les frais de climatisation ne devrait pas excéder ceux du chauffage des locaux métropolitains : les fortes chaleurs ne couvrent que trois mois de l'actuel calendrier, et le froid, dans l'autre hémisphère, sévit de novembre à mars et même avril en montagne. Que les maires, sous nos cocotiers, ne crient pas à l'assassin !
Le PDBS prie le recteur de ne pas se mettre en ébullition sur ce sujet, comme le fait la bouillante FSU. Adopter le calendrier climatique, ce serait envoyer tous les élèves cuire au soleil, à la plage, pour y rencontrer leurs professeurs, se livrant tous aux douceurs du farniente.