Le conseiller général du Tampon a répondu aux sévères plaidoyers des élus de l'opposition départementale contre le désengagement financier du gouvernement. "De quel désengagement parlons-nous, celui des gouvernements précédents ou celui des six mois de gestion de Jean-Marc Ayrault ?" Dans l'absolu, le député du Sud a raison. Il serait trop facile de mettre les 600 millions d'euros de prestations de solidarité non compensées, sur le dos des socialistes depuis seulement six mois.
Jean-Jacques Vlody a aussi répondu à certains de ses collègues de la majorité hétéroclite. "Nous n'accepterons pas les attaques contre le gouvernement auquel j'appartiens. C'est la condition sine qua non pour que nous continuons à travailler ensemble". Le vice-président du Conseil général reconnaît qu'il y a des socialistes qui souhaitent quitter l'actuelle majorité. "Cela ne date pas d'aujourd'hui. La vraie question pour moi, quel intérêt ont les élus du PS à sortir de la majorité ?"
La réponse est venue d'un élu du Sud. "C'est parce que certains auraient à perdre, et ce à un an des élections municipales. Certains ne veulent pas reprendre leur liberté, c'est parce qu'ils sont devenus des élus alimentaires". Nous avons essayé d'avoir des noms. "Il y a des choses qu'il vaut mieux garder pour soi. Le linge sale se lave en famille". Espérons pour eux qu'ils ne lavent à la main...
Jean-Jacques Vlody a aussi répondu à certains de ses collègues de la majorité hétéroclite. "Nous n'accepterons pas les attaques contre le gouvernement auquel j'appartiens. C'est la condition sine qua non pour que nous continuons à travailler ensemble". Le vice-président du Conseil général reconnaît qu'il y a des socialistes qui souhaitent quitter l'actuelle majorité. "Cela ne date pas d'aujourd'hui. La vraie question pour moi, quel intérêt ont les élus du PS à sortir de la majorité ?"
La réponse est venue d'un élu du Sud. "C'est parce que certains auraient à perdre, et ce à un an des élections municipales. Certains ne veulent pas reprendre leur liberté, c'est parce qu'ils sont devenus des élus alimentaires". Nous avons essayé d'avoir des noms. "Il y a des choses qu'il vaut mieux garder pour soi. Le linge sale se lave en famille". Espérons pour eux qu'ils ne lavent à la main...
Partager
