L'opposition municipale de Sainte-Suzanne se pose plus que jamais comme les premiers défenseurs du Gousse. Hier, Daniel Alamélou n'a eu de cesse de solliciter le soutien financier de la municipalité pour les trois prochains mois (85.000 euros/mois). Maurice Gironcel a maintenu sa position. Il a regretté qu'il n'a été mis au courant des difficultés de l'association trop tardivement. Daniel Alamélou a alors proposé "un plan social". "Le plan social ne peut venir que du Gousse", a répliqué Maurice Gironcel. Sur ce point précis, c'est le maire qui a raison.
Sans doute décontenancée par ces échanges stériles, Yolande Pausé a essayé de toucher les cordes sensibles de la majorité municipale. "Je cherche l'adjectif le plus approprié pour qualifier mon sentiment. Dire que je suis triste, ne serait pas exact. A la veille des fêtes savoir qu'il y a 200 familles dans l'incertitude, savoir que certaines n'auront pas les moyens ou la tête à la fête, me rend triste. C'est pourquoi en solidarité avec ces 200 familles, que l'opposition quitte le conseil municipal". Joignant le geste à la parole, les opposants sont sortis.
Pouvait-il en être autrement ? Sans doute pas. Les échanges entre la majorité et l'opposition, a vite viré à un dialogue de sourds. Le seul débat sur la place réservée à la communication de Daniel Alamélou et ses amis dans les magazines de la mairie Vanille et Kalbanon, a tourné à un règlement de comptes sur fond de règlement intérieur : dictature, censure, démocratie. D'un côté, Patricia Coutandy adjointe délégué à la communication, et Eddy Adekalom, adjoint à la culture, ont répondu à Daniel Alamélou, Yolande Pausé et Antonio Grondin.
Notons les difficultés d'Antonio Grondin à obtenir la parole de "Monsieur Maurice Gironcel". "Lorsque vous direz Monsieur le maire, je vous donnerai la parole", a répondu le maire. Excédé l'intéressé s'est alors soumis au règlement. "Monsieur le maire", a-t-il alors lâché sous les rires de la majorité. Et lui de poursuivre sur les aides aux associations : "Est-ce qu'on parle de cette association qui a donné des langoustes a son dîner dansant ?"
Il y a eu les lapins congelés "pourris", le "volaille grillé" et voilà les langoustes. Ironie du sort. Car, vers le 15 janvier, le Gousse ne pourra même pas dire : "Homard m'a tuer !".
Sans doute décontenancée par ces échanges stériles, Yolande Pausé a essayé de toucher les cordes sensibles de la majorité municipale. "Je cherche l'adjectif le plus approprié pour qualifier mon sentiment. Dire que je suis triste, ne serait pas exact. A la veille des fêtes savoir qu'il y a 200 familles dans l'incertitude, savoir que certaines n'auront pas les moyens ou la tête à la fête, me rend triste. C'est pourquoi en solidarité avec ces 200 familles, que l'opposition quitte le conseil municipal". Joignant le geste à la parole, les opposants sont sortis.
Pouvait-il en être autrement ? Sans doute pas. Les échanges entre la majorité et l'opposition, a vite viré à un dialogue de sourds. Le seul débat sur la place réservée à la communication de Daniel Alamélou et ses amis dans les magazines de la mairie Vanille et Kalbanon, a tourné à un règlement de comptes sur fond de règlement intérieur : dictature, censure, démocratie. D'un côté, Patricia Coutandy adjointe délégué à la communication, et Eddy Adekalom, adjoint à la culture, ont répondu à Daniel Alamélou, Yolande Pausé et Antonio Grondin.
Notons les difficultés d'Antonio Grondin à obtenir la parole de "Monsieur Maurice Gironcel". "Lorsque vous direz Monsieur le maire, je vous donnerai la parole", a répondu le maire. Excédé l'intéressé s'est alors soumis au règlement. "Monsieur le maire", a-t-il alors lâché sous les rires de la majorité. Et lui de poursuivre sur les aides aux associations : "Est-ce qu'on parle de cette association qui a donné des langoustes a son dîner dansant ?"
Il y a eu les lapins congelés "pourris", le "volaille grillé" et voilà les langoustes. Ironie du sort. Car, vers le 15 janvier, le Gousse ne pourra même pas dire : "Homard m'a tuer !".
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