"Ce soir (ndlr : hier), il y a une perdante, c'est La Réunion. Remplacer un parlementaire chevronné qui connaît bien les rouages du métier par une chanteuse, c'est une perte pour La Réunion.Ce n'est pas mon sort qui est en jeu, c'est celui de cette île qui fait partie de la France et de l'Europe. Nous traversons actuellement une grave crise économique, sociale et financière".
"Je pensais que les grands électeurs savaient qu'Anne-Marie Payet et moi étions armés pour défendre notre île. Le poids économique de la Région, ses moyens financiers, ses emplois disponibles, ceux de la Civis et de la SPLA, et toutes les structures des collectivités locales, face à nous qui n'avions pas de moyens, ont permis d'exercer des choix contraire à l'intérêt de La Réunion".
"Mais, il est vrai que j'ai découvert tout au long de cette campagne, beaucoup de grands électeurs pauvres ou en situation difficile dont les enfants sont au chômage. Quant quelqu'un propose de résoudre leurs problèmes contre la promesse de leur voix, je comprends que ces grands électeurs aient cédé à la tentation. C'est humain. Je ne les accuse pas. J'accuse ceux qui ont utilisé les moyens publics pour obtenir un résultat, ce n'est pas à leur honneur, et surtout pas dans l'intérêt de La Réunion".
Et votre avenir politique, Jean-Paul Virapoullé : "Vive les vacances..."
"Je pensais que les grands électeurs savaient qu'Anne-Marie Payet et moi étions armés pour défendre notre île. Le poids économique de la Région, ses moyens financiers, ses emplois disponibles, ceux de la Civis et de la SPLA, et toutes les structures des collectivités locales, face à nous qui n'avions pas de moyens, ont permis d'exercer des choix contraire à l'intérêt de La Réunion".
"Mais, il est vrai que j'ai découvert tout au long de cette campagne, beaucoup de grands électeurs pauvres ou en situation difficile dont les enfants sont au chômage. Quant quelqu'un propose de résoudre leurs problèmes contre la promesse de leur voix, je comprends que ces grands électeurs aient cédé à la tentation. C'est humain. Je ne les accuse pas. J'accuse ceux qui ont utilisé les moyens publics pour obtenir un résultat, ce n'est pas à leur honneur, et surtout pas dans l'intérêt de La Réunion".
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