"Dois je rappeler à nos jeunes d'aujourd'hui que cette volonté de nos élus incompétents, à vouloir déporter la jeunesse réunionnaise remonte depuis la nuit des temps. Avec Michel Debré, son Bumidom, une sorte d'officine négrière - dénoncé dans le temps par Combat Réunionnais de l'UGTRF. Le Cnarm des socialistes en 1981, remplace le Bumidom de Debré avec le même but : exiler les enfants de la Réunion.
Comment le David Ibrahim Dindar "ADN" peut-il dire que partir 'avec la mobilité c'est réussir un projet, quand des parents pleurent sur Freedom pour raconter la galère que traversent leurs enfants en France ou au Québec, sans moyen de retour - ils sont voués à la clochardisation, à la folie et même la mort guette certains de ces exilés.
L'avenir de nos enfants doit se concevoir à la Réunion avec des responsables politiques qui ne démissionnent, pas, et assument leurs responsabilités, sans penser seulement à remplir leurs poches. Comment oser proposer à la jeunesse réunionnaise des contrats en alternance, à 13.000 km de leur terre, en sachant d'avance que les places laissées vacantes seront vite comblées par toute une faune venant d'Europe, surtout de France.
La jeunesse réunionnaise n'a pas vocation à l’exil, Il faut exiger des politiciens, un logement et un emploi dans son pays, la Réunion. Sinon il faut s'armer pour mener le combat nécessaire pour la liberté, la libération de notre pays des aventuriers qui veulent la mort de notre pays en exilant nos enfants...
L’Insee vient de donner les chiffres du chômage en France, un chiffre qui frôle les 4 millions de chercheurs d’emploi,. Quelle sont les chances d’un Réunionnais, basané, typé de décrocher un emploi dans une France de plus en plus raciste et xénophobe, la montée du FN au Présidentielles le confirme plus que jamais. L’Avenir de La Réunion est à construire ici dans notre pays…"
Comment le David Ibrahim Dindar "ADN" peut-il dire que partir 'avec la mobilité c'est réussir un projet, quand des parents pleurent sur Freedom pour raconter la galère que traversent leurs enfants en France ou au Québec, sans moyen de retour - ils sont voués à la clochardisation, à la folie et même la mort guette certains de ces exilés.
L'avenir de nos enfants doit se concevoir à la Réunion avec des responsables politiques qui ne démissionnent, pas, et assument leurs responsabilités, sans penser seulement à remplir leurs poches. Comment oser proposer à la jeunesse réunionnaise des contrats en alternance, à 13.000 km de leur terre, en sachant d'avance que les places laissées vacantes seront vite comblées par toute une faune venant d'Europe, surtout de France.
La jeunesse réunionnaise n'a pas vocation à l’exil, Il faut exiger des politiciens, un logement et un emploi dans son pays, la Réunion. Sinon il faut s'armer pour mener le combat nécessaire pour la liberté, la libération de notre pays des aventuriers qui veulent la mort de notre pays en exilant nos enfants...
L’Insee vient de donner les chiffres du chômage en France, un chiffre qui frôle les 4 millions de chercheurs d’emploi,. Quelle sont les chances d’un Réunionnais, basané, typé de décrocher un emploi dans une France de plus en plus raciste et xénophobe, la montée du FN au Présidentielles le confirme plus que jamais. L’Avenir de La Réunion est à construire ici dans notre pays…"