Didier Robert et Paulet Payet ont trompé les Tamponnais, l'équipe municipale est pleinement responsable de cette situation financière catastrophique puisque en tant que maire puis adjoint ou adjoint puis maire ils cautionnaient la même politique.
Outre les observations de la Chambre régionale des comptes, plusieurs faits dénoncés en temps et en heure par l’opposition ont été l’illustration d’une gestion financière dispendieuse et pour certains scandaleuse.
Quelques exemples de cette dérive financière :
- on a bradé le patrimoine foncier de la commune à 20 euros le m2, il s'agit d'un foncier stratégique de pour le développement de la commune - 33 400 m2 constructible en plein centre ville - qui a été dilapidé, vendu à 20 euros le m2 (conseil municipal du 28 septembre 2009) ;
- la mise aux normes des trois kiosques est également un scandale financier de 9 millions d'euros ;
- l'acquisition sans projet d'une villa créole au prix de 600 000 euros - ancien restaurant le Paille en Queue ;
- la régie touristique gère un budget de 300 000 euros pour un directeur et sa secrétaire.
La vigilance et la clairvoyance de l'opposition
Ce que révèle le rapport régional de la cour des comptes, nous le disons depuis longtemps. Les conseillers municipaux ne sont pas surpris de ce rapport.
Nous avons démontré et alerté les Tamponnais sur les dérives financières de la municipalité à chaque exercice budgétaire :
- au Conseil municipal dans nos interventions,
- par écrit dans notre tribune du Tampon magazine et
- dans notre journal de section l'Acacia distribué à tous les Tamponnais.
Moi-même, et les conseillers municipaux de l’opposition , avons dénoncé les déséquilibres et l'insincérité des derniers budgets de cette mandature.
Dans la page d'opposition du Tampon magazine nous avons souligné les difficultés, budgétaires dans pas moins de 6 articles sur une trentaine publiés sur la période.
Le mois dernier le cabinet du maire a censuré le mot surendetté dans notre article. Nous n'avons pas pu affirmer que la commune était surendettée, alors que le rapport de la cour des comptes affirme justement le contraire. Ouf! le mot endetté a quand même dû être accepté par le cabinet censeur. En juillet un article portant sur le budget a été purement censuré. La municipalité donnait des signes de nervosité face aux critiques de l'opposition.
Nous avons dénoncé la politique de fêtes et de cérémonies qui de 2006 à 2010 est passé de 300 000 euros à 1.243.000.
Nous avons dénoncé la dérive irresponsable de l'accroissement des charges de fonctionnement avec le recrutement de directeurs de service et de directeurs généraux payés à 6 ou 7000 euros pour faire plaisir aux petits copains qui avaient perdu les municipalités de St Louis, Saint-Leu et Saint-Paul ; Ils sont venus puis pour beaucoup sont repartis les poches pleines.
Ce qui est encore plus grave, c'est la confirmation par la chambre régionale des comptes de dépenses de carburants injustifiées. On peut légitimement s'interroger sur l'utilisation de ces carburants. De tels faits sont non seulement extrêmement graves mais demandent une enquête précise et approfondie de l'utilisation de ces carburants.
Le Tampon connaît une situation grave et attristante.
Qui en est responsable ?
Au maire en exercice sur la période considérée. Mais aussi à tous ceux qui ont encouragé, participé et qui ont voté l'orientation de cette politique.
A ceux qui ont défendu ces choix politiques parfois avec mépris et véhémence vis à vis de l'opposition, notamment le 1er adjoint de l'époque devenu maire en exercice qui portait avec conviction tous les travers budgétaires de la majorité municipale depuis 2008.
C'est toute cette équipe qui est disqualifiée aujourd'hui quel qu'en soit le maire.
Et je ne situe pas cette équipe seulement depuis 2008 puisque plus de la moitié des conseillers municipaux sont dans la majorité depuis 2001 y compris Paulet Payet et Didier Robert sous la houlette de leur mentor et de leur père spirituel, un certain André Thien Ah Koon.
Lui aussi porte avec les 2 derniers maires la responsabilité du sous-développement du Tampon : pas d'eau au robinet, écoles vétustes et délabrées, absence de transport public efficace etc.…
Ces trois personnages, candidats potentiels sont aujourd'hui disqualifiés au regard de leur bilan (je vous invite à relire le précédent rapport de la Chambre Régionale des Comptes qui n’est guère reluisant pour l’ancien Maire).
Ils ont pris le Tampon pour un terrain de jeux et se sont transmis les uns aux autres la responsabilité de maire comme s'ils avaient en gestion un patrimoine familial, au grand mépris de la démocratie.
Quel avenir pour le Tampon ?
Aujourd’hui le Tampon est en panne :
- financièrement dans le mur avec une augmentation des impôts considérable
- absence de projets
- disparition de l’autorité politique
Oui , le Tampon a besoin de nouvelles élections municipales . Les électeurs doivent à nouveau désigner une autorité politique légitime.
Il est évident que je m'inscris dans ce renouvellement avec toute mon équipe qui a su montrer par son travail, par sa pugnacité, par sa présence, par sa fermeté non seulement sa compétence mais aussi sa clairvoyance et a su démontrer et réaffirmer son sens de l'intérêt général.
J’invite les Tamponnais à ne pas baisser les bras, à ne pas se résigner et à ne pas se détourner des responsabilités politiques surtout à un moment où on va considérablement augmenter leurs impôts. L'opposition que nous représentons votera contre une telle décision budgétaire;
Je propose aux Tamponnais de tourner la page écrite par ces aventuriers irresponsables qui ont enfoncé Le Tampon dans l'immobilisme et le marasme et de rejoindre notre équipe pour reconstruire et écrire ensemble un avenir meilleur pour notre commune.
Quelle qu'en soit la date, je conduirai une liste de rassemblement des Tamponnais avec tous ceux qui sont prêts à travailler avec nous pour inscrire Le Tampon dans une nouvelle dynamique.
Au regard de la situation financière révélée par la chambre régionale des comptes, je sais pertinemment que nous allons hériter d'une situation financière extrêmement grave et difficile.
Les prochaines années s'inscriront probablement dans un contexte de rigueur budgétaire mais nous sommes prêts à retrousser nos manches et je ferai mienne cette citation "devant le pessimisme de la situation je veux opposer l'optimisme de la volonté".
Outre les observations de la Chambre régionale des comptes, plusieurs faits dénoncés en temps et en heure par l’opposition ont été l’illustration d’une gestion financière dispendieuse et pour certains scandaleuse.
Quelques exemples de cette dérive financière :
- on a bradé le patrimoine foncier de la commune à 20 euros le m2, il s'agit d'un foncier stratégique de pour le développement de la commune - 33 400 m2 constructible en plein centre ville - qui a été dilapidé, vendu à 20 euros le m2 (conseil municipal du 28 septembre 2009) ;
- la mise aux normes des trois kiosques est également un scandale financier de 9 millions d'euros ;
- l'acquisition sans projet d'une villa créole au prix de 600 000 euros - ancien restaurant le Paille en Queue ;
- la régie touristique gère un budget de 300 000 euros pour un directeur et sa secrétaire.
La vigilance et la clairvoyance de l'opposition
Ce que révèle le rapport régional de la cour des comptes, nous le disons depuis longtemps. Les conseillers municipaux ne sont pas surpris de ce rapport.
Nous avons démontré et alerté les Tamponnais sur les dérives financières de la municipalité à chaque exercice budgétaire :
- au Conseil municipal dans nos interventions,
- par écrit dans notre tribune du Tampon magazine et
- dans notre journal de section l'Acacia distribué à tous les Tamponnais.
Moi-même, et les conseillers municipaux de l’opposition , avons dénoncé les déséquilibres et l'insincérité des derniers budgets de cette mandature.
Dans la page d'opposition du Tampon magazine nous avons souligné les difficultés, budgétaires dans pas moins de 6 articles sur une trentaine publiés sur la période.
Le mois dernier le cabinet du maire a censuré le mot surendetté dans notre article. Nous n'avons pas pu affirmer que la commune était surendettée, alors que le rapport de la cour des comptes affirme justement le contraire. Ouf! le mot endetté a quand même dû être accepté par le cabinet censeur. En juillet un article portant sur le budget a été purement censuré. La municipalité donnait des signes de nervosité face aux critiques de l'opposition.
Nous avons dénoncé la politique de fêtes et de cérémonies qui de 2006 à 2010 est passé de 300 000 euros à 1.243.000.
Nous avons dénoncé la dérive irresponsable de l'accroissement des charges de fonctionnement avec le recrutement de directeurs de service et de directeurs généraux payés à 6 ou 7000 euros pour faire plaisir aux petits copains qui avaient perdu les municipalités de St Louis, Saint-Leu et Saint-Paul ; Ils sont venus puis pour beaucoup sont repartis les poches pleines.
Ce qui est encore plus grave, c'est la confirmation par la chambre régionale des comptes de dépenses de carburants injustifiées. On peut légitimement s'interroger sur l'utilisation de ces carburants. De tels faits sont non seulement extrêmement graves mais demandent une enquête précise et approfondie de l'utilisation de ces carburants.
Le Tampon connaît une situation grave et attristante.
Qui en est responsable ?
Au maire en exercice sur la période considérée. Mais aussi à tous ceux qui ont encouragé, participé et qui ont voté l'orientation de cette politique.
A ceux qui ont défendu ces choix politiques parfois avec mépris et véhémence vis à vis de l'opposition, notamment le 1er adjoint de l'époque devenu maire en exercice qui portait avec conviction tous les travers budgétaires de la majorité municipale depuis 2008.
C'est toute cette équipe qui est disqualifiée aujourd'hui quel qu'en soit le maire.
Et je ne situe pas cette équipe seulement depuis 2008 puisque plus de la moitié des conseillers municipaux sont dans la majorité depuis 2001 y compris Paulet Payet et Didier Robert sous la houlette de leur mentor et de leur père spirituel, un certain André Thien Ah Koon.
Lui aussi porte avec les 2 derniers maires la responsabilité du sous-développement du Tampon : pas d'eau au robinet, écoles vétustes et délabrées, absence de transport public efficace etc.…
Ces trois personnages, candidats potentiels sont aujourd'hui disqualifiés au regard de leur bilan (je vous invite à relire le précédent rapport de la Chambre Régionale des Comptes qui n’est guère reluisant pour l’ancien Maire).
Ils ont pris le Tampon pour un terrain de jeux et se sont transmis les uns aux autres la responsabilité de maire comme s'ils avaient en gestion un patrimoine familial, au grand mépris de la démocratie.
Quel avenir pour le Tampon ?
Aujourd’hui le Tampon est en panne :
- financièrement dans le mur avec une augmentation des impôts considérable
- absence de projets
- disparition de l’autorité politique
Oui , le Tampon a besoin de nouvelles élections municipales . Les électeurs doivent à nouveau désigner une autorité politique légitime.
Il est évident que je m'inscris dans ce renouvellement avec toute mon équipe qui a su montrer par son travail, par sa pugnacité, par sa présence, par sa fermeté non seulement sa compétence mais aussi sa clairvoyance et a su démontrer et réaffirmer son sens de l'intérêt général.
J’invite les Tamponnais à ne pas baisser les bras, à ne pas se résigner et à ne pas se détourner des responsabilités politiques surtout à un moment où on va considérablement augmenter leurs impôts. L'opposition que nous représentons votera contre une telle décision budgétaire;
Je propose aux Tamponnais de tourner la page écrite par ces aventuriers irresponsables qui ont enfoncé Le Tampon dans l'immobilisme et le marasme et de rejoindre notre équipe pour reconstruire et écrire ensemble un avenir meilleur pour notre commune.
Quelle qu'en soit la date, je conduirai une liste de rassemblement des Tamponnais avec tous ceux qui sont prêts à travailler avec nous pour inscrire Le Tampon dans une nouvelle dynamique.
Au regard de la situation financière révélée par la chambre régionale des comptes, je sais pertinemment que nous allons hériter d'une situation financière extrêmement grave et difficile.
Les prochaines années s'inscriront probablement dans un contexte de rigueur budgétaire mais nous sommes prêts à retrousser nos manches et je ferai mienne cette citation "devant le pessimisme de la situation je veux opposer l'optimisme de la volonté".
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