Jean-François Copé est l'héritier de Jacques Chirac. Le partenaire "obligé" de Nicolas Sarkozy. Le rival affiché de François Fillon pour l'élection présidentielle de 2017. Dans ce contexte, son plus sûr soutien c'est Jacques Chirac, le dernier gardien médiatique et populaire de ce qui reste du gaullisme. Le nouveau président de l'UMP veut porter haut l'étendard du gaullisme. Il l'a encore dit et écrit il y a quelques jours sur le site de l'UMP.
"Le gaullisme n'est pas une nostalgie, c'est une espérance d'une brûlante actualité". Ce choix du cœur ou de l'opportunité ou de l'opportunisme, c'est le socle ou la base d'une stratégique au moins pour aller jusqu'en 2017. "Le gaullisme n'est pas qu'une magnifique page de notre passé. Ce n'est pas une nostalgie, c'est une espérance d'une brûlante actualité. Car les recettes que le général de Gaulle a appliquées au pouvoir peuvent nous inspirer alors que nous sommes frappés par une crise économique…"
Jean-François Copé veut incarner cette vision de la France. "Celle de la grandeur de la France. Sa souveraineté indivisible". En son temps, Jacques Chirac n'a cessé de "défendre" l'intérêt supérieur de la nation. La France de de Gaulle. Le nouveau président de l'UMP veut être l'héritier. "Malheureusement, l'héritage visionnaire du gaullisme est aujourd'hui malmené par François Hollande". Le député-maire de Meaux va jusqu'à brandir le spectre des travers de la IVe République. "François Hollande s'inspire des politiciens de la IVe République, il affaiblit la France".
Chirac. De Gaulle. Les références sont flatteuses. Ce sera nécessaire pour que Jean-François Copé parvienne rapidement à gommer le psychodrame de ce week-end qui a déchiré et divisé l'UMP. Ce sera surtout nécessaire pour éviter la mise en place d'un processus populaire qui pourrait aboutir au retour de Nicolas Sarkozy. Pourtant, un modèle en matière de communication. Jean-François Copé a lui aussi un langage tranché, qui fait souvent polémique.
Ce que certains à Droite et à Gauche, appellent la dérive droitière du nouveau président de l'UMP. L'intéressé n'en a que faire du "politiquement correct". Lui parle "le langage des Français d'en bas". Le langage de "la Droite forte", de la "Droite d'en bas". De "la Droite populaire". A la limite du populisme...
"Le gaullisme n'est pas une nostalgie, c'est une espérance d'une brûlante actualité". Ce choix du cœur ou de l'opportunité ou de l'opportunisme, c'est le socle ou la base d'une stratégique au moins pour aller jusqu'en 2017. "Le gaullisme n'est pas qu'une magnifique page de notre passé. Ce n'est pas une nostalgie, c'est une espérance d'une brûlante actualité. Car les recettes que le général de Gaulle a appliquées au pouvoir peuvent nous inspirer alors que nous sommes frappés par une crise économique…"
Jean-François Copé veut incarner cette vision de la France. "Celle de la grandeur de la France. Sa souveraineté indivisible". En son temps, Jacques Chirac n'a cessé de "défendre" l'intérêt supérieur de la nation. La France de de Gaulle. Le nouveau président de l'UMP veut être l'héritier. "Malheureusement, l'héritage visionnaire du gaullisme est aujourd'hui malmené par François Hollande". Le député-maire de Meaux va jusqu'à brandir le spectre des travers de la IVe République. "François Hollande s'inspire des politiciens de la IVe République, il affaiblit la France".
Chirac. De Gaulle. Les références sont flatteuses. Ce sera nécessaire pour que Jean-François Copé parvienne rapidement à gommer le psychodrame de ce week-end qui a déchiré et divisé l'UMP. Ce sera surtout nécessaire pour éviter la mise en place d'un processus populaire qui pourrait aboutir au retour de Nicolas Sarkozy. Pourtant, un modèle en matière de communication. Jean-François Copé a lui aussi un langage tranché, qui fait souvent polémique.
Ce que certains à Droite et à Gauche, appellent la dérive droitière du nouveau président de l'UMP. L'intéressé n'en a que faire du "politiquement correct". Lui parle "le langage des Français d'en bas". Le langage de "la Droite forte", de la "Droite d'en bas". De "la Droite populaire". A la limite du populisme...
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