"Mais que pensent nos candidats à la Députation ? Elle a dit encore, qu’il faut replacer le patient au cœur du système de santé, et de rappeler aussi l’importance de la démocratie sanitaire.
Car depuis, la situation a stagné et les avancées ont été rares. Il faut, dit-elle encore, redonner un nouvel élan au mouvement engagé il y a dix ans, tant en matière de droits individuels que collectifs et de replacer l’individu au cœur du système de soins.
Bien que, dans cette décennie qui vient de s’écouler, de nombreuses réformes se sont succédées, souvent mal comprises par l’ensemble des hospitaliers, souvent mis en place sans dialogue, ni concertation, qui a peut être conduit à une « dégradation » de l’hôpital public.
Aujourd’hui dans la loi HPST, l’exigence appelle à un « maillage » sanitaire afin qu’à mon point de vue, de mettre en place des dispositifs les mieux adaptés aux réalités du terrain et aux besoins.
Á ce sujet, je pense particulièrement à cette approche complémentaire de nos deux hôpitaux (CHGM et EPSMR) en système de coopération sanitaire dans le cadre du P.S.O.
Qui a comme objectif d’optimiser et de favoriser sur ce territoire Ouest, le rapprochement des deux hôpitaux publics autour d’un projet médical partagé. Ce qu’il résulte déjà dans l'effet à gérer en commun certaines fonctions et activités, grâces à des délégations ou transferts de compétences entre les deux établissements.
Là encore, les expériences innovantes se concrétisent au fur et à mesure entre nos deux hôpitaux. Ceci, malgré les périodes encore difficiles que traversent ce PSO. Après le problème financier, vient ensuite se rajouter les difficultés des camionneurs réclamant leur part d’emplois et surtout la réponse du T.A concernant un recours dont le jugement sera rendu ce lundi.
Quoi qu’il en soit, il ne faut surtout pas qu’un retard pénalise ce projet. Car derrière ce projet il y a notamment les patients, les malades….
D’ailleurs, la Ministre discourait encore autour de ces trois piliers : restaurer le service public hospitalier, rebâtir le parcours de soins et rétablir le dialogue social, une place qu’il n’aurait pas du perdre dit-elle.
Cela signifie un système de santé, juste, équitable et nécessaire qui répond à un vrai besoin sur ce territoire Ouest.
Là encore, je reste convaincu que c’est avec cette évolution en profondeur que désormais nos élus doivent s’atteler".
Car depuis, la situation a stagné et les avancées ont été rares. Il faut, dit-elle encore, redonner un nouvel élan au mouvement engagé il y a dix ans, tant en matière de droits individuels que collectifs et de replacer l’individu au cœur du système de soins.
Bien que, dans cette décennie qui vient de s’écouler, de nombreuses réformes se sont succédées, souvent mal comprises par l’ensemble des hospitaliers, souvent mis en place sans dialogue, ni concertation, qui a peut être conduit à une « dégradation » de l’hôpital public.
Aujourd’hui dans la loi HPST, l’exigence appelle à un « maillage » sanitaire afin qu’à mon point de vue, de mettre en place des dispositifs les mieux adaptés aux réalités du terrain et aux besoins.
Á ce sujet, je pense particulièrement à cette approche complémentaire de nos deux hôpitaux (CHGM et EPSMR) en système de coopération sanitaire dans le cadre du P.S.O.
Qui a comme objectif d’optimiser et de favoriser sur ce territoire Ouest, le rapprochement des deux hôpitaux publics autour d’un projet médical partagé. Ce qu’il résulte déjà dans l'effet à gérer en commun certaines fonctions et activités, grâces à des délégations ou transferts de compétences entre les deux établissements.
Là encore, les expériences innovantes se concrétisent au fur et à mesure entre nos deux hôpitaux. Ceci, malgré les périodes encore difficiles que traversent ce PSO. Après le problème financier, vient ensuite se rajouter les difficultés des camionneurs réclamant leur part d’emplois et surtout la réponse du T.A concernant un recours dont le jugement sera rendu ce lundi.
Quoi qu’il en soit, il ne faut surtout pas qu’un retard pénalise ce projet. Car derrière ce projet il y a notamment les patients, les malades….
D’ailleurs, la Ministre discourait encore autour de ces trois piliers : restaurer le service public hospitalier, rebâtir le parcours de soins et rétablir le dialogue social, une place qu’il n’aurait pas du perdre dit-elle.
Cela signifie un système de santé, juste, équitable et nécessaire qui répond à un vrai besoin sur ce territoire Ouest.
Là encore, je reste convaincu que c’est avec cette évolution en profondeur que désormais nos élus doivent s’atteler".