"Mon premier succès a été la signature pour l'EHPAD du Tampon. Nous avions trois jours pour obtenir cette signature. Le Conseil général avait signé pour le Port, mais pas pour le Tampon. Je suis contente d'avoir gagné cette bataille. Nous avons également réussi au niveau des visas".
"Avec la Délégation tourisme autorisée (DTA), les Chinois peuvent désormais venir à La Réunion, sans visa, ce qui est merveilleux. En ce qui concerne le photovoltaïque, un dossier très technique que je maîtrise pas, et aussi après les déclarations de Marie-Luce Penchard sur la position du gouvernement, c'est une bonne chose que les sénateurs et les députés travaillent ensemble pour le développement de cette énergie propre et durable".
Jacqueline Farreyrol n'a qu'un objectif : faire avancer La Réunion. "J'ai ma vision de la politique, je me fiche de la politique partisane. Ce qui m'intéresse c'est qu'on puisse avancer à La Réunion. Je le redis : le RSA est une bonne mesure pour moi. J'ai tellement vu de jeunes ne pas prendre de contrat, par peur de perdre leur RMI, ça me fait mal au cœur".
"Et, je les comprends en même temps, il y a cette peur de perdre un acquis, seulement cela provoque l'inertie et l'inaction, la peur d'avancer. Conséquence, il y a parfois le laisser-aller". Jacqueline Farreyrol évoque maintenant son expérience politiques et les idées fausses qu'on se fait des élus.
"Ce poste de députée, c'est d'abord une ouverture. Et puis, il y a le regard que l'on porte sur les politiques. On leur a collé une étiquette. Les élus sont des gens comme vous et moi. Ils font leur travail avec honnêteté et sincérité. Ne croyez pas qu'on a tous les pouvoirs quand on est élu. Ce n'est pas évident…"
Sur la vidéo, nous avons demandé à Jacqueline Farreyrol, si elle ne craint pas que son poste de député et sa deuxième place sur la liste conduite par Michel Fontaine, porte préjudice à la Droite ?
"Avec la Délégation tourisme autorisée (DTA), les Chinois peuvent désormais venir à La Réunion, sans visa, ce qui est merveilleux. En ce qui concerne le photovoltaïque, un dossier très technique que je maîtrise pas, et aussi après les déclarations de Marie-Luce Penchard sur la position du gouvernement, c'est une bonne chose que les sénateurs et les députés travaillent ensemble pour le développement de cette énergie propre et durable".
Jacqueline Farreyrol n'a qu'un objectif : faire avancer La Réunion. "J'ai ma vision de la politique, je me fiche de la politique partisane. Ce qui m'intéresse c'est qu'on puisse avancer à La Réunion. Je le redis : le RSA est une bonne mesure pour moi. J'ai tellement vu de jeunes ne pas prendre de contrat, par peur de perdre leur RMI, ça me fait mal au cœur".
"Et, je les comprends en même temps, il y a cette peur de perdre un acquis, seulement cela provoque l'inertie et l'inaction, la peur d'avancer. Conséquence, il y a parfois le laisser-aller". Jacqueline Farreyrol évoque maintenant son expérience politiques et les idées fausses qu'on se fait des élus.
"Ce poste de députée, c'est d'abord une ouverture. Et puis, il y a le regard que l'on porte sur les politiques. On leur a collé une étiquette. Les élus sont des gens comme vous et moi. Ils font leur travail avec honnêteté et sincérité. Ne croyez pas qu'on a tous les pouvoirs quand on est élu. Ce n'est pas évident…"
Sur la vidéo, nous avons demandé à Jacqueline Farreyrol, si elle ne craint pas que son poste de député et sa deuxième place sur la liste conduite par Michel Fontaine, porte préjudice à la Droite ?
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