"Et si c’est le cas, la raison doit l’emporter sur la conviction. Car, l’actualité nous ramène aussi à l’hôpital de l’EST où les difficultés semblent aujourd’hui visibles.
On peut se poser la question, avons-nous eu les yeux plus gros que le ventre ? Mais je rassure tout le monde, ce n’est absolument pas le cas pour le Pôle Sanitaire Ouest.
Le constat est clair du besoin d’un nouvel hôpital afin de répondre à un soin de qualité, à cette population grandissante dans ce territoire Ouest. Mais aussi, que le CHGM cumule un certain nombre d’handicap qu’il faut y remédier en urgence. Je suis d’accord avec la députée-Maire Mme Bello, que j’estime beaucoup et que j’admire pour les idées qu’elle défend, qui sont toutes louables à mes yeux.
Mais qu’aujourd’hui dans ce contexte de crise mondialisée où l’Etat n’a plus de sous, doit-on, coûte que coûte, demander tout de l’enveloppe initiale ?
Je pense que diminuer la surface de cet hôpital avec la possibilité d’une modulation au fur et à mesure est une réponse, mieux que rien. D’autant plus, je pense encore que se ne sera pas un hôpital au rabais.
Car il faut le reconnaitre que le bâtiment participe à ce confort d’un mieux être, mais que les équipements avec un personnel de mieux en mieux formés, qualifiés, compétents et en nombres suffisants soigneront nos patients voire nous-mêmes aujourd’hui comme demain.
Alors, battons-nous aussi pour que l’emploi dans les hôpitaux soit conforme aux normes de la métropole, battons-nous pour une meilleure formation et une meilleure reconnaissance de la profession soignante, battons-nous encore pour résoudre les emplois précaires dans les hôpitaux, comme les bonnes orientations prises dernièrement par la Direction de l’EPSMR afin de solutionner sensiblement la précarité à cet hôpital public, que l’on peut que le féliciter. Alors que le problème perdurait depuis de nombreuses années.
Il y a un ensemble à défendre dans les hôpitaux pas simplement les mûrs qui restent importants. Mais aussi l’humain qui y travaille avec la matière humaine.
D’ailleurs, le docteur Gabriel Martin doit être fier d’où il est, de voir aujourd’hui le CHGM se diriger vers cette coopération avec l’EPSMR dans ce PSO, lui qui a œuvré à l’hôpital psychiatrique avec Docteur Serveaux en 1942, qui avait occupé un des bureaux du rez-de-chaussée de l’ancien hôpital psychiatrique avec des vacations trihebdomadaires pour nos malades.
Comme quoi, cette coopération a déjà eu lieu avec le docteur Gabriel Martin il y a 70 ans…. L’histoire a toujours ses raisons, n’est-ce pas ?"
On peut se poser la question, avons-nous eu les yeux plus gros que le ventre ? Mais je rassure tout le monde, ce n’est absolument pas le cas pour le Pôle Sanitaire Ouest.
Le constat est clair du besoin d’un nouvel hôpital afin de répondre à un soin de qualité, à cette population grandissante dans ce territoire Ouest. Mais aussi, que le CHGM cumule un certain nombre d’handicap qu’il faut y remédier en urgence. Je suis d’accord avec la députée-Maire Mme Bello, que j’estime beaucoup et que j’admire pour les idées qu’elle défend, qui sont toutes louables à mes yeux.
Mais qu’aujourd’hui dans ce contexte de crise mondialisée où l’Etat n’a plus de sous, doit-on, coûte que coûte, demander tout de l’enveloppe initiale ?
Je pense que diminuer la surface de cet hôpital avec la possibilité d’une modulation au fur et à mesure est une réponse, mieux que rien. D’autant plus, je pense encore que se ne sera pas un hôpital au rabais.
Car il faut le reconnaitre que le bâtiment participe à ce confort d’un mieux être, mais que les équipements avec un personnel de mieux en mieux formés, qualifiés, compétents et en nombres suffisants soigneront nos patients voire nous-mêmes aujourd’hui comme demain.
Alors, battons-nous aussi pour que l’emploi dans les hôpitaux soit conforme aux normes de la métropole, battons-nous pour une meilleure formation et une meilleure reconnaissance de la profession soignante, battons-nous encore pour résoudre les emplois précaires dans les hôpitaux, comme les bonnes orientations prises dernièrement par la Direction de l’EPSMR afin de solutionner sensiblement la précarité à cet hôpital public, que l’on peut que le féliciter. Alors que le problème perdurait depuis de nombreuses années.
Il y a un ensemble à défendre dans les hôpitaux pas simplement les mûrs qui restent importants. Mais aussi l’humain qui y travaille avec la matière humaine.
D’ailleurs, le docteur Gabriel Martin doit être fier d’où il est, de voir aujourd’hui le CHGM se diriger vers cette coopération avec l’EPSMR dans ce PSO, lui qui a œuvré à l’hôpital psychiatrique avec Docteur Serveaux en 1942, qui avait occupé un des bureaux du rez-de-chaussée de l’ancien hôpital psychiatrique avec des vacations trihebdomadaires pour nos malades.
Comme quoi, cette coopération a déjà eu lieu avec le docteur Gabriel Martin il y a 70 ans…. L’histoire a toujours ses raisons, n’est-ce pas ?"